La fin du monde est maintenant dernière nous.
Nous qui faisions du pouce en disant " Vers le Sud!" , avons changé pour " vers le Nord s'il vous plait! "
Nous sommees arrivés avant hier a El calafate. La ville est très tourstique, mais magnifique. Située dans un vallée entre des montagnes inpressionantes et au bord d'un lac turquoise magnifique, elle donne envie de rester ici un bon bout de temps.
L'attraction ici, c'est les glaciers!
Nous sommes a 80 kilomètres du fameux parque national "les glaciers".
Le petit favorit ici, c'est le Perito Morerno. Un glacier immense qui descent entre les montagnes et vient s'étendre sur un lac plus que turquoise. Il est si près de la rive du lac que la municipalité a fait construire des passerelles qui permettent aux touristes de l'observer tranquilement sans nuire á la végétation.
Comme tout attraction touristique, les prix d'accès sont ridiculement élevés!
Pour nous rendre, nous avons donc encore fait du pouce et nous avons eux la chance d'être pris par un pick-up. Nous avons donc fait le trajet dans la boite avec la vue, les odeurs, le vent... magique!
Le glacier nous a fait toute une impression! Vraiment débile!
En approchant, on entend le glacier craquer. Quel bruit! Parfois on voit un morceaux de glace gros comme une maison (et plus) se détacher et tomber à l'eau! Ça fait toute une vague! Le parc natiuonal est vraiment bien fait et meme si il y a beaucoup de toursites, nous n'avons pas eu l'impression d'être à l'étroit ou envahit.
Si vous passez par là un jours, ça vaut le détour!!
Nous partons demain pour Bariloche.. ou peut-être el Bolson!
Désolée pour les photos, internet est beaucoup trop lent!
Je vais les mettres toutes dans le prochain j'espère!
vendredi 25 mars 2011
lundi 21 mars 2011
La fin du monde
Cet objectif si lointain il y a quelques mois, ce reve flou et incertain, nous l'avons réalisé hier! Atteindre la fin du monde austral...
Ushuaia est la ville la plus au Sud du monde. C'est le point le plus éloigné de chez moi ou j'irai pour ce voyage. Ushuaia est une petit ville cotiére trés touristique. Dans le centre ville, une multitude de boutiques proposent une quantité impressionante d'objets de la fin du monde... t-shirt, cartes postales, manteaux, chapeaux, statuettes, etc.
J'ai encore de la difficulter a croire que j'y suis! Si prés de l'Antartique!
Dire qu'au début du voyage je n'étais meme pas ceraine de me rendre en Argentine! Aujourd'hui, je me trouve au bout du monde et c'est á couper le souffle!
Le chemin pour venir ici a été plutot long!
Nous avons fait au moins 2500 km sur le pouce.
La patagonie Argentine est magnifique il faut l'avouer, mais c'est tellement grand!
Nous avons pries, moi et Camille, au moins 15 transports différents pour arriver a Rio Gallegos. Sur le chemin, nous avons dormis dans des stations services, avons survécues au déluge dans notre tente "inimpermeable", avons mangé presque exclusivement des craquelins de station services et nous nous sommes passer de douche. Malgré des petits inconforts, le trajet a été superbe! Des couchés de soleil a couper le souffle, des gens attachant.
Nous avons rejoint Corinne et José á Rio Gallegos et sommes ensuite partie pour Ushuaia. Nous avons du, en route, passer une nuit dans le milieu de nulle part... au sens littéraire!
En plein milieu de la terre de feu a 100 kilométres de la station service ou de la ville la plus proche. Nous avons monté la tente dans un boisé, entre un lac mangnifique et l'océan atlantique. Nous avons chanté autour d'un feu et manger des onions á la braise. La vrai aventure!
Le lendemain, nous arrivions á Ushuaia!!! Avec beaucoup d'émotions... parce que nous arrivions a notre objectif final et parce que les paysages sont extraordinaires. Des lacs, des montagnes, de la neige, les couleurs de l'automne Argentin, le port d'Ushuaia. Wow, que de merveilles!
Étrangement, la terre de feu est l'endroit le plus éloigné du Québec en Amerique, mais c'est aussi le plus ressemblant que j'ai vu jusqu'ici.
Les montanges couverts d'arbres aux couleurs de l'automne, les lacs á la truite, les chalets en bois rond, la neige au sommet des montagnes, le vent froid, les joues rouge de fin de journée et meme les castors! He oui, un couple a amené, il y a quelques années des castors du Canada en Terre de feu et maintenant, les municipalités luttent contre les barages et la coupe des arbres par ces mammiféres trop rolifiques a leur gout!
Maintenant que nous y sommes, le reste du voyage me parait bien court.
Il reste si peut de temps! La hate de revenir pour vous voir se melange avec la melancolie de savoir que la vie de boheme, les imprevus, l'aventure termineront dans quelques 20 jours.
D'ici lá, nous essaieront de voir le fameu perito moreno et Bariloche!
Je repars demain avec Camille sur le pouce pour Calafate! Souhaitez-nous bonne chance!
* les photos viendront dans le prochain blog! Désolée!
Ushuaia est la ville la plus au Sud du monde. C'est le point le plus éloigné de chez moi ou j'irai pour ce voyage. Ushuaia est une petit ville cotiére trés touristique. Dans le centre ville, une multitude de boutiques proposent une quantité impressionante d'objets de la fin du monde... t-shirt, cartes postales, manteaux, chapeaux, statuettes, etc.
J'ai encore de la difficulter a croire que j'y suis! Si prés de l'Antartique!
Dire qu'au début du voyage je n'étais meme pas ceraine de me rendre en Argentine! Aujourd'hui, je me trouve au bout du monde et c'est á couper le souffle!
Le chemin pour venir ici a été plutot long!
Nous avons fait au moins 2500 km sur le pouce.
La patagonie Argentine est magnifique il faut l'avouer, mais c'est tellement grand!
Nous avons pries, moi et Camille, au moins 15 transports différents pour arriver a Rio Gallegos. Sur le chemin, nous avons dormis dans des stations services, avons survécues au déluge dans notre tente "inimpermeable", avons mangé presque exclusivement des craquelins de station services et nous nous sommes passer de douche. Malgré des petits inconforts, le trajet a été superbe! Des couchés de soleil a couper le souffle, des gens attachant.
Nous avons rejoint Corinne et José á Rio Gallegos et sommes ensuite partie pour Ushuaia. Nous avons du, en route, passer une nuit dans le milieu de nulle part... au sens littéraire!
En plein milieu de la terre de feu a 100 kilométres de la station service ou de la ville la plus proche. Nous avons monté la tente dans un boisé, entre un lac mangnifique et l'océan atlantique. Nous avons chanté autour d'un feu et manger des onions á la braise. La vrai aventure!
Le lendemain, nous arrivions á Ushuaia!!! Avec beaucoup d'émotions... parce que nous arrivions a notre objectif final et parce que les paysages sont extraordinaires. Des lacs, des montagnes, de la neige, les couleurs de l'automne Argentin, le port d'Ushuaia. Wow, que de merveilles!
Étrangement, la terre de feu est l'endroit le plus éloigné du Québec en Amerique, mais c'est aussi le plus ressemblant que j'ai vu jusqu'ici.
Les montanges couverts d'arbres aux couleurs de l'automne, les lacs á la truite, les chalets en bois rond, la neige au sommet des montagnes, le vent froid, les joues rouge de fin de journée et meme les castors! He oui, un couple a amené, il y a quelques années des castors du Canada en Terre de feu et maintenant, les municipalités luttent contre les barages et la coupe des arbres par ces mammiféres trop rolifiques a leur gout!
Maintenant que nous y sommes, le reste du voyage me parait bien court.
Il reste si peut de temps! La hate de revenir pour vous voir se melange avec la melancolie de savoir que la vie de boheme, les imprevus, l'aventure termineront dans quelques 20 jours.
D'ici lá, nous essaieront de voir le fameu perito moreno et Bariloche!
Je repars demain avec Camille sur le pouce pour Calafate! Souhaitez-nous bonne chance!
* les photos viendront dans le prochain blog! Désolée!
jeudi 10 mars 2011
Mendoza
Changement de plan.
Par manque de temps, les plans des dernieres semaines ont ete complétement chamboulés!
Corinne, Jose et moi devions aller en terre de feu et en Patagonie. Nous avions deux semaines pour aller et revenir avant que Danielle ne reprenne l'avion pour Montreal. En regardant la route á faire, nous avons decidé que le trajet était trop long pour le temps dont nous disposions. Nous avons donc decidé, sur un coup de tete de partir pour Mendoza et d'y passer les deux semaines.
Les separations à Buenos Aires ont été émouvantes, malgré le fait que nous revenions deux semaines plus tard. On sentait que la fin du sejour avec Santi arrivait a grand pas. Nous sommes partis, Co, Jose et moi, au petit matin en train pour nous éloigner du centre de Buenos Aires.
Apres 1 heures de trajet, nous sommes debarqués dans un petite ville et nous sommes installer sur le bord de la route 7, le pouce bien en evidence.
En tout, nous avons pris 5 transports differents pour faire un trajet de 1200 km en mois de 48 heures! Un record je crois! Nous avons meme fait une partie du trajet en ambulance!!! Ma premiére fois!

Avec Gaston, un camionneur
Annecdote : parce que c'est tellement drole, je ne peux m'empecher de vous raconter mon aventure avec une fausse septique.
Alors voila, Le premier soir, le camioneur qui nous transportait nous laisse dans une station service pour que nous y passions la nuit. Nous demandons au gérant si nous pouvons monter la tente quelque part et il nous indique le fond de la cour. Des panneaux interdisent le passage, mais sans les lire nous commencons a monter la tente. Il est 11 heures et il fait noir. Tout en parlant avec Corinne et en plantant un piquet, je disparais soudain dans un cri affolé!!!
Je suis tomber dans un trou de fausse septique ou maçerait, depuis je ne sais combien de temps, tout ce qu'on peut avoir envie de mettre dans une toilette!!!
Sur le coup, je crois que je pleurait plus que je ne riait. Je me suis enfoncer jusqu'au hanches et j'ai mit au moins 3 secondes avant de realiser on j'etais!!!! Resultat, j'ai ete bonne pour prendre une douche dans un lavabo de station service... Encore ce matin, je n'ai eu qu'a dire trou pour que nous partions tous à rire.

