mercredi 29 septembre 2010

Huncavelica et Divan surfant



Notre séjour a Huancavelica est déjà terminé!
Quleques jours de bonheur que nous avons partagés avec un nouvel ami qui nous est maintenant cher!

Pour la première fois du voyage, nous avons expérimenter le "couchsurfing".
Ce cyber-organisme offre la possibilité a des individus de partout dans le monde d'offrir un lit a des voyageurs de façon toute à fait bénévole.
C'est donc une journée avant notre arrivée a Huancavelica que nous avons appelé Omar. Celui-ci nous a tout de suite invité chez lui pour la durée que nous désirions. Ayant étudié trois ans en France, nous avons pu communiquer en Francais et donc devenir ami très facilement. D'autant plus qu'il nous attendait, le soir de notre arrivée, avec une caisse de 12! Dès le premier soir nous avons transformé son salon en discotèque pour danser sur la musique francaise des années 80! Que de plaisir.



Les trois jours qui ont suivit furent magiques. Omar nous a fait visiter Huancavelica; les eaux thermale, la pizzeria, les danses locales, les inonmbrables traditions, les matches de foots. Il faut dire que Huancavelica n'a rien de touristique. Petite bourgade nichée au creux des montagnes, les touristes prennent rarement le temps de découvrir cette merveilleuse ville qui est mon coup de coeur. De tradition quechua, la population s'habille de façon très traditionnel et se moque gentiment de nos vêtments et de nos cheveux quand nous nous promenons!



Nous avons vite remarqué que la minorité visible ici, c'est nous! Bien sur, parout au Pérou, nous sommes en minorité, mais là c'était pus que de la minorité, c'était de l'exclusivité! Se faire dévisager, entendre rire sur son passage, ne pas pouvoir passer inapercue. Oufff, s'en était essoufflant. Pourtant, tous étaient symphatiques avec nous et nous nous sentions moins "gringas".... pas de sifflement ou de commentaire grossier, juste une curiosité polie, un intérêt courtois.

De ce sentiment de minorité, je me suis rendue compte pour la première fois de ma vie que j'étais une nord-américaine. Cette image que je n'ai jamais vraiment aimé et à laquelle je ne me suis jamais identifée auparavant s'est imposée à moi! Quoi que je puisse faire ou en dire, je suis définitivement nord-américaine. Il existe une différence culturelle tellement pronfonde entre moi et les gens d'ici. On se comprend, on s'estime, on s'aime, on s'apprécie, mais nous sommes irrévocablement différents. Je me rend compte que ma culture, les enseignements que j'ai recus, la façon dont j'ai été élevée font de moi un être culturellement tellement différent du peuple quechuas! Je vais devoir commencer a accepter la fait que je suis nord-américaine ; avec tout le positif et le négatif qui vient avec! :)




Bref, notre expérience a Huanvcavelica a été magique et nous ne pouvons remercier assez Omar pour avoir partager sa maison et son temps avec nous de façon si généreuse!

mardi 21 septembre 2010

4 mois

Une nouvelle etape de franchit.
Camille est venue nous rejoindre il y a presque une semaine.

Etrange de retrouver une si bonne amie apres 4 mois de distance.
Elle semblait amener avec elle une brise quebecoise qui ma rendue un peu nostalgique.
Des nouvelles de la familles, des amis. La plupart on commencé l'universite. On realise que c'est la premiere fois depuis nos 5 ans que nous ne rentrons pas a l'ecole en septembre...

Nous avons passer les 4 premiers jours de Camille au Perou a Lima.
Nous avons profiter au maximum de la vie nocturne avec les amis que nous nous etions fait. Camille nous a fait redecouvrir des etrangetés que nous ne remarquions plus; les taxi conduisent vraiment mal, les klaxons sont omnipresent, on mange vraiment beaucoup (trop) de riz blanc, les gens sont toujours souriants avec nous!!

Nous sommes presentement a Huancayo. Nous avons dit au revoir (peut-etre adieu) a notre tres bon ami Julio.

