dimanche 29 août 2010

Aventures Amazoniennes



Nous voiçi finalement à Iquitos en amazonnie Péruvienne!

Le trajet n'a pas été de tout repos! Le chemin que nous voulions initialement emprunter s'est avéré impracticable. Les paysans du coin, cultivateurs de Coca, étaient en pleine mafiestation et blocquaient la route depuis trois semaines. Impossible de passer. Le gouvernement actuel a récemment entamé des réformes et veut éradique la culture de la coca. Hors, cette plantes traditionelle utilisée par les chamans est très importante pour les paysans. Comme une grande partie des stocks est vendue à des narco-traficants, la culture de la coca est trés lucrative, bien plus que le cacao ou le café.

Finalement, nous avons du faire 10 heures de route pour trouver un autre port d'où partent des bateaux pour Iquitos. C'est à Yurimaguas que nous sommes embarquées sur l'Eduardo I. Ce bateau de marchandises permet à une 50aines de personnes de s'installer sur les ponts avec un hamac. Il y a bien quelques cabines, mais la chaleur tropicale et leur prix les rendent vaiment inétéressantes...

Notre bateau, Eduardo I!





C'est donc avec un hamac que nous avons acheté au marché que nous sommes parties pour un trajet de trois jours et trois nuits. La traversé fut certainement un de moment fort de notre voyage. Aux membres de l'équipage s'ajoutaient des jeunnes familles, des personnes agées, quelques gringos (touristes).. etc. Nous nous sommes rapidement fait plusieurs amis. L'un d'eux, un professeurs d'université en Anthropologie nous a raconté l'histoire du Pérou au moins trois fois! Un autre, un docteur Argentin un peu chaman, nous a indiqué tut les endroits importants à visiter en Argentine. Nous pourons même loger chez lui à Buenos Aires!


Ronald Ruiz et Samuel Ashing

Tout au long de notre périple marin, nous avons cotoyé des cabanes en bambous, des villages indigènes, de minuscules ports d'où partent pour la pêches de petites péchiches faites à main. Quand nous arrêtions, des enfants montaient à bord pour nous vendre toutes sortes de marchandises: des tortues, des poulets, des boissons gazeuses, des bananes, des fruits exotiques.. etc. Plus tard, nous voyons ces même enfants ce baigner nues dans l'Amazone!



Les trois jours ont passé comme l'éclaire! Nous sommes arrivées ce matin à 4h00 am à Iquitos. Plus grande ville au monde ne pouvant être rejoint par la route, Iquitos ressemble à beaucoup de villes péruvinnes sinon qu'elle est parsemée de plantes exotiques et d'insectes monstrueux. Demain, nous irons en kayak sur l'amazone... une expérience que nous attendions avec impatience!

Me voiçi devant le "kilomètre 0" de l'amazone. L'endroit précis où commence cet imposant fleuve!

samedi 21 août 2010

2 Vedettes à Lima

Après une soirée de départ bien arrosée dans Lima avec nos nouveaux amis et nos deux belles Montréalaises Marianne et Audrey, on peut dire que le levé a été difficile. Nous nous sommes levées très tôt dans le but d'arriver à l'avance au terminal de bus pour prendre un trajet en direction Huanuco. Quelle fut notre déception quand la préposée à la vente des billets nous annonça que seuls les bus de soir font ce trajet!!! Une belle journée d'attente en percpective.

Deux choix s'offraient à nous, rester dans ce quartier plutôt pauvre et réputé comme étant mal famé ou retourner à Lima centre pour se promener... Après mûre réflexion, nous nous rendîmes dans Lima centre. Comme le manque de sommeil et notre estomac incertain ne nous permettait pas de longues randonnées, c'est au pied de la cathédrale centrale que nous nous sommes assises pour tricotter un brin en pensant être loin des sifflements et des oeilades agressantes.