Arriver dans les environs de mendoza, nous avons demander au chauffeur de nous laisser sur la route près d'un vignoble.
L'objectif: trouver une famille qui nous permettrait de camper sur leur terrain en échange d'un de travail manuel.
Nous n'avons pas été decus! Apres une demi-heures de porte a porte pour offrir nos services, nous croisions Diego qui acceptait de nous loger en échange d'un peu de travail de notre part!!! Youpi!

Arriver au le vignoble familiale, l'odeur de vin et de pruneau secher nous envahit les narines. Le vignoble produit du vin, du champagne et cultive aussi les pruneaux.
Diego nous offre un endroit paradisiaque pour planter la tente : sous un toit de vigne gorgée de raisins mure que nous pouvons manger à volonté!
En apres midi, nous rencontrons la famille qui vient rencontrer les curieux envahisseur que nous sommes. La famille est vraiment attachante. Tous sont ultra aimables avec nous et nous invitent à manger avec eux un asado memorable. Le sejour s'annonce bien!!!

Le lendemain, le travail à effectuer et des plus agráable!!! Remplir des bouteilles de champagne avec toute la famille et les amis de la famille qui sont venus aider. C'est un processus a faire un fois par an et nous avons eu la chance de tomber sur cette fin de semaine particulière. Une fois les bouteilles remplies, on les dépose sur des étagere et on attend un an pour finir le processus et mettre la bouteille en vente.
Nous nous sommes sentis extremement choyer que cette famille nous adopte ainsi, sans préjuger, sans rétissance. Après le diner en famille, les trois avions les larmes aux yeux. Il nous semble qu'il y a bien longtemps que nous ne nous étions pas senti en famille.
Le lendemain: ceuillette de pruneaux!
Contrairement a ce que nous pensions, la ceuillette de pruneau est assez difficile. En une journée, et a trois, nous avons remplis 34 caisses de pruneaux.
Le bolivien moyen en remplis a lui seul entre 40 et 50!!! Des vrais machines.
Je ne comprends toujours pas comment ils font!

Le plus dur, c'est de grimper dans les arbres pour les secouer de toutes nos forces afin de faire tomber les fruits. On redescent a bout de souffle pour ramasser les fruits, dèplacer les caisses et recommencer.... toute une journee : ça épuise. Toute une vie : je n'ose meme pas imaginer!
Durant de la ceuillette, nous avons eux l'heureuse suprise de rencontrer nos petits voisins Joel et Ruth. Deux enfant de 8 et 12 ans qui vivent dans la maison voisine à la nôtre.
Deux jeunes curieux, allumés, drôles et intelligents. Le genre d'enfant trop debrouillard pour leur âge parce que les parents sont absents ; un père camionneur qui ne peut jamais passer plus que 2 jours a la maison et un mère qui travail de 7 a 6 tout les jours sauf le dimanche.
Nous nous sommes biens amusés avec eux! Guerre de pruneaux pourris, cuisine sur le feux, chant autour de la guitare, cours de macramé, séance maquillage, etc. Chaque soir, nous cuisinions ensemble, mangions ensemble et jasion jusqu'á tard dans la nuit. Ils allaient ensuite se coucher et se levait le lendemain vers 1 heure de l'apres-midi pour nous tenir compagnie.


A chaque jour, Marcelo et Diego, les fils des proprietaires, nous trainait au 4 coins du vignoble pour nous enseigner comment faire du vin, comment sécher des pruneaux, comment élaborer un champagne....
D'ailleur, je crois bien que c'était la premiere et peut-etre la derniere fois de ma vie que je me saoulait au champagne!
Encore une fois, je me suis tellement sentie proche de Marcelo et Diego que j'ai cru pendant le sejour que nous étions amis de longue date!
Mais la réalite nous a vite ratrapé quand nous sommes parties. La veille, nous avions eu droit a un souper d'adieux familial. Les grand-parents, marcelo, diego, les amis, tout le monde!
Suite au souper d'adieux, Diego nous a amené dans un endroit bien special... une station service!!!
Comme il est inaproprié d'entrer dans un bar avant deux heures du matin, tout les jeunes de la ville se retrouvent a la station service pour boire une bière autour de la voiture d'un ami avec de la musique trop forte car tous veulent enterrer la musique du voisin. Un vrais scene de "Grease"!!! Nous avons meme assisiter a un enterrement de vie de garcon ou le " fêté" était tout nus et se faisait tirer en laisse par ses amis!

Diego, Mariana y José
Sur un plan plus triste, la famille qui nous a adopté vit en ce moment une periode difficile. Un des petits enfants, Facundo 5 ans, est entré a l'hopital il y a un mois et depuis, les docteurs lui ont trouver deux tumeurs cancereuses et la leucémie. A chaque jour, nous attendions les nouvelles de l'hopital, les résultats d'un autre examen. J'ai appris hier qu'il ont pu commencer la chimio ce matin. Si vous avez un moment libre vos pensés positives sont les bienvenues!
Si nous avons pu aider un peu la famille en les faisant rire, en jouant avec le frère du petit malade, en ravigottant un peu l'atmosphère et bien tant mieux! Nous avons bien vu que tous étaient très affectés par le drame.. Incroyable de voir comment un maladie put affecter de facon similaire tant de familles partout dans le monde! vraiment desolant...
Sur une note plus joyeuse, je peux dire que le sejour à Mendoza a sans doute été des plus riches que j'ai vécus.. tant d'apprentissages au niveau technique et humain. La vie a trois avec Corinne et Jose etait vraiment agréable, relax. Se sentir maman avec les petits voisins, grande cousine avec Nicholas (le frere de facundo), travailler la terre, manger directement de l'arbre, rencontrer des gens fabuleux. Se laisser gater et laisser les gens prendre soins de nous.