Huancayo est une tres belle ville. Vivante, dynamique, universitaire, autochtones en partie; l'ambiance de la sierra est vraiment differente de la cote. Dans la rue, des musiciens nous ont offert au beau spectacle traditionnel.
Au marché, nous nous sommes faite offrir un breuvage énergisant peu commun : grenouille malax{ee au miel! Le vendeur voulait nous faire avaler une grenouille entiere qu'il malaxe avec un miel local un peu douteux. En plus, je vous epargne l'état et l'odeur de l'aquarium ou reposait les grenouille en attente de leur mort prochaine et sordide.... appétissant! :)

nous partons demain pour Huancavelica!

mardi 14 septembre 2010

Cote religion

A la demande de ma mere, j;ai passe ma soiree d;hier a l;Eglise!

Je dois avouer que l;idee de me rendre a la messe ne me serait sans doute pas venue toute seule, mais finalement pourquoi pas?

En fait, moi et Corinne sommes entrees dans l;Eglise avec une mission : relever toutes le differences possibles entre une messe quebecoise et une messe peruvienne dans une grande ville.

En arrivant, nous ne savions pas vraiment a quoi nous attendre. Y allait-il avoir des guitares espagnoles, des mariachis, des danseuses en bikinis? L;Eglise allait-elle etre pleine a craquer ou parsemer de quelques tetes blanches? Le pretre serait-il ernergique et animer par une *passion latine* ou serait-il des plus ennuyant?

Nous sommes entree dans la cathedrale San Augustin de Trujillo juste a temps pour le debut de la messe. Premiere remarque: l;abside est haluciante! Un immense decors en or qui est agrementer de peintures et de sculprutes diverses. Notre *lonly planet* nous informe qu;elle date du 16eme siecle!
En fait, on peu dire que la richesse en generale est impressionante. Tout dans l;Eglise denonce l;oppulence du lieu. Pas de trace du fameux voeux de pauvrete ici....

Le pretre commence la ceremonie.
Avec une voix plus que grave, caverneuse, il entone des prieres que l;assemble reprend. La musique des voix est tres touchante. On se croirait dans un monastere cloitrer. La messe continue, dure a peu pres 45 minutes et termine. Nous avons eu droit a la meme celebration de la chretiente ici que chez nous, a quelques exeptions pres. Comme chez nous, on aurait pu dire que l;Eglise etait parsemer de quelques tetes blanches, sinon que les latinos gardent leur chevelure d'ebene jusqu;a un age tres avance. Nous avons eu droit au sermon, au *notre pere*, etc..

Differences: le pretre se donnait un air tellement mystique et murmurait si bas ses prieres que nous n;avons distinguer aucun mots de toute le celebration. Nous qui croyions pourtant nous debrouiller en espagnole!! Nous avons encore du chemin a faire!
Finalement, la difference majeur a ete le fait que le pretre ici se donne la delicate tache de depose l;ostie lui-meme dans la bouche du communiant.
Cette petite difference a d;ailleur faillit causer un choc culturel entre moi et le pretre quand j;ai presque essayer de prendre l;ostie de ses mains... oups!

Nous sommes donc sorties de la maison du Seigneur un peu decue de na pas avoir assitees a un rituel semi-paien. Pas de syncretisme, pas de guitare langoureuse, pas d;illumination ni de Salsa endiablee! Selon ce que nous avons vu hier, rien n;est plus catholique romain qu;une messe a trujillo!

mercredi 8 septembre 2010

Chamanisme ; prise 2

Un bain dans l'Amazonne!



C'est au cours de notre exursion en camping dans la jungle avec notre guide Max que l'idée de voir un chaman nous est venue. Durant de l'excursion, nous avons énormément parlé avec notre cher Max et sa cousine Esquerly. Ils nous ont vantés les bienfaits des rituels chamaniques et de la médecine naturelle. À force d'en discuter.. ils nous ont vraiment donner envie de vivre une expérience chamanique en amazonnie.

Ca tombe bien! Leur grand-père est Chaman!!




C'est donc le lendemain de notre retour en camping que nous sommes repartie pour le coeur de la jungle. Rencontre avec un chaman humain.