Après un gros trois minutes, une bande d'enfants enjoués accourue dans notre direction. Ils étaient en sortie d'école. Cris et affolement étaient au rendez-vous. Les enfants ont tôt faits de nous encercler et de nous noyer de questions plus ou moins indiscrètes. Jusque là, c'était sympathique.
Quand la première petite fille nous eu demandé un authographe et que nous malheureusement nous lui avons accordé... la dynamique à plutôt changer.
Ce n'était plus une bande, mais un troupeau, une meute, qui nous sautait dessus pour avoir droit à un authographqe. Il est vrai que la signature de deux jeunes filles inconues, un peu lendemain de veille, qui tricottent gentiment a quelque chose d'atrayant. Aussi vite qu'ils étaient arrivés, les enfants sont repartis sous les cris des institutrices...

Les ont suivit, au moins 6 jeunes hommes un peu trop sûrs d'eux qui sont venus nous abordé, parfois en faisant la fil, afin de nous dire, de nous raconter... franchemant pas grand chose.

Bref, nous qui voulions la tranquillité, avons plutôt eu une journée mouvementée. D'autant plus qu'il est impossible de trouver un parc pour dormir dans Lima. Les gardes ne sont pas corrompus sur ce point!

C'est donc épuisée que nous sommes parties en direction de Huanuco où nous somme présentement. Demain, nous partons vers Tingo Maria et en suite, la jungle amazonienne!! Il se peut que nous n'ayont pas beaucoup d'accès à internet.
Nous vous disons donc à dans 10 jours!

Camila ey Corina

jeudi 19 août 2010

Images

Quelques images pour accompagner le texte d'hier.



La vue que nous avions en nous rendant à la laguna 69 près de Huaraz



Un bon Chupe à la Paisa avec Julio



En vole !



Du parapente sur les falaises de San Isidro

mercredi 18 août 2010

LIMA !

Maintenant 4 jours que nous sommes dans la turbulante capitale du Pérou. Ville de 8 millions d'habitants, Lima est indécrivable en quelques phrases. Chaque rues semble receler une histoire unique, une ambiance distincte, un richesse particulière.

Nous logeons dans une auberge pour Mochileros (backpackers) dans Miraflores, un cartier sécure et riche. Vue rapidement, le carter ressemble un peu à montréal. Nous nous sommes même payer le luxe de déjeuner dans un Dunkin Donut hier matin. Quel régal... des beignes pour déjeuner!!! On s'en liche encore les doigts!

Pour le départ d'Andréann, une activité spéciale: Parapente sur les falaises de San Isidro! En avant midi, trois jeunes hommes que nous avions contactés via une agence viennent nous chercher à l'Hotel et nous ammène au bord de l'océan, que nous contemplons du hauts des falaises du cartier de San Isidro. Ils sortent les parapentes... immenses toiles, cordes, harnès, casques... on se sent dans mission impossible, stress en moins. Parce que, malgré que le parapente sois un sport extrême, très peu de chose, exepté le traffic, arrivent a stresser les péruviens. Bref, nous attendons patiemment, pendant 5 heures, que le vent veuille bien se lever. Enfin, me voila dans les airs, accrocher sur mon guide, survolant Lima, saluant les gens dans la rues, contemplant l'océan... J'ai pu me permettre pendant ving minutes d'être un oiseau!

Au retour, on fait les valises d'Andréann et allons un peu nostagiquement la déposer à l'aéroport. De reour à l'hotel, nos partenaire de chambre prennent soisnd enous au moyen de bouteilles de vins que nous paratageons ensemble jusqu'au petites heures du jours.