De retour a Buenso Aires, j'ai retrouver Camille et Danielle. Elles semblent vraiment avoir fait un voayge fantastique. Elles me rappellent moi et ma mere.... il a deux moi!
Camille nous a tant vanter Bariloche que nous pensons changer notre route pour y aller.
Les plans pour les prochans jours: aller a Ushuaïa, voir clafate et entré au chili!
Nous partons dans quelques heures pour Bahia Blanca!
Par manque de temps, les plans des dernieres semaines ont ete complétement chamboulés!
Corinne, Jose et moi devions aller en terre de feu et en Patagonie. Nous avions deux semaines pour aller et revenir avant que Danielle ne reprenne l'avion pour Montreal. En regardant la route á faire, nous avons decidé que le trajet était trop long pour le temps dont nous disposions. Nous avons donc decidé, sur un coup de tete de partir pour Mendoza et d'y passer les deux semaines.
Les separations à Buenos Aires ont été émouvantes, malgré le fait que nous revenions deux semaines plus tard. On sentait que la fin du sejour avec Santi arrivait a grand pas. Nous sommes partis, Co, Jose et moi, au petit matin en train pour nous éloigner du centre de Buenos Aires.
Apres 1 heures de trajet, nous sommes debarqués dans un petite ville et nous sommes installer sur le bord de la route 7, le pouce bien en evidence.
En tout, nous avons pris 5 transports differents pour faire un trajet de 1200 km en mois de 48 heures! Un record je crois! Nous avons meme fait une partie du trajet en ambulance!!! Ma premiére fois!
Avec Gaston, un camionneur
Annecdote : parce que c'est tellement drole, je ne peux m'empecher de vous raconter mon aventure avec une fausse septique.
Alors voila, Le premier soir, le camioneur qui nous transportait nous laisse dans une station service pour que nous y passions la nuit. Nous demandons au gérant si nous pouvons monter la tente quelque part et il nous indique le fond de la cour. Des panneaux interdisent le passage, mais sans les lire nous commencons a monter la tente. Il est 11 heures et il fait noir. Tout en parlant avec Corinne et en plantant un piquet, je disparais soudain dans un cri affolé!!!
Je suis tomber dans un trou de fausse septique ou maçerait, depuis je ne sais combien de temps, tout ce qu'on peut avoir envie de mettre dans une toilette!!!
Sur le coup, je crois que je pleurait plus que je ne riait. Je me suis enfoncer jusqu'au hanches et j'ai mit au moins 3 secondes avant de realiser on j'etais!!!! Resultat, j'ai ete bonne pour prendre une douche dans un lavabo de station service... Encore ce matin, je n'ai eu qu'a dire trou pour que nous partions tous à rire.
Arriver dans les environs de mendoza, nous avons demander au chauffeur de nous laisser sur la route près d'un vignoble.
L'objectif: trouver une famille qui nous permettrait de camper sur leur terrain en échange d'un de travail manuel.
Nous n'avons pas été decus! Apres une demi-heures de porte a porte pour offrir nos services, nous croisions Diego qui acceptait de nous loger en échange d'un peu de travail de notre part!!! Youpi!
Arriver au le vignoble familiale, l'odeur de vin et de pruneau secher nous envahit les narines. Le vignoble produit du vin, du champagne et cultive aussi les pruneaux.
Diego nous offre un endroit paradisiaque pour planter la tente : sous un toit de vigne gorgée de raisins mure que nous pouvons manger à volonté!
En apres midi, nous rencontrons la famille qui vient rencontrer les curieux envahisseur que nous sommes. La famille est vraiment attachante. Tous sont ultra aimables avec nous et nous invitent à manger avec eux un asado memorable. Le sejour s'annonce bien!!!
Le lendemain, le travail à effectuer et des plus agráable!!! Remplir des bouteilles de champagne avec toute la famille et les amis de la famille qui sont venus aider. C'est un processus a faire un fois par an et nous avons eu la chance de tomber sur cette fin de semaine particulière. Une fois les bouteilles remplies, on les dépose sur des étagere et on attend un an pour finir le processus et mettre la bouteille en vente.
Nous nous sommes sentis extremement choyer que cette famille nous adopte ainsi, sans préjuger, sans rétissance. Après le diner en famille, les trois avions les larmes aux yeux. Il nous semble qu'il y a bien longtemps que nous ne nous étions pas senti en famille.
Le lendemain: ceuillette de pruneaux!
Contrairement a ce que nous pensions, la ceuillette de pruneau est assez difficile. En une journée, et a trois, nous avons remplis 34 caisses de pruneaux.
Le bolivien moyen en remplis a lui seul entre 40 et 50!!! Des vrais machines.
Je ne comprends toujours pas comment ils font!
Le plus dur, c'est de grimper dans les arbres pour les secouer de toutes nos forces afin de faire tomber les fruits. On redescent a bout de souffle pour ramasser les fruits, dèplacer les caisses et recommencer.... toute une journee : ça épuise. Toute une vie : je n'ose meme pas imaginer!
Durant de la ceuillette, nous avons eux l'heureuse suprise de rencontrer nos petits voisins Joel et Ruth. Deux enfant de 8 et 12 ans qui vivent dans la maison voisine à la nôtre.
Deux jeunes curieux, allumés, drôles et intelligents. Le genre d'enfant trop debrouillard pour leur âge parce que les parents sont absents ; un père camionneur qui ne peut jamais passer plus que 2 jours a la maison et un mère qui travail de 7 a 6 tout les jours sauf le dimanche.
Nous nous sommes biens amusés avec eux! Guerre de pruneaux pourris, cuisine sur le feux, chant autour de la guitare, cours de macramé, séance maquillage, etc. Chaque soir, nous cuisinions ensemble, mangions ensemble et jasion jusqu'á tard dans la nuit. Ils allaient ensuite se coucher et se levait le lendemain vers 1 heure de l'apres-midi pour nous tenir compagnie.
A chaque jour, Marcelo et Diego, les fils des proprietaires, nous trainait au 4 coins du vignoble pour nous enseigner comment faire du vin, comment sécher des pruneaux, comment élaborer un champagne....
D'ailleur, je crois bien que c'était la premiere et peut-etre la derniere fois de ma vie que je me saoulait au champagne!
Encore une fois, je me suis tellement sentie proche de Marcelo et Diego que j'ai cru pendant le sejour que nous étions amis de longue date!
Mais la réalite nous a vite ratrapé quand nous sommes parties. La veille, nous avions eu droit a un souper d'adieux familial. Les grand-parents, marcelo, diego, les amis, tout le monde!
Suite au souper d'adieux, Diego nous a amené dans un endroit bien special... une station service!!!
Comme il est inaproprié d'entrer dans un bar avant deux heures du matin, tout les jeunes de la ville se retrouvent a la station service pour boire une bière autour de la voiture d'un ami avec de la musique trop forte car tous veulent enterrer la musique du voisin. Un vrais scene de "Grease"!!! Nous avons meme assisiter a un enterrement de vie de garcon ou le " fêté" était tout nus et se faisait tirer en laisse par ses amis!
Diego, Mariana y José
Sur un plan plus triste, la famille qui nous a adopté vit en ce moment une periode difficile. Un des petits enfants, Facundo 5 ans, est entré a l'hopital il y a un mois et depuis, les docteurs lui ont trouver deux tumeurs cancereuses et la leucémie. A chaque jour, nous attendions les nouvelles de l'hopital, les résultats d'un autre examen. J'ai appris hier qu'il ont pu commencer la chimio ce matin. Si vous avez un moment libre vos pensés positives sont les bienvenues!
Si nous avons pu aider un peu la famille en les faisant rire, en jouant avec le frère du petit malade, en ravigottant un peu l'atmosphère et bien tant mieux! Nous avons bien vu que tous étaient très affectés par le drame.. Incroyable de voir comment un maladie put affecter de facon similaire tant de familles partout dans le monde! vraiment desolant...
Sur une note plus joyeuse, je peux dire que le sejour à Mendoza a sans doute été des plus riches que j'ai vécus.. tant d'apprentissages au niveau technique et humain. La vie a trois avec Corinne et Jose etait vraiment agréable, relax. Se sentir maman avec les petits voisins, grande cousine avec Nicholas (le frere de facundo), travailler la terre, manger directement de l'arbre, rencontrer des gens fabuleux. Se laisser gater et laisser les gens prendre soins de nous.
De retour a Buenso Aires, j'ai retrouver Camille et Danielle. Elles semblent vraiment avoir fait un voayge fantastique. Elles me rappellent moi et ma mere.... il a deux moi!
Camille nous a tant vanter Bariloche que nous pensons changer notre route pour y aller.
Les plans pour les prochans jours: aller a Ushuaïa, voir clafate et entré au chili!
Nous partons dans quelques heures pour Bahia Blanca!
lundi 21 février 2011
Buenos Aires, les retrouvailles
Avant d'arriver a Buenos Aires, nous étions trés exitées de voir les vieux édifices coloniaux, les quatiers de tango, les cafés de style européen.
C'est pourtant la grandeur de la ville qui m'a le plus frappé. En entrant dans la capital, nous sommes dans un 4x4 tout neuf. Son propriétaire nous a embarqué sur le pouce et nous explique manintenant divers aspects techniques sur le fonctionnement de la ville. Nous avons peine á nous concentrer tellement les autoroutes á 6 voies nous impressionnent! Ca fait un sacré bout de temps que nous avions vue une autoroute pareil. En fait, je crois que meme chez nous il n'y en a pas.
Arriver a destination, il nous reste a prendre un bus de ville, avec tout notre équipement, pour nous rendre chez Santiago.
Vous rappelez-vous de Sorata en Bolivie? Une petite ville perdue, des amis, une riviere, une petite maison?, nous y avions rencontré Santiago et il nous attend maintenant chez lui. Nous avons trés hate de le voir. D'autant plus que José, une
autre rencontre de Sorata, est aussi chez Santi.
Les retrouvailles sont toujours belles et nous sommes tous heureux de constater que notre amitié en est seulement á ces début.
Nous qui croyons ne jamais nous revoir en nous quittant en Bolivie!

La maison de Santi est génial! Un coup de coeur! Parce que nous y vivons avec lui et José, parce qu'elle est bien situé et parce que les amis de Santi y sont omniprésent, le lieu dégage une chaleur humaine qui marque.
Dés le premier soir, nous sortons dans Buenos Aires pour aller voir un spectacle de percussion. Dans la rue, ca grouille.
Les gens sont différenst de la campagne. On se croirait sur le mont royale un dimanche aprés-midi. Malgré toutes les mises en garde (et il y en a eu une tonne) nous nous sentons tout á fait en sécurité. D'autant plus que nous sommes avec des gens de la place.
José, notre colombien préféré!!

Survole d'une semaine citadine:
Buenos Aires, c'est immense. Pas le temps de tout voir en une semaine, á moins d'etre un super-touriste.
En le constatant, et comme nous avons vu déja beaucoup d'édifices et de statues d'inconnus depuis quelques mois, nous avons décidé de vivre Buenos Aires comme la viverais un de ses habitants. Nous avons donc suivit Santi, avec José,un peu partout. La soiré chez Negro (un ami), la sieste de l'aprés-midi, la pratique du groupe de musique le mardi soir, le petit bar oú la biére es trop cher, faire un asado, des aprés-midi á jouer de la guitare á l'appartement, aller á l'épicerie, écouter un film "éffouairé" á 5 sur un matela , cuisiner de la tarte aux pommes, commander de la pizza et la manger assi dans le rue. Nous avons bien pris un peu de temps pour visiter, mais l'accent a surtout été mit sur l'aspect social de cet étape du voyage.
En ordre: Santi, José et Rulo. Tout en musique!

Une vie simple, comme si nous étions chez nous.
D'ailleur, les groupe d'amis de Santi nous a si bien acceuillit que nous nous sommes senti des leurs toute la semaines.
Corinne qui se fait réprimander par la police! On a bien rit!

Rythme de vie...
Santiago, pour le moment, ne travail pas. Il revient de voyage et profite de ses amis et du temps.
La vie a Buenos Aires, si elle nous semblait tardive ailleur, est vraiment décalée de notre vie au Québec!

Un bon maté bien amer!!!
Journée typique :
nous nous levons vers 1 heure pm (ne me jugez pas tout de suite, vous allez comprendre pourquoi) et on déjeune-dine vers 3 heures pm. On pense longtemps á ce qu'on va faire aujourd'hui et finalement on passe un bon 5 heures á jongler, jouer de la guitare, faire du macramé, predre une douche, etc. On sort en soirée, on va voir des amis ou un coin de la ville. On se proméne.
Vers 10 heures on pense a souper, á minuit c'est fait.
On appel des amis. Ils viennent ici ou c'est nous qui allons les rejoindre.
On boit un peu, s'amuse beaucou et finissons pas nous coucher.
Jamais avant 3 heures 30 am. Et on recommence!
Notre asado international! Québéco-colmbo-argentin: un vrais régale!