Au petit matin, le petit groupe que nous formons, Max, Corinne, Esquerly et moi est partie en barque sur l'amazonne. Nous avons navigué pendant une heure et demi pour nous rendre dans un petit "pueblo" amazonnien. Le mot petit est peut-être un peu faible pour décrir l'endroit. Aucun port où débarquer. Le bateau nous laisse en pleine végétation et s'est après 15 minutes de marches dans la brousse que nous débouchons devant la maisons de notre chaman Juan.

Fait à part: je crois bien m'être fracassé une orteil sur une racine de la taille d'un tronc au cours de cette petite marche. Ma petite oreitl prend, depuis, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel et change de tailles et de formes et à chaque heure! :)

Je disais donc que nous arrivons devant la maison de notre chaman. À priori, rien ne laisse paraître qu'un chaman vit ici. La coure est pleine de poule qui courent et hurlent, des enfants curieux nous regardent du hamac suspendue sur le blacon. Une jeunne femme fait cuire du poisson sur un feu de bois dans la coure. Un adolescant coupe du bois (du palmier en fait). L'atmosphère est tout a fait détendue et nous sommes heureuses de ne pas voir de peaux d'animaux suspendues un peu partout ou encore des masques de rituels plus ou moins clicher. Nous semblons avoir à faire à un vrais chaman. un "Local".




Juan, le guérisseur, vient faire notre rencontre. Il nous pose plusieurs questions. Êtes-vous cardiaque? Non. Est-ce votre première fois avec de l'Ayahuasca? Oui. Comment percevez-vous cela? etc...

Maintenant agé de 66 ans, Juan est chaman depuis 56 ans. Il nous explique que son mantore était son père et qu'il a commencé à pratiquer à 10 ans. Il fait, depuis, trois rituels par semaine avec l'Ayahuasca. Il reçoit régulièrement des groupes de locaux et de touristes. Il nous met rapidement à l'aise et nous encourage à poser des questions.
ca tombe bien... on en a à la pelter!

Pour vous situer un peu, l'Ayahuasca est un breuvage halucinogène qui cure le corps et l'esprit. Cette boisson est faite à l'aide de plantes que l'on retrouve à l'état sauvages dans la jungle. L'Ayahuasca est en fait un liane qui pousse en amazonnie et qui forme la base du-dit breuvage. La cure implique que l'on vomisse,que l'on coure se "vider" au toilet, que l'on voit les esprits qui nous entourent, que l'on halucine. Certain voient leur passé, d'autres imaginent leur futur. Juan nous affirme que souvent, lors des premièrs fois, les gens crient, pleurent, partent en courant, chantent ou dansent.

En après midi... on se prépare. C'est à dire que l'on relax dans des hamacs avec la famille du chaman, on joue au Aki avec Max et son cousin, on rit un bon coup.

Vers 7 heures, on soupe! Une grande tasse de thé. Comme les vomissements font partie de la cure que nous allons vivre en soirée, pas de nourriture!

À 8 h00, on entre dans la petite pièce en bois où ce déroulera la cérémonie.
Corinne, Esquerly, le chaman et moi allons boire. Max reste sobre pour s'occuper de nous.

8h10. C'est fait. j'ai bu mon petit vers de liquide brun. Épouvantable. Ca goûte dégueulasse et le mot est faible. L'impresison de mâcher du bois amer!
On fume ensuite un mapacho, une cigarette de tabac naturel à laquelle on a ajouté, nous et nos amis, des voeux, une espérance, une pensée positive.
Seulement la cigarette me fait tourner la tête. Il fait complètement noir et le chaman chante en agitant des bouquets de feuilles sèchées. Le tout donne une sacré ambiance!

Lentement, des gargouillis se forment dans mon estomac.
Esquerly vomit en premier. Le chaman l'encourage a se vider des impurtés.
Aidée par les chants du chaman, des images me viennent en tête. Pas des hallucinations par contre. Un rêve éveillé. Je me vois dans une grande chambre blanche. Je suis enceinte. Le vent tourne autour de moi, mais j'ai chaud, je suis bien. Pour chasser les esprits mauvais que je n'ai vraiment pas envie de voir, je me concentre sur des mots comme amour, tendresse, paix. Je vois des lacs, des vallées des montagnes. Je commence à avoir sérieusment mal au coeur. Je m'accote sur le mur en arrière de moi.