Tellement de choses a faire se présentent à nous dans Lima... nous nous sentons un peu perdue. Heureusemenet, Julio, notre compagnons de chambre, un hippi affirmer, n'a rien à faire aujourd'hui et nous propose de nous faire visiter Lima. La cathédrale san Fransisco, les catacombes, une cevicheria réputé pour sa Chupe (Délicieux!!) une marche dans un parc d'olivier... Tout au long de la journée nous avons vue Lima sous plusieurs angles, mais aussi rencontré un nouvel ami. Nous avons eu droit à l'histoire d'un homme qui a du fuire le pays pour s'être engager pacifiquement dans une lutte politique. Un homme qui a du vivre avec rien dans les poches aux État-unis pendant un an et qui a aussi vécut au Canada, à Montréal. Julio est un Péruvien, comme beaucoup d'autre, qui a voyagé partout dans le monde parce qu'on l'avait forcé à quitter le pays.
Au fil de la conversation, nous rions beaucoup de parler de montréal ensemble.. Drôle de hasard, non? Un compagnon de chambre Péruvien qui a vécut si près de chez nous il y deux ans. .....
Ce n'est pas tout... Au fil de la discution, il nous dit avoir vécut une seule année dans Montréal, la deuxième, il l'a vécue dans une petite ville de la rive sud nommée... Châteauguay!!!! À deux rue de chez moi, en arrière du Maxi qu'il connait bien! Je ne reviens pas encore de cet incroyable hasard qui passe près de me rendre folle chaque fois que je me figure les chances que nous avions de nous croiser dans lima... dans le même dortoire!!!
La vie fait bien les choses, car c'est un bon ami que j'ai rencontrer aujourd'hui!

* les photos de Lima arrivent bientôt!

dimanche 15 août 2010

Huaraz

Suite à un séjour très relaxant sur les plages de Huanchaco, notre passage par Huaraz fut toute une épreuve!

Premièrement l'altitude. Nous qui venions de passer plus de 5 semaines sur la côte à une altitude de deux mètres environ. En l'espace de quelques heures nous voici à une altitude de près de 4000 mètres... Seulement prendre son sac à dos à la sortie du bus semblait éprouvant. Graçe au Lonly planet, nous trouvons rapidement une auberge jeunesse ou nous partageons un chambre avec trois autres jeunes gens.
Nous arrivons le soir vers 8 heures 30. À peine arrivées dans l'auberge que le porpiétaire nous propose d'accompagner une groupe qui par en randonnée le lendemain matin à 6heure. Parfait! Nous qui voulons voir les montagnes depuis si longtemps!!!
On monte rapidement se coucher question d'être en forme le lendemain. Hic! Corinne à la mal d'altitude... Et c'est près des toilettes qu'elle passe ses première heures andines.

Le lendemain, 6 heures. Dans un mini-van avec un groupe de randonneurs qui semblent beqaucoup plus expérimentés et équipés que nous, nous nous rendons dans la parc Huascaran. La randonnée commence durement et nous avons la tête qui tourne après dix minutes de monté. Après vingt minutes, le coeur veut nous sortir de la poitrine. Toutefois, la vue est époustouflante! Autour de nous, les sommets enneigés les plus hauts du Pérou nous surplombent ayant l'air de nous défier. Et quel défi! Le Huascaran, la Pisco, le Chopicalqui!!! Toutes des montagnes immenses et majestueuses qui nous font monter les larmes aux yeux tellement elle nous font sentir petites et grandes à la fois. Quelle chance de pouvoir les contempler quelques instants.

La marche continue et c'est seulement une dizaines de minutes en arrière de notre groupe de ·chèvres de montagnes· que nous arrivons à la laguna 69. Un magnifique lac bleu turquoise entouré des glaciers qui forment les sommets les plus hauts des andes! Incroyable! Le froid nous prends rapidement et les groupe redescant. Pour la descante, un ami me tient comapgnie. Un Israelien en voyage depuis 5 mois. Le temps passe drolement plus vite que durant la monter.
De retour à l'hotel, surprise, le mal d'altitude me prend aussi. Tremblement, grelottement, vomissement, mal de tête. Très désagréable comme sensation. Un véritable mal être physique. Peu importe, la nuit passe et nous partons le lendemain matin tôt pour Lima. Nous y sommes présentement et dans quelques heures j'irai accompagner Andréann jusqu'à l'aréoport d'ou elle nous quittera pour retourner chez elle, au Québec.

lundi 9 août 2010

¿ Mandé ?



Les déserts environnants Piura



Une soirée de Fête à Mancora



Les douanes Péruviennes Avec Corinne

Enfin, le Pérou!
Après une traversée des douanes sans encombre, nous voici au Pérou.