Il y a meme eu cette soiree chez une amie de Santiago qui celebrait son anniversaire. Un vrais party!
Du jell-o á la Vodka, du punch, un asado, de la musique forte! Santiago et son groupe avait preparé un spectacle
a la demande de la fetée et devaient jouer vers 1 heure du matin, quand tout les invités seraient arrivés.
Á 2 h 00, ils n'avaient pas encore commencé. Finalement le spectacle a finit vers 4 heures.
Nous avons meme chanté une chansons avec eux en francais!
Comme nous devions nous lever tot le lendemain pour aller chercher Danielle á l'aéroprt, nous sommes partis plus tot, vers 5 heures 30. D'habitude, le party finit vers 7 heures défois 8! Ils sont fous c'est argentins!
Hier, nous sommes allées retrouver Danielle, la mére de Camille á l'aéroport.
Qu'elles belle retrouvailles! émouvante, vous l'imaginez j'en suis certaine!
Aprés 5 minutes, on aurait dit que toute la distance qui nous séparait depuis des mois avait disparue.
On parlait potins de cháteauguay, cuisine, voyage, peu importe.
Nous avons présenté Santi á Danielle et elle nous a épaté avec un super espagnole! Comment a-elle fait pour garder son espagnole depuis son voyage en espagne? Je n'en ai aucunne idée, mais j'espére que ce sera la meme choe pour moi!
Le métro de Buenos Aires!
On se croirait dans les années 50! Tout est en bois, les fenetres s'ouvrent et des lampes en vitres éclairent le wagon!

Demain, moi et Corinne nous séparons de Camille et Danielle pour descancendre vers le sud avec notre colombien préféré José.
L'objectif: la terre de feu!!!
On s'en reparle!
C'est pourtant la grandeur de la ville qui m'a le plus frappé. En entrant dans la capital, nous sommes dans un 4x4 tout neuf. Son propriétaire nous a embarqué sur le pouce et nous explique manintenant divers aspects techniques sur le fonctionnement de la ville. Nous avons peine á nous concentrer tellement les autoroutes á 6 voies nous impressionnent! Ca fait un sacré bout de temps que nous avions vue une autoroute pareil. En fait, je crois que meme chez nous il n'y en a pas.
Arriver a destination, il nous reste a prendre un bus de ville, avec tout notre équipement, pour nous rendre chez Santiago.
Vous rappelez-vous de Sorata en Bolivie? Une petite ville perdue, des amis, une riviere, une petite maison?, nous y avions rencontré Santiago et il nous attend maintenant chez lui. Nous avons trés hate de le voir. D'autant plus que José, une
autre rencontre de Sorata, est aussi chez Santi.
Les retrouvailles sont toujours belles et nous sommes tous heureux de constater que notre amitié en est seulement á ces début.
Nous qui croyons ne jamais nous revoir en nous quittant en Bolivie!
La maison de Santi est génial! Un coup de coeur! Parce que nous y vivons avec lui et José, parce qu'elle est bien situé et parce que les amis de Santi y sont omniprésent, le lieu dégage une chaleur humaine qui marque.
Dés le premier soir, nous sortons dans Buenos Aires pour aller voir un spectacle de percussion. Dans la rue, ca grouille.
Les gens sont différenst de la campagne. On se croirait sur le mont royale un dimanche aprés-midi. Malgré toutes les mises en garde (et il y en a eu une tonne) nous nous sentons tout á fait en sécurité. D'autant plus que nous sommes avec des gens de la place.
José, notre colombien préféré!!
Survole d'une semaine citadine:
Buenos Aires, c'est immense. Pas le temps de tout voir en une semaine, á moins d'etre un super-touriste.
En le constatant, et comme nous avons vu déja beaucoup d'édifices et de statues d'inconnus depuis quelques mois, nous avons décidé de vivre Buenos Aires comme la viverais un de ses habitants. Nous avons donc suivit Santi, avec José,un peu partout. La soiré chez Negro (un ami), la sieste de l'aprés-midi, la pratique du groupe de musique le mardi soir, le petit bar oú la biére es trop cher, faire un asado, des aprés-midi á jouer de la guitare á l'appartement, aller á l'épicerie, écouter un film "éffouairé" á 5 sur un matela , cuisiner de la tarte aux pommes, commander de la pizza et la manger assi dans le rue. Nous avons bien pris un peu de temps pour visiter, mais l'accent a surtout été mit sur l'aspect social de cet étape du voyage.
En ordre: Santi, José et Rulo. Tout en musique!
Une vie simple, comme si nous étions chez nous.
D'ailleur, les groupe d'amis de Santi nous a si bien acceuillit que nous nous sommes senti des leurs toute la semaines.
Corinne qui se fait réprimander par la police! On a bien rit!
Rythme de vie...
Santiago, pour le moment, ne travail pas. Il revient de voyage et profite de ses amis et du temps.
La vie a Buenos Aires, si elle nous semblait tardive ailleur, est vraiment décalée de notre vie au Québec!
Un bon maté bien amer!!!
Journée typique :
nous nous levons vers 1 heure pm (ne me jugez pas tout de suite, vous allez comprendre pourquoi) et on déjeune-dine vers 3 heures pm. On pense longtemps á ce qu'on va faire aujourd'hui et finalement on passe un bon 5 heures á jongler, jouer de la guitare, faire du macramé, predre une douche, etc. On sort en soirée, on va voir des amis ou un coin de la ville. On se proméne.
Vers 10 heures on pense a souper, á minuit c'est fait.
On appel des amis. Ils viennent ici ou c'est nous qui allons les rejoindre.
On boit un peu, s'amuse beaucou et finissons pas nous coucher.
Jamais avant 3 heures 30 am. Et on recommence!
Notre asado international! Québéco-colmbo-argentin: un vrais régale!
Il y a meme eu cette soiree chez une amie de Santiago qui celebrait son anniversaire. Un vrais party!
Du jell-o á la Vodka, du punch, un asado, de la musique forte! Santiago et son groupe avait preparé un spectacle
a la demande de la fetée et devaient jouer vers 1 heure du matin, quand tout les invités seraient arrivés.
Á 2 h 00, ils n'avaient pas encore commencé. Finalement le spectacle a finit vers 4 heures.
Nous avons meme chanté une chansons avec eux en francais!
Comme nous devions nous lever tot le lendemain pour aller chercher Danielle á l'aéroprt, nous sommes partis plus tot, vers 5 heures 30. D'habitude, le party finit vers 7 heures défois 8! Ils sont fous c'est argentins!
Hier, nous sommes allées retrouver Danielle, la mére de Camille á l'aéroport.
Qu'elles belle retrouvailles! émouvante, vous l'imaginez j'en suis certaine!
Aprés 5 minutes, on aurait dit que toute la distance qui nous séparait depuis des mois avait disparue.
On parlait potins de cháteauguay, cuisine, voyage, peu importe.
Nous avons présenté Santi á Danielle et elle nous a épaté avec un super espagnole! Comment a-elle fait pour garder son espagnole depuis son voyage en espagne? Je n'en ai aucunne idée, mais j'espére que ce sera la meme choe pour moi!
Le métro de Buenos Aires!
On se croirait dans les années 50! Tout est en bois, les fenetres s'ouvrent et des lampes en vitres éclairent le wagon!
Demain, moi et Corinne nous séparons de Camille et Danielle pour descancendre vers le sud avec notre colombien préféré José.
L'objectif: la terre de feu!!!
On s'en reparle!
dimanche 13 février 2011
Miss Univers doit être argentine!
Gualeguaychu, Carnaval argentin.
Revenus en Argentine par le frontière de Fray Bentos, qui donne sur la ville festive de Gualeguaychu, nous n'avions d'autre choix que de rester quelques jours dans le coin pour profiter d'une expérience unique: le Carnaval.
Notre imaginaire est souvent riche en image de carnaval que nous avons vu ici et là du Brésil. Costumes ultra-sexy, danses endiablées, couleurs, plumes, musique, bikini, fête ! Nous qui allions assiter à un carnaval en Argentine ne savions vraiment pas si on devait s'attendre à autant d'extravaguances. La culture argentine est-elle similaire à celle du Brésil que nous ne connaissons pas?
Nous avons attendues le carnaval avec impatience. La veille, en soirée, nous avons rencontrer les cyclistes québécois que nous avions croisé à Tucumàn avec leur père. c'est donc avec eux que nous sommes parties le lendemain pour découvrir la ville Carnaval.
L'entré pour le site du carnaval n'était pas donné! En se rensaignant, nous avons appris qu'à une certaine heure, les gardeins de sécurité laissaient ntré les gens grstuitement pour la dernière heure. Allons y pour ca! Après avoir souper avec nos trois québécois, un autre québécois de passage et deux américains, nous avonsa entreprit de décourir la ville de nuit. Il y avait du mouvement!
Des gens festifs criant dans la rue, lançant de la mousse aux passants, jouant du tambour, des dançeuses en costume attroupant la foule, des "stands" de bières et de Fernet. Wow, la nuit s'annonce longue! Il faut dire que le carnaval commence à 11 heures et termine vers 4 heures du matin. C'est le plus grand Carnaval d'Argentine!
Dans la rue, nous croisons une attraction touristique des plus attrayante. Une boule de plastique avec des parois gonflées qui vous permet de ressentir ce que peut ressentir un hamster dans sa roue! Et oui, une boule immense ou l'on peut entrer à deux et se faire pousser sur la rue! Génial! je ne me souviens plus avoir tant rit dans ma vie avant ce moment! On essaie de courrir, on est incapable, on tombe.
Où est le ciel? Où est la terre? " Oups! je te suis tombé dessus! Pas grave, ca ne blesse pas ici." Le monde tourne et on crie en riant à s'en fouler les côtes! J'en demande une à ma fête, c'est certain!
Pour la suite, comme il était déjà 1 heures 30, on commence à se diriger vers le carnaval. Dans la rue, on croise des dançeurs qui se dirigent vers le site eux aussi. Quels costumes! Pas beaucoup de tissus, mais des plumes et des paillettes à profusions Arrivé près du site, nous croisons des amis Argentins de Coroïco! Yé!
On finit par perdre Camille et Christian, donc moi et Corinne restons avec les argentins. ON essaie de rentré plus tôt que les autres, mais la sécurité est vraiment zèlée! On attend donc sur le trottoir avec des bières et de la musiques. Rien de désagrable :) Finalement, vers 3h00, on nous laisse entrer. Nous trouvons vite un bon endroit pour voir... et la magie commence!!!
Après 30 secondes, j'avais compris le sens profond du mot païen!
Le thème du défilé était le cauchemard. Les coStumes étaient gigantesques, les chars-alégoriques immenses, et les danseurs tous plus beaux et souriants les un que les autres!
Ils ont défilé devant nous pendant une heures au cours de laquelle je n'ai cessée de m'émerveiller un seul instant! C'était hypnotisant! Les costumes féminins étaient parfois si petits que seul le pubis et les mamelons étaient recouvers. Les danses étaient souvent endiablées et la musique très entraînante.
Les personnages représentait des moustiques, des diables, des démons, des monstres, des anges noirs. Le monde fantastique du rêve inquiétant était représenté devant nous de façon troublante, sensuelle, esthétique et tellement "latino".
Jamais un carnaval se déroulerait ainsi au Québec. Il faut vraiment venir ici, pour se laisser toucher par la magie de la culture latino-américain, l'énergie de la foule.
Une expérience unique que nous n'oublierons jamais!
Je suis d'ailleur bien décidée à aller voir un jour le fameux carnaval de Rio pour me figurer comment il peur être plus impressionant!?
Demain, nous partons déjà pour Buenpos Aires ou nous irons rejoindre la mère de Camille qui arrive dans une petite semaine!!
Revenus en Argentine par le frontière de Fray Bentos, qui donne sur la ville festive de Gualeguaychu, nous n'avions d'autre choix que de rester quelques jours dans le coin pour profiter d'une expérience unique: le Carnaval.
Notre imaginaire est souvent riche en image de carnaval que nous avons vu ici et là du Brésil. Costumes ultra-sexy, danses endiablées, couleurs, plumes, musique, bikini, fête ! Nous qui allions assiter à un carnaval en Argentine ne savions vraiment pas si on devait s'attendre à autant d'extravaguances. La culture argentine est-elle similaire à celle du Brésil que nous ne connaissons pas?
Nous avons attendues le carnaval avec impatience. La veille, en soirée, nous avons rencontrer les cyclistes québécois que nous avions croisé à Tucumàn avec leur père. c'est donc avec eux que nous sommes parties le lendemain pour découvrir la ville Carnaval.
L'entré pour le site du carnaval n'était pas donné! En se rensaignant, nous avons appris qu'à une certaine heure, les gardeins de sécurité laissaient ntré les gens grstuitement pour la dernière heure. Allons y pour ca! Après avoir souper avec nos trois québécois, un autre québécois de passage et deux américains, nous avonsa entreprit de décourir la ville de nuit. Il y avait du mouvement!
Des gens festifs criant dans la rue, lançant de la mousse aux passants, jouant du tambour, des dançeuses en costume attroupant la foule, des "stands" de bières et de Fernet. Wow, la nuit s'annonce longue! Il faut dire que le carnaval commence à 11 heures et termine vers 4 heures du matin. C'est le plus grand Carnaval d'Argentine!
Dans la rue, nous croisons une attraction touristique des plus attrayante. Une boule de plastique avec des parois gonflées qui vous permet de ressentir ce que peut ressentir un hamster dans sa roue! Et oui, une boule immense ou l'on peut entrer à deux et se faire pousser sur la rue! Génial! je ne me souviens plus avoir tant rit dans ma vie avant ce moment! On essaie de courrir, on est incapable, on tombe.
Où est le ciel? Où est la terre? " Oups! je te suis tombé dessus! Pas grave, ca ne blesse pas ici." Le monde tourne et on crie en riant à s'en fouler les côtes! J'en demande une à ma fête, c'est certain!
Pour la suite, comme il était déjà 1 heures 30, on commence à se diriger vers le carnaval. Dans la rue, on croise des dançeurs qui se dirigent vers le site eux aussi. Quels costumes! Pas beaucoup de tissus, mais des plumes et des paillettes à profusions Arrivé près du site, nous croisons des amis Argentins de Coroïco! Yé!
On finit par perdre Camille et Christian, donc moi et Corinne restons avec les argentins. ON essaie de rentré plus tôt que les autres, mais la sécurité est vraiment zèlée! On attend donc sur le trottoir avec des bières et de la musiques. Rien de désagrable :) Finalement, vers 3h00, on nous laisse entrer. Nous trouvons vite un bon endroit pour voir... et la magie commence!!!
Après 30 secondes, j'avais compris le sens profond du mot païen!
Le thème du défilé était le cauchemard. Les coStumes étaient gigantesques, les chars-alégoriques immenses, et les danseurs tous plus beaux et souriants les un que les autres!
Ils ont défilé devant nous pendant une heures au cours de laquelle je n'ai cessée de m'émerveiller un seul instant! C'était hypnotisant! Les costumes féminins étaient parfois si petits que seul le pubis et les mamelons étaient recouvers. Les danses étaient souvent endiablées et la musique très entraînante.
Les personnages représentait des moustiques, des diables, des démons, des monstres, des anges noirs. Le monde fantastique du rêve inquiétant était représenté devant nous de façon troublante, sensuelle, esthétique et tellement "latino".
Jamais un carnaval se déroulerait ainsi au Québec. Il faut vraiment venir ici, pour se laisser toucher par la magie de la culture latino-américain, l'énergie de la foule.
Une expérience unique que nous n'oublierons jamais!
Je suis d'ailleur bien décidée à aller voir un jour le fameux carnaval de Rio pour me figurer comment il peur être plus impressionant!?
Demain, nous partons déjà pour Buenpos Aires ou nous irons rejoindre la mère de Camille qui arrive dans une petite semaine!!
dimanche 6 février 2011
Uruguay!
Nous voici en Uruguay!
Des chutes d'Iguazu, nous avons faites du pouce jusqu'à la frontière Argentine qui donne sur Fray Bentos en Urugay. Sur le chemin, nous avons été plutôt chanceuses. Un camioneur faisait à peu près exactement la même route que nous et il a bien voulu nous embarquer dans son camion. Comme le trajet était très long ( 800 Km à 40 km/h) nous avons dormis une partie du trajet.
Nous et notre camion!