À ce moment précis, je vois avec une clareté impressionnante les yeux de Max qui me regarde. j'ai pourant les yeux fermés. Halucination! Si je controlais les belles images, les yeux de Max me fixent sans que je puisse les ignorer. Je les regarde donc, impuisssante. Étrange. surprenant. Apeurant. Je vois surgir tout a coupe, des yeux brun de Max, des yeux de serpents. les yeux sortent du visage de Max et un serpent mauve et bleu me saute au visage à la vitesse ultra-rapide d'un vrais serpent. Je fais le saut. J'ai des sueurs froides. La main rassurante de Corinne se pose sur ma cuisse. Elle a sentie mon saut. Je me calme et continue à me concentré sur des images positives.

Corinne aussi à vomit à présent. Pour ma part, toujours pas, mais le mal de coeur est présent. Dès que j'ouvre les yeux sur l'obscurité ambiante, je vois de papillons de lumière bleu voler autour de moi.
La séance dure 3 heures. Esquerly est allée se coucher en premier.
je reste un moment ave le chaman et Corinne.
Corinne finit aussi par aller se coucher.
Je n'ai toujours pas vomit. Le chaman me qualifie de guerrière. Il affirme que nous avons des estomacs d'acier comme il en a rarement vu.
Je rest avec lui et Max un moment, j'ai mal partout. Surtout au coeur.

J'essai finalement de me lever pour aller me coucher.
La tâche est plus complexe que prévue. Dès que je me lève, tous les meuble se mettent à bouger et m'empêchent de mettre un pied devant l'autre. Heureusment, Max est là et il me guide jusqu'au lit oû Corinne dort déjà.

Je me couche et trouve rapidement le sommeil. Je me sens éclairée par un soleil chaud et rassurant. Quelques instant plus tard, je me lève en sursaut et cours à l'extérieur, toujours accompagnée de mes papillons lumineux. L'Ayahuasca m'a curé et s'est dans la jungle, sous les millier d'étoiles que je me "vide" de toutes mes impurtés. Je vous éparge les détailles!

Le lendemain, on se réveille avec toute la famille et on se raconte notre expérience. Le chaman nous écoute attentivement et commente. Corinne n'a pas eu d'halucinations. Elle qui était malade depuis une semaine, a par contre sentie son mal quitter son corps sous la forme d'une sueure froide lors de la cérémonie. Depuis une semaine, elle était faible et ne pouvait manger sans vomir. Eh bien, la voilà en pleine forme avec un solide appétit! Pour ma part je suis aussi en pleine forme, pleine d'énergie et étrangement apaisé. Tout mon stress, mes petites frustrations de voyages semblent m'avoir quittés pour laisser place à une sérénité apaisant.



Notre expérience avec la spiritualtié amazonienne et le chamanisme, si elle ne nous a pas transformée, ne nous a apportée que du positif. Nous sortons de cette aventure avec l'impressison d'avoir grandit quelque part à l'intéreieur de nous même.
Nous sommes également fière des compliments que le chaman nous a fait quand à notre bonne tolérance et notre contrôle de soi! À quand la prochaine fois?!!

jeudi 2 septembre 2010

Camping sauvage

Les deux derniers jours ont été chargés en émotions.



Mon nouvel ami KING KONG grignottant mon bracelet


Mon premier Pirana!

Hier matin, nous sommes embarquées sur une petite péniche avec un guide, sa cousine et un autre touriste francais d´origine éthiopienne: direction le coeur de la jungle!
À Iquitos, nous sommes bel et bien en amazonie, mais pas dans la jungle! Pour la découvrir, nous sommes parties passer deux jours et une nuit en forèt.



