lundi 21 février 2011

Buenos Aires, les retrouvailles

Avant d'arriver a Buenos Aires, nous étions trés exitées de voir les vieux édifices coloniaux, les quatiers de tango, les cafés de style européen.
C'est pourtant la grandeur de la ville qui m'a le plus frappé. En entrant dans la capital, nous sommes dans un 4x4 tout neuf. Son propriétaire nous a embarqué sur le pouce et nous explique manintenant divers aspects techniques sur le fonctionnement de la ville. Nous avons peine á nous concentrer tellement les autoroutes á 6 voies nous impressionnent! Ca fait un sacré bout de temps que nous avions vue une autoroute pareil. En fait, je crois que meme chez nous il n'y en a pas.

Arriver a destination, il nous reste a prendre un bus de ville, avec tout notre équipement, pour nous rendre chez Santiago.
Vous rappelez-vous de Sorata en Bolivie? Une petite ville perdue, des amis, une riviere, une petite maison?, nous y avions rencontré Santiago et il nous attend maintenant chez lui. Nous avons trés hate de le voir. D'autant plus que José, une
autre rencontre de Sorata, est aussi chez Santi.
Les retrouvailles sont toujours belles et nous sommes tous heureux de constater que notre amitié en est seulement á ces début.
Nous qui croyons ne jamais nous revoir en nous quittant en Bolivie!



La maison de Santi est génial! Un coup de coeur! Parce que nous y vivons avec lui et José, parce qu'elle est bien situé et parce que les amis de Santi y sont omniprésent, le lieu dégage une chaleur humaine qui marque.

Dés le premier soir, nous sortons dans Buenos Aires pour aller voir un spectacle de percussion. Dans la rue, ca grouille.
Les gens sont différenst de la campagne. On se croirait sur le mont royale un dimanche aprés-midi. Malgré toutes les mises en garde (et il y en a eu une tonne) nous nous sentons tout á fait en sécurité. D'autant plus que nous sommes avec des gens de la place.

José, notre colombien préféré!!


Survole d'une semaine citadine:
Buenos Aires, c'est immense. Pas le temps de tout voir en une semaine, á moins d'etre un super-touriste.
En le constatant, et comme nous avons vu déja beaucoup d'édifices et de statues d'inconnus depuis quelques mois, nous avons décidé de vivre Buenos Aires comme la viverais un de ses habitants. Nous avons donc suivit Santi, avec José,un peu partout. La soiré chez Negro (un ami), la sieste de l'aprés-midi, la pratique du groupe de musique le mardi soir, le petit bar oú la biére es trop cher, faire un asado, des aprés-midi á jouer de la guitare á l'appartement, aller á l'épicerie, écouter un film "éffouairé" á 5 sur un matela , cuisiner de la tarte aux pommes, commander de la pizza et la manger assi dans le rue. Nous avons bien pris un peu de temps pour visiter, mais l'accent a surtout été mit sur l'aspect social de cet étape du voyage.

En ordre: Santi, José et Rulo. Tout en musique!


Une vie simple, comme si nous étions chez nous.
D'ailleur, les groupe d'amis de Santi nous a