À la frontière, du côté argentin, le prix des auberges nous a découragé! Au moins trois fois ce que l'on avait l'habitude de payer! En cherchant et en demandant aux gens de la ville, nous aovns trouvé une famille qui nous a loué une chambre pour un prix vraiment raisonnable. En plus, la maman de la famille nous a pris en affection et nous a servit le petit déjeuner et le çcafé au lait! Le soir, ses deux fils de notre âge nous ont sortit pour nous faire visiter la ville et nous on inviter à souper et à la crème glacée.

Anecdote: comme Camille ne savait pas combien de crème glacée il convenanit de commander pour 5 personnes, elle a commander un kilo!... nous n'avons pas réussit à le manger au complet.
Le lendemain, nous avons quitté notre petite famille pour traverser la frontière en direction de l'Uruguay. Nous avons bien fait de prendre un bus, car cela nous permis de sauver les 6 kilomètres d'attente pour les douanes!
En Uruguay, nous avons été charmé par la beauté des paysages et la tranquilité ambiante. Le soir, les familles sortent dans la rue, sur des chaises de plage, et dégustent un bon maté. Les plages sont magnifiques et le soleil nous réchauffe jusqu'à 9 heures du soir.
notre campement

Le troisième soirs, nous avons même dû faire du camping sur la plage! C'était magnifique. nous avons pu passer la nuit à la belle étoile.... et ils y en avait! On pouvait distinguer clairement la voie lactée. Quelle nuit!
Nous sommes présentement à Aguas dulces sur la côte atlantique. Le temps est magnifiques et nous nous sommes payé une petite maison de type "roulotte" pour 5 jours! La plage nous attends!!!
Un bon Daikiri

Une plage à perte de vue!

Seul bémol au paysage: les coups de soleils, que nous collectionnons maintenant malrgé notre crème solaire.
Création artistique pour Pascale!

...l'arbre enchanteur!
D'ici quleques jours, nous partirons pour visiter les villes coloniales de l'Uruguay!
On s'en reparle!
Des chutes d'Iguazu, nous avons faites du pouce jusqu'à la frontière Argentine qui donne sur Fray Bentos en Urugay. Sur le chemin, nous avons été plutôt chanceuses. Un camioneur faisait à peu près exactement la même route que nous et il a bien voulu nous embarquer dans son camion. Comme le trajet était très long ( 800 Km à 40 km/h) nous avons dormis une partie du trajet.
Nous et notre camion!
À la frontière, du côté argentin, le prix des auberges nous a découragé! Au moins trois fois ce que l'on avait l'habitude de payer! En cherchant et en demandant aux gens de la ville, nous aovns trouvé une famille qui nous a loué une chambre pour un prix vraiment raisonnable. En plus, la maman de la famille nous a pris en affection et nous a servit le petit déjeuner et le çcafé au lait! Le soir, ses deux fils de notre âge nous ont sortit pour nous faire visiter la ville et nous on inviter à souper et à la crème glacée.
Anecdote: comme Camille ne savait pas combien de crème glacée il convenanit de commander pour 5 personnes, elle a commander un kilo!... nous n'avons pas réussit à le manger au complet.
Le lendemain, nous avons quitté notre petite famille pour traverser la frontière en direction de l'Uruguay. Nous avons bien fait de prendre un bus, car cela nous permis de sauver les 6 kilomètres d'attente pour les douanes!
En Uruguay, nous avons été charmé par la beauté des paysages et la tranquilité ambiante. Le soir, les familles sortent dans la rue, sur des chaises de plage, et dégustent un bon maté. Les plages sont magnifiques et le soleil nous réchauffe jusqu'à 9 heures du soir.
notre campement
Le troisième soirs, nous avons même dû faire du camping sur la plage! C'était magnifique. nous avons pu passer la nuit à la belle étoile.... et ils y en avait! On pouvait distinguer clairement la voie lactée. Quelle nuit!
Nous sommes présentement à Aguas dulces sur la côte atlantique. Le temps est magnifiques et nous nous sommes payé une petite maison de type "roulotte" pour 5 jours! La plage nous attends!!!
Un bon Daikiri
Une plage à perte de vue!
Seul bémol au paysage: les coups de soleils, que nous collectionnons maintenant malrgé notre crème solaire.
Création artistique pour Pascale!
...l'arbre enchanteur!
D'ici quleques jours, nous partirons pour visiter les villes coloniales de l'Uruguay!
On s'en reparle!
samedi 29 janvier 2011
Iguazù
Voici les photos du dernier blog.
La route vers Posadas, en entrant dans la province de missiones.