Première remarque: Il fait chaud!!!
À peine débarquées de la péniche que des gouttes de sueur nous perlent déjà au front et au menton. Deuxième remarque: les gens sont fort! Dans le petit port où nous débarquons, des hommes portent des "grapes" de bananes de 50 kilos. Tous sont nue pieds et plus petit que nous. Malgré la chaleur et leur chargement, ils sont souriant et nous saluent comme s´ils étaient enchantés de nous voir. Des touristes dans leur petit paradis... C´est pas tout les jours que ca arrive!
On marche sur un petit sentier pendant une heure. On apprend à connaìtre les membres du groupe. Notre guide Max et sa cousine viennent de la junlge. Lui étudie en botanique et elle en tourisme. Ellle l´accompagne aujourd´hui pour voir comment il fait son boulot. C´est la première fois qu´elle fait du camping. Élias, le Francais, est en voyage depuis 2 ans et demi. Il a fait une bonne partie du tour du monde et raconte volontier des anecdotes hilarantes sur les coutumes d´ailleurs.

Nous reprenons une barque qui nous mène jusqu-au campement, on y pèche des piranas et des poissons-chats. On allume un feux: les moustiques sont plus que vorace! Rien à voir avec nos gentils petits maringouins! On cuisine sur le feux, obersve les grenouilles géantes qui viennent nous rendre visite, instalons nos voiles pour la nuit. L´obscurité tombe vers 6h00. Impressionant comme la noirceur change l´ambience d´un lieu. L´angoisse peut rapidement nous prendre à la gorge si on se tait quelques secondes pour écouter les bruits de la jungle.. les bruits de la nuit. Nos démons intérieurs peuvent refaire surface à chaque instant quand on est entouré d´inconnu et de ce qui nous semble ètre un milieu hostile.´




C´est donc sous un petit voile, accroché aux branches d-arbres avec des lianes, que je me couche. Malrgé les moustiques et les bruits, le calme profond que dégage la végétation ambiente a bientòt fait de m´endormir...

Le lendemin: visite d´un refuge pour singe, saut à la lianne à la manière de Tarzan, visite de la tribue des yaguas, marche dans la jungle et recherche d´oiseaux sauvages à bord de notre petite barque qui prend un peu l´eau.





Les singes: je ne pourrai jamais oublier la surprise que j´ai eu quand le premier singe que j´ai vu a courut vers moi pour me sauter dans les bras. Comme un enfant ignorant la méfiance. Tellement d´affection dans leurs gestes habiles, leurs bisous baveux et leur grands yeux curieux. Impossible de ne pas tomber amoureuse. Rare sont les moments ou on peut se laisser recevoir complètement l´affection qui nous ait donné. Les gens sont généralement un peu méfiant, se garde " une petite gene". Avec un singe, pas de barière! C´est l´amour fou ou rien du tout! Il est tellement étrange et fasciant de les observer: pareille à nous parfois et totalement animal à d´autre moment!



Pour conclure notre aventure, nous visitons les Yaguas.
Nous avions bien hàte de voir ces indigènes qui, nous avait-on dit, veulent garder leurs coutumes ancestrales malgré l´occidentalisation ambiente.
Dès notre arrivé, un petit malaise nous prend. Quelque chose ne tourne pas.
Il y a déjà d´autre touristes. Le clan fait une petite danse, qui semble avoir été monté pour faire plaisir aux touristes.
Nous n´avons mème pas le temps de nous assoire que des femmes et des enfants semi-nues viennent poser devant nous pour prendre des photos.
On a un peu limpression d´assister à une mise en scène.
Tout de mème, la présentation est très intéressante. On nous montre à tirer à la Sarbacane, on nous peint le visage et nous fait porter des jupe en palmier.
Quelques minutes plus tard, nos petits indigènes semi-nues nous demandent d´acheter leur production d´artisanat et se révèlent de férocent vendeurs.
Sans ètre décue, j´ai trouvé dommage que la meilleur manière pour une tribu de conserver sa culture, soit de la présenter sous forme de spectacle à de touristes. Ces gens vivent bel et bien comme il nous l´on présenté, je les crois sincères, mais leur exhibition et notre voyurisme ne m´ont pas sembler noble. Pourquoi ne pas organiser des séjours pour les étrangers désireux de connaìtre leur commuauté plutòt que des spectacles éclaires donnant l´impression dètre dans un "Marine Land amazonien"?



Bref, notre séjour fut mémorable; charger de découvertes et de nouvelles questions.
Ma relation avec l´amazonie ne fait certainement que débuter!

Un petit cadeau pour ma maman qui aime tant les grenouilles!