Dès notre traversé en sol péruvien, des éléments de différences nous ont sauté aux yeux.
Premièrement, la pauvreté. Nous ne nous y attendions pas vraiment, bien que ayons été prévenues, mais le Pérou, les péruviens, vivent effectivement dans des condittions qui semblent généralement plus précaires qu'en Équateur. Beaucoup de maison délabrées, des cabanes hérigées dans des dépotoires, un milieu très désertique aussi... Tout de même, les sourires sont toujours aussi présent sur les visages!

Autre remaque... et à notre plus grand soulagement, la machisme se présente sous une forme moins agressante ici jusqu'à date. Au lieu de nous sussurez des commentaires frolant la perversité, les machos d'ici nous lancent des boutades comiques, et c'est même parfois avec le sourire que nous leur répondons à la rigolade. Beaucoup moins agressants! Aussi suprenant que cela puisse paràître, nous nous sentons plus en sécurité règle générale. Est-ce l'arrivée de notre troisième compatriotte, un relâchement dans notre vigilance, la fatigue d'être sur ses gardes...? aucune idée, mais ca fait un grand bien. En une seule semaine, nous avons multiplier les rencontres et les amitiés. Il est vrais que la plage a ceci de bien: elle offre une amibience propice aux rencontres.

Nous sommes présentement à Huancacho. Demain nous visiterons les ruines de Chan Chan, le temples du soleil et de la lune. Nous partirons ensuite pour Huaraz, dans la Cordillière Blanche pour soumettre à l'épreuve de l'altitide nos pauvres poumons rabougris par l'air gris et lourd de Guayaquil!

mercredi 4 août 2010

Dernière nuit en Équateur

Voici quelques photos de Pascuales



Moi, mes deux soeurs et ma troisième grand-maman



Miguel, Sylvia et moi à libertad



Petita, Namo et Angela lanvando la ropa


Namo dans la coure de la miason


Demain matin ; Le Pérou!!!
Nous sommes présentement à Catacocha. je suis revenue saluer ma famille d'acceuil avant de les quitter pour de bon. Comme prévues, les adieux à Pascuales ont été éprouvants. Je laissais dernière moi deux soeurs, une grand-mère et certainement un meilleur ami.

lundi 2 août 2010

Départ et Arrivée

Dernière soirée à Pascuales...

Encore une fois, l'émotion nous monte aux yeux en réalisant que l'on quitte des gens que l'on aime et qui nous aimes également. Un mois à partager des vie si différentes, mais qui savent si bien se concilier. Demain matin, à l'heure des adieux, je sais que larmes seront au rendez-vous, mais la joie d'avoir connue une famille et une communautée si acceuillante atténue la peine que je rescent en pensant à mon départ...

Différence.
Samedi dernier, pendant que les enfants étaient chez eux, en vacances, nous avons eu l'occasion de visiter trois familles. trois maisons ou l'on vie comme on peut, ou l'on survit en famille. En entrant dans la première maison, la première chose qui nous a frapper a été l'odeur. D'ou venait cette odeur d'urine.. je n'en ai pas la moindre idée! Aussi, la réaction des enfants. Ces deux frères et soeurs que nous cotoyons depuis un mois, avec qui nous jouons, n'ont eu aucune réaction en nous voyant débarquer dans leur univers familial. Eux, si enjoué à la garerie, avaient à ca moment l'air tout droit sortis d'une pub de vision mondial. Petit yeux étients, air sérieux... a vous briser le coeur.

La famille la plus pauvre que nous avons visité partage une maison de deux pièces en bambou pour 9 personnes. 2 adultes et 7 enfant de moins de 7 ans.

Comment "les enfants de fin de semaines" peuvent être différents des enfants que nous cotoyons pendant la semaine. À croire que ces enfatns ne sont pas les même...
Au moins, cette visite nous a permit de réaliser à quelle point la garderie est un don du ciel pour ces enfants et leurs mères.

Retrouvailles!
Lundi matin 1h00 am. Corinne débarque en sol équatorien avec les cheveux ébouriffer de ceux qui ont passer beaucoup de temps dans un avion et les yeux pétillants. Comme il est rassurant de revoir une amie. De réaliser que la vie continue chez moi, même si je n'y suis pas. Des vies en parrallèles.
C'est avec le coeur léger que je suis endormie hier en me disant que mon périple allait finalement passer très rapidement.