Un camioneur au grand coeur!

Une rizière immense!!

Dans le vent

Hier fut une grande journée!
Nous avons enfin admiré les chutes d'Iguazù.

Connues dans le monde entier pour leur splendeur et leur dimmension expetionnelle, les chutes ne nous ont pas décues! Elles sont vraiment magnifiques. Mon coup de coeur à été la gorge du diable. Une des chutes, plus immense encore, qui vous envoie plein d'eau à la figure et qui semble vraiment enragée!

Le point négatif, c'est les gens!
Le parque national Iguazù ouvre à 8h00 am et dès 8h10 il semble être plein. C'est vraiment incroyable le nombre de touristes qui s'y retrouvent en même temps! Nous y avons croisé au moins 15 québécois (on les reconnait à l'accent!)


La visite du parque à durée 5 heures. Nous avons vu les chutes, des iguanes, des papillons incroyables, des coaties, des oiseaux "style pélicans". Une faune vraiment magique. La jungle dans toute sa splendeur!
On nous a même raconté qu'un tigre a mangé le fils du gardien il y a trois ans!!! Pas de Hors-Sentier ici!!!!

Après la visite, nous sommes tout de suite parties de la ville d'Iguazù pour trouver un hotel moins cher. Nous sommes donc de retour à Posadas. Nous nous sommes payé un souper Italien et des bons lits douillets dans une chambre agrémentée d'un ventilateur!!! Magique pour se remettre sur le piton!

En bonus....
voici une photo de note belle petite tente.

Devivez laquelle est la nôtre!
La route vers Posadas, en entrant dans la province de missiones.
Un camioneur au grand coeur!
Une rizière immense!!
Dans le vent
Hier fut une grande journée!
Nous avons enfin admiré les chutes d'Iguazù.
Connues dans le monde entier pour leur splendeur et leur dimmension expetionnelle, les chutes ne nous ont pas décues! Elles sont vraiment magnifiques. Mon coup de coeur à été la gorge du diable. Une des chutes, plus immense encore, qui vous envoie plein d'eau à la figure et qui semble vraiment enragée!
Le point négatif, c'est les gens!
Le parque national Iguazù ouvre à 8h00 am et dès 8h10 il semble être plein. C'est vraiment incroyable le nombre de touristes qui s'y retrouvent en même temps! Nous y avons croisé au moins 15 québécois (on les reconnait à l'accent!)
La visite du parque à durée 5 heures. Nous avons vu les chutes, des iguanes, des papillons incroyables, des coaties, des oiseaux "style pélicans". Une faune vraiment magique. La jungle dans toute sa splendeur!
On nous a même raconté qu'un tigre a mangé le fils du gardien il y a trois ans!!! Pas de Hors-Sentier ici!!!!
Après la visite, nous sommes tout de suite parties de la ville d'Iguazù pour trouver un hotel moins cher. Nous sommes donc de retour à Posadas. Nous nous sommes payé un souper Italien et des bons lits douillets dans une chambre agrémentée d'un ventilateur!!! Magique pour se remettre sur le piton!
En bonus....
voici une photo de note belle petite tente.
Devivez laquelle est la nôtre!
jeudi 27 janvier 2011
Haciendo dedo....
Ça y est!
Nous avons trouvé....
Pour tout ceux qui veulent voyager en Argentine pour vraiment pas cher, c'est à dire:
se déplacer gratuitement, se faire payer des pâtisseries, des boissons gazeuses, de la bière, avoir des guides privés tout les jours, pouvoir dormir dans un lit dans les déplacement longue distance et pratiquer leur espagnole.... voici la solution: faites du pouce!
Depuis une semaine, nous avons fait la découverte de ce mode de déplacement et franchement nous sommes enchantées! Nous nous sommes déplacées de Tucùman jusqu'au chute de Iguazu en trois jours et gratuitement!
La première journée, j'étais un peu septique quant à nos chances de se rendre. Il faut dire que le chemin que nous avions à faire était très long.
En autobus, le trajet se fait en 15 heures et coûte 370 pesos (un peu moins que 100$).
De tucuman, comme on nous l'avait recommandé, nous sommes allées dans une sation service sur le bord de l'autoroute pour demander aux camions de nous amener. En 15 minutes seulement, nous avions trouvé un camioneur qui voulait bien nous embarquer jusqu'à Quimili... à 7 heures de tucuman. Youpi!
Marcelo (le camioneur) nous a jaser de tout et de rien tout le trajet. Il nous a fait milles mises en gardes, nous a raconté sa vie, nous a posé milles questions sur la Canada. Un momement vraiment agréable. D'autant plus que nous pouvions lui poser toutes les questions que nous voulions sur l'Argentine en générale!
Il nous a acheté plusieurs bouteilles de jus et nous a faire boir de son propre maté tout le trajet!! Merci!
Anecdote: â peine 10 minutes après être embarqué avec Marcelo.... la police nous colle!!! Ils sont trois policier.
Pendant que le premier parle à Marcelo, nous voyons les deux autres jouer sur la plaque du camion en arrière. Après avoir vérifié les papiers (en ordres) de Marcelo, le premier fait le tour du camion et cherche un problème...
Il reviens nous voir pour nous dire que le numéro de la plaque est incorrect, illisible (je n'ai pas tout compris). Pour laisser Marcelo continuer sa route ils exigent de l'argent! 1000 pesos (250$) cash sinon ils lui bloquent le passage!
Nous, nous sommes autrées, mais Marcelo, bien qu'en colère, se résigne et paye les "gardiens de la lois". En remontant dans le camion, Marcelo nous explique que se sont les deux autres policiers qui ont bousillé la plaque! Jamais je n'avais assiter à une scène de corrution d'aussi proche!
Le lendemain, nous avons fait du camion une seconde fois. Le camioneur nous a acheter des biscuits pour nous nourrir pendant au moins trois jours et une patisserie argentine, l'alafjore, "pour vous faire goûter!" Ensuite nous sommes embarquées avec un jeune homme de 32 ans. Il nous a aussi gâté en empanadas, bières et milanesa de pollo. Par contre, nous avons menti sur notre destination pour débarquer plus tôt, car sa façon de conduire nous donnait la trouille!!!! Les voitures conduisent beaucoup plus vite ici!
Finalement, hier nous sommes arrivées à Iguazu, exténuée après être montées dans 5 voitures et camions différents pour faire le reste du trajet.
De tout les gens qui nous ont embarqués, tous étaient attentionés, intéressés et très aimables.
Fait à souligner, dans les camions, une des trois filles est assise du côté conducteur et les deux autres sont confortablement allongées sur le lit à l'arrières des deux sièges. Génial pour faire la sieste à l'air climatisée!
Arrivée à Iguazu, nous sommes de nouveau en camping, car les hotels sont beaucoup trop cher pour notre budget. Le lieu est tellement touristique que tout les prix sont"boostés".
Demain, nous comptons aller voir les fameuses chutes!! Nous avons bien hâte de les admirer. Avant de partir en voyage, ce moment me semblait si loins que je ne savais même pas si nous nous rendrions.... mais voilà, nous y sommes! Et, malgré les 40degrés à l'ombre et la fatigue, nous comptons bien en profiter au maximum!!!!
À bientôt!
- désolée une seconde fois pour les photos, cet ordiaqteur ne fonctionne pas non-plus!
Nous avons trouvé....
Pour tout ceux qui veulent voyager en Argentine pour vraiment pas cher, c'est à dire:
se déplacer gratuitement, se faire payer des pâtisseries, des boissons gazeuses, de la bière, avoir des guides privés tout les jours, pouvoir dormir dans un lit dans les déplacement longue distance et pratiquer leur espagnole.... voici la solution: faites du pouce!
Depuis une semaine, nous avons fait la découverte de ce mode de déplacement et franchement nous sommes enchantées! Nous nous sommes déplacées de Tucùman jusqu'au chute de Iguazu en trois jours et gratuitement!
La première journée, j'étais un peu septique quant à nos chances de se rendre. Il faut dire que le chemin que nous avions à faire était très long.
En autobus, le trajet se fait en 15 heures et coûte 370 pesos (un peu moins que 100$).
De tucuman, comme on nous l'avait recommandé, nous sommes allées dans une sation service sur le bord de l'autoroute pour demander aux camions de nous amener. En 15 minutes seulement, nous avions trouvé un camioneur qui voulait bien nous embarquer jusqu'à Quimili... à 7 heures de tucuman. Youpi!
Marcelo (le camioneur) nous a jaser de tout et de rien tout le trajet. Il nous a fait milles mises en gardes, nous a raconté sa vie, nous a posé milles questions sur la Canada. Un momement vraiment agréable. D'autant plus que nous pouvions lui poser toutes les questions que nous voulions sur l'Argentine en générale!
Il nous a acheté plusieurs bouteilles de jus et nous a faire boir de son propre maté tout le trajet!! Merci!
Anecdote: â peine 10 minutes après être embarqué avec Marcelo.... la police nous colle!!! Ils sont trois policier.
Pendant que le premier parle à Marcelo, nous voyons les deux autres jouer sur la plaque du camion en arrière. Après avoir vérifié les papiers (en ordres) de Marcelo, le premier fait le tour du camion et cherche un problème...
Il reviens nous voir pour nous dire que le numéro de la plaque est incorrect, illisible (je n'ai pas tout compris). Pour laisser Marcelo continuer sa route ils exigent de l'argent! 1000 pesos (250$) cash sinon ils lui bloquent le passage!
Nous, nous sommes autrées, mais Marcelo, bien qu'en colère, se résigne et paye les "gardiens de la lois". En remontant dans le camion, Marcelo nous explique que se sont les deux autres policiers qui ont bousillé la plaque! Jamais je n'avais assiter à une scène de corrution d'aussi proche!
Le lendemain, nous avons fait du camion une seconde fois. Le camioneur nous a acheter des biscuits pour nous nourrir pendant au moins trois jours et une patisserie argentine, l'alafjore, "pour vous faire goûter!" Ensuite nous sommes embarquées avec un jeune homme de 32 ans. Il nous a aussi gâté en empanadas, bières et milanesa de pollo. Par contre, nous avons menti sur notre destination pour débarquer plus tôt, car sa façon de conduire nous donnait la trouille!!!! Les voitures conduisent beaucoup plus vite ici!
Finalement, hier nous sommes arrivées à Iguazu, exténuée après être montées dans 5 voitures et camions différents pour faire le reste du trajet.
De tout les gens qui nous ont embarqués, tous étaient attentionés, intéressés et très aimables.
Fait à souligner, dans les camions, une des trois filles est assise du côté conducteur et les deux autres sont confortablement allongées sur le lit à l'arrières des deux sièges. Génial pour faire la sieste à l'air climatisée!
Arrivée à Iguazu, nous sommes de nouveau en camping, car les hotels sont beaucoup trop cher pour notre budget. Le lieu est tellement touristique que tout les prix sont"boostés".
Demain, nous comptons aller voir les fameuses chutes!! Nous avons bien hâte de les admirer. Avant de partir en voyage, ce moment me semblait si loins que je ne savais même pas si nous nous rendrions.... mais voilà, nous y sommes! Et, malgré les 40degrés à l'ombre et la fatigue, nous comptons bien en profiter au maximum!!!!
À bientôt!
- désolée une seconde fois pour les photos, cet ordiaqteur ne fonctionne pas non-plus!
mercredi 19 janvier 2011
C'est le métier qui rentre....
Récit des 4 derniers jours.... Attachez votre tuque!
IL y a quatre jours, nous revenions de Sorata où nous avons passé un très beau séjour avec Lorenzo. Relaxer près de la rivière, lire un bon livre, jouer de la guitare!
Maintenant que Lorenzo est parit... direction Paraguay!
Nous prenons un bus de nuit de 17 heures pour nous rendre à Santa Cruz dans l'est du pays. Par chance, nous trouvons une entreprise de bus qui nous fait le même prix pour un bus de luxe qu'un bus normal!!! Nous avons pu profiter d'un dernier luxe avant de nous rendre dans des pays plus couteux.
Nous arrivons à Santa Cruz le matin vers 10 h 00. Au terminal, nous cherchons directement des bus qui se rendent au Paraguay. Mauvaise surprise... toutes les entreprises chargent 60$ US pour nous faire passer la frontière et nous mener à la capital qui se trouve à l'autre extrémité du Paraguay... aucune entreprise ne veut nous laisser à la frontière sous prétexe qu'il n'y a pas de ville importante dans le chaco ( immense savane ). Nous rageons!!! Après deux mois et demi en Bolivie, 60$ c'est plus que les yeux de la tête!!!
Finalement nous trouvons une petite entreprise qui pourrait nous laisser dans une petite ville à 60 kilomètres de la frontière. De là, il faudra trouver un colectivo. C'est plus long et plus complqiué, mais l'aveture, on aime ça!
Après avoir acherté nos billets pour l'après-midi même, nous allons dîner.
Résumer de la conversation...
Camille M-E: je suis vraiment contente que nous aillons trouvé un moyen plus économique
Corinne ( en feuilletant le lonly planet) : LES FILLES!!! MAUVAISE NOUVELLE!!!
Camilla L: Quest-ce qui se passe Co!
Corinne; On a oublié d'acheter nos visa à la PAZ!!!!!
Tous en coeur : Tab%r"m!k, d'ost!"´.........
30 secondes plus tard: nous sommes mortes de rire au point où nous en avons mal au ventre!!
Hé oui! nous avons oublié d'aller chercher les visas nous permettant d'entrer au Paraguay! Ils ne sont disponible qu'à La paz!!
Heureusement que nous n'avions pas payer les 60$ pour se rendre au Paraguay!
Devant notre erreure, deux possibilités.
Retourner à la Paz ou changer d'itinéraire.
On choisit l'option 2. Nous ne sommes plus très loins de L'Argentine et justement nous voulions voir Cafayate.
Nous prenons donc notre bus et nous débarquons un peu plus loins que prévue, sur la frontière Argentine. Notre erreur nous fait encore rire tellement elle es improbable!
Nous arrivons à Yacuiba à 5h00 am. Nous prenons un taxi jusqu'aux douanes.
Le chauffeur, en nous débarquant nous demande de payer 10 bolivianos chacune!! No way bonhomme! C'était 10 pour les trois!! Il se fâche et menace de partir chercher la police!!! OK c'est bon on te donne 5 chacune!! Correct, répont-il entre deux insultes... Sa s'annonce bien!
On arrive aux douanes.
Une file d'au moins 5 heures nous attend! Merde alors!
Je m'avance pour aller voir si nous sommes bien dans la bonne file. Je demande à quelqu'un qui se présente comme un officier, mais habillé en civil.
Il me demande si j'ai un passeprot. je répond oui. Il me dit alors de passer.
Selon lui je peux sauter l'attente car j'ai un apsseport et c'est moins compliquer. Il me dit tout ca en chuchotant. Je me dit: il est gentil, il voit qu'on traîne des gros sac. Peut-être qu'il nous trouve jolie.
Bref, je vais cehrcher les passeports des filles et je retourne le voir. Il me fait alors passer devant tout le monde le plus subtilement possible. Évidemment, les autres grognent et s'énervent.... ça fait quand même 4 heures qu'ils sont en ligne.
Je passe. Je n'ai jamais ressentie autant d'hostilité de ma vie!!! Mais bon, il me fait signe que c'est bon, il explique que je suis étrangère, que j'ai un passeport, que c'est différent, etc... Arrivée au bureau du douanier il me demande si j'ai fait la file. Je répond non, on m'a dit de passer parce que j'avais un passeport. Sûrement parce que j'ai vraiment l'air poisson, il m'étampe mon passeport, mais exige que Cam et Corinne viennent elles-même. Le même manège recommance. Co et Cam ont aussi souffert de l'hostilité!!
En sortant, on est spoulagées, mais trois fois plus stressées qu'en arrivant.
Mon officier civil nous suit.... et nous demande de l'argent!!!! Et moi qui coryais que j'avais vraiment le droit de sauter la file!! Belle innocente!
Corinne répond que non, nous ne savions pas que c'était illégal (ce qui est vrais)et nous partons vers l'Argentine en courant avec l'imression de fuire un pays en criminelles!!!!
Du côté Argentin, on attend un peu, mais ca va quand même bien. On se fait fouiller, mais rien d'illégal ne nous est confisqué.
On prend un bus pour Cafayete: notre destination final.
J'ai oublié de le mentionner, mais nous avons passé les deux dernière nuits dans des bus et nous sommes épuisées!
Dans le bus nous pensons pouvoir dormir, mais non!
Premier poste de sécurité. On descend. On se refait fouiller. poser des questions, etc. On remonte dans le bus.
15 minutes plus tard, deuxième post de sécurité!!! C'est une blague! Mais non!
On descend, ils refouillenet de la même façon nos sac, la guitare, le tamtam.
C'est bon maintenant!!! un instant encore s'il vous plait...
alors que nous remontions dans le bus, une douanière vient nous chercher moi, cam et deux autres dames.
Elle nous fait entrer dans le batiment et nous fait passer dans un petit cubicule blanc avec une ampoule qui pend du plafond et referme la porte. Merde alors!!! C'est quoi tout ce cirque!!! Elle fouille les deux autres dames et les fait sorir. Nous sommes seules avec elle....
Elle fait signe à Camille lever son chandail. Camille le lève sur son ventre.... Plus haut insiste la douanière. ET une camille en brassière!
De mon côté, si elle n'exige pas de voir ma poitrine elle la fouille manuellement de facon à être certaine que je n'y cache rien! Chose cocasse, elle tripote même mes mollets alors que je suis en short!!!
On sort de la petit pièce encore heureuse qu'elle n'est pas sortie ses petits gants blancs!
Vous ne le croirez peut-être pas... (tout comme nous sur le coup), mais un troisième poste de sécurité nous attandait 15 minutes plus loins!!
Le gars à côte de nous, qui tramsportait des canettes de peinture, a faillit se les faire confisqué les 4 fois parc que le bruits de la bille était louche, la marque n'était pas connue des douaniers, etc....qu'elle aventure!!
Finalement, nous sommes arrivées à bon port et avons cherché un petit hotel douillet où nous pourrions en fin passer une nuit paisible. Après en avoir visiter plusieurs, on se rend compte que tout est VRAIMENT trop cher!!! Heureusement Corinne à acheter, il y a deux semaines, une belle petite tente deux places que nous partageons en ce moment à trois avec nos sac à dos 60 litre, une guitare, un charango et un tamtam.. Tout cela sans matelas, ni sac de couchage. On peut dire qu'on se sent vraiment comme des durs de durs en ce moment!!!
Heureusment que l'endroit est magnifique!!
-Désolée pour le manque de photo. L'ordi n'a pas d'entré USB!
IL y a quatre jours, nous revenions de Sorata où nous avons passé un très beau séjour avec Lorenzo. Relaxer près de la rivière, lire un bon livre, jouer de la guitare!
Maintenant que Lorenzo est parit... direction Paraguay!
Nous prenons un bus de nuit de 17 heures pour nous rendre à Santa Cruz dans l'est du pays. Par chance, nous trouvons une entreprise de bus qui nous fait le même prix pour un bus de luxe qu'un bus normal!!! Nous avons pu profiter d'un dernier luxe avant de nous rendre dans des pays plus couteux.
Nous arrivons à Santa Cruz le matin vers 10 h 00. Au terminal, nous cherchons directement des bus qui se rendent au Paraguay. Mauvaise surprise... toutes les entreprises chargent 60$ US pour nous faire passer la frontière et nous mener à la capital qui se trouve à l'autre extrémité du Paraguay... aucune entreprise ne veut nous laisser à la frontière sous prétexe qu'il n'y a pas de ville importante dans le chaco ( immense savane ). Nous rageons!!! Après deux mois et demi en Bolivie, 60$ c'est plus que les yeux de la tête!!!
Finalement nous trouvons une petite entreprise qui pourrait nous laisser dans une petite ville à 60 kilomètres de la frontière. De là, il faudra trouver un colectivo. C'est plus long et plus complqiué, mais l'aveture, on aime ça!
Après avoir acherté nos billets pour l'après-midi même, nous allons dîner.
Résumer de la conversation...
Camille M-E: je suis vraiment contente que nous aillons trouvé un moyen plus économique
Corinne ( en feuilletant le lonly planet) : LES FILLES!!! MAUVAISE NOUVELLE!!!
Camilla L: Quest-ce qui se passe Co!
Corinne; On a oublié d'acheter nos visa à la PAZ!!!!!
Tous en coeur : Tab%r"m!k, d'ost!"´.........
30 secondes plus tard: nous sommes mortes de rire au point où nous en avons mal au ventre!!
Hé oui! nous avons oublié d'aller chercher les visas nous permettant d'entrer au Paraguay! Ils ne sont disponible qu'à La paz!!
Heureusement que nous n'avions pas payer les 60$ pour se rendre au Paraguay!
Devant notre erreure, deux possibilités.
Retourner à la Paz ou changer d'itinéraire.
On choisit l'option 2. Nous ne sommes plus très loins de L'Argentine et justement nous voulions voir Cafayate.
Nous prenons donc notre bus et nous débarquons un peu plus loins que prévue, sur la frontière Argentine. Notre erreur nous fait encore rire tellement elle es improbable!
Nous arrivons à Yacuiba à 5h00 am. Nous prenons un taxi jusqu'aux douanes.
Le chauffeur, en nous débarquant nous demande de payer 10 bolivianos chacune!! No way bonhomme! C'était 10 pour les trois!! Il se fâche et menace de partir chercher la police!!! OK c'est bon on te donne 5 chacune!! Correct, répont-il entre deux insultes... Sa s'annonce bien!
On arrive aux douanes.
Une file d'au moins 5 heures nous attend! Merde alors!
Je m'avance pour aller voir si nous sommes bien dans la bonne file. Je demande à quelqu'un qui se présente comme un officier, mais habillé en civil.
Il me demande si j'ai un passeprot. je répond oui. Il me dit alors de passer.
Selon lui je peux sauter l'attente car j'ai un apsseport et c'est moins compliquer. Il me dit tout ca en chuchotant. Je me dit: il est gentil, il voit qu'on traîne des gros sac. Peut-être qu'il nous trouve jolie.
Bref, je vais cehrcher les passeports des filles et je retourne le voir. Il me fait alors passer devant tout le monde le plus subtilement possible. Évidemment, les autres grognent et s'énervent.... ça fait quand même 4 heures qu'ils sont en ligne.
Je passe. Je n'ai jamais ressentie autant d'hostilité de ma vie!!! Mais bon, il me fait signe que c'est bon, il explique que je suis étrangère, que j'ai un passeport, que c'est différent, etc... Arrivée au bureau du douanier il me demande si j'ai fait la file. Je répond non, on m'a dit de passer parce que j'avais un passeport. Sûrement parce que j'ai vraiment l'air poisson, il m'étampe mon passeport, mais exige que Cam et Corinne viennent elles-même. Le même manège recommance. Co et Cam ont aussi souffert de l'hostilité!!
En sortant, on est spoulagées, mais trois fois plus stressées qu'en arrivant.
Mon officier civil nous suit.... et nous demande de l'argent!!!! Et moi qui coryais que j'avais vraiment le droit de sauter la file!! Belle innocente!
Corinne répond que non, nous ne savions pas que c'était illégal (ce qui est vrais)et nous partons vers l'Argentine en courant avec l'imression de fuire un pays en criminelles!!!!
Du côté Argentin, on attend un peu, mais ca va quand même bien. On se fait fouiller, mais rien d'illégal ne nous est confisqué.
On prend un bus pour Cafayete: notre destination final.
J'ai oublié de le mentionner, mais nous avons passé les deux dernière nuits dans des bus et nous sommes épuisées!
Dans le bus nous pensons pouvoir dormir, mais non!
Premier poste de sécurité. On descend. On se refait fouiller. poser des questions, etc. On remonte dans le bus.
15 minutes plus tard, deuxième post de sécurité!!! C'est une blague! Mais non!
On descend, ils refouillenet de la même façon nos sac, la guitare, le tamtam.
C'est bon maintenant!!! un instant encore s'il vous plait...
alors que nous remontions dans le bus, une douanière vient nous chercher moi, cam et deux autres dames.
Elle nous fait entrer dans le batiment et nous fait passer dans un petit cubicule blanc avec une ampoule qui pend du plafond et referme la porte. Merde alors!!! C'est quoi tout ce cirque!!! Elle fouille les deux autres dames et les fait sorir. Nous sommes seules avec elle....
Elle fait signe à Camille lever son chandail. Camille le lève sur son ventre.... Plus haut insiste la douanière. ET une camille en brassière!
De mon côté, si elle n'exige pas de voir ma poitrine elle la fouille manuellement de facon à être certaine que je n'y cache rien! Chose cocasse, elle tripote même mes mollets alors que je suis en short!!!
On sort de la petit pièce encore heureuse qu'elle n'est pas sortie ses petits gants blancs!
Vous ne le croirez peut-être pas... (tout comme nous sur le coup), mais un troisième poste de sécurité nous attandait 15 minutes plus loins!!
Le gars à côte de nous, qui tramsportait des canettes de peinture, a faillit se les faire confisqué les 4 fois parc que le bruits de la bille était louche, la marque n'était pas connue des douaniers, etc....qu'elle aventure!!
Finalement, nous sommes arrivées à bon port et avons cherché un petit hotel douillet où nous pourrions en fin passer une nuit paisible. Après en avoir visiter plusieurs, on se rend compte que tout est VRAIMENT trop cher!!! Heureusement Corinne à acheter, il y a deux semaines, une belle petite tente deux places que nous partageons en ce moment à trois avec nos sac à dos 60 litre, une guitare, un charango et un tamtam.. Tout cela sans matelas, ni sac de couchage. On peut dire qu'on se sent vraiment comme des durs de durs en ce moment!!!
Heureusment que l'endroit est magnifique!!
-Désolée pour le manque de photo. L'ordi n'a pas d'entré USB!
mercredi 12 janvier 2011
Escapade à Coroico

Le départ de maman a été rapide. Un instant après la sortie de l'aéroport... je réalise qu'elle n'est plus là! Que je ne la reverrai que dans trois mois! Je sais bien que le temps va passer très vite, tout comme les 8 premier mois, mais quand même, le motton dans ma gorge ne me lâche pas!
Dès le lendemain, moi Camille et Alfredo partons pour Coroico.
Les trois heures de routes pour se rendre nous offres des paysages magnifiques dans une brume intermitante. SUPERBE!

À Coroico, impossible de trouver un hotel qui nous convient. La vue es superbe et toutes les chambres qu'il reste sont sans fenêtre! Pas question!!!
FInalement nous acceptons de passer la première nuit dans un petit hotel "crad", mais le lendemain, nous avons rencontré Don Cesar!
Il voit que nous cherchons un hotel et justement, il connait une famille qui vient tout juste d'ouvir une auberge plus bas! Allons-y!
Nous n'avons pas été décus! La maison est pleine d'enfants, nous sommes les premièrs clients. Le terrain et pleins d'arbres à fruits, de vignes et de palmiers. Et le mieux... c'est la vue!

Le mirador ou nous mangeons donne sur la vallée et chaque fois que nous nous retournons la vue nous couple le souflle!!!
Les deux premier soir, nous avons partager l'auberge avec la famille, deux fancaises (Julie et Juliette!) et trois Argentins. Les propriétaires, voulant célébrer l'ouverture de leur auberge nous on payé le vin et la bière.... ce qui leur a probablement couté plus cher que ce que nousa ovns payer pour la chambre!
Nous avons joué de la guitare, chanté et rit une bonne partie de la nuit. Que de beaux souvenirs!

Coroico est une ville magnifique. Située dans la jungle bolivienne, la ville est chaude et humide. Les palmier y sont roi. Les gens y vivent légèrement et les touristes argentins, toujours prêt à faire la fête, y abondent en ce moment.

La deuxième journée, nous sommes allé visiter les chutes!
Wow, trois chutes qui vous font sentire comme dans le livre de la jungle. Nous nous y sommes baigné, nous avons escaladé les parois rocheuses avec l'aide des lianes qui pendaient autour de la cascade d'eau. Tout simplement magique. Un de ces lieux où les rencontres sont aussi belles que les lieux visités!


Finalement après 4 jours de soleil, de pluie aussi, nous sommes revenues à La Paz pour une dernière fois. Alfredo a continuer son chemin plus loins dans la jungle bolivienne. Des adieux comme tant d'autres et pourtant différents... Comme chaque rencontre est unique, j'imagine que chaque adieux a son propre cachet également. Plus ou moins triste, plus ou moins empressé.

Parlant d'adieux, David est repartis aujourd'hui. Corinne et lui semblent vraiment avoir profité de leur 10 jours d'amoureux à Cochabamba. De retour dans trois mois!
Maintenant, une autre petite semaine en Bolivie avec notre ami de Lima, Lorenzo ( vous rapplez-vous?). Il est venu nous rejoindre hier pour passer une semaine avec nous! Ensuite Paraguay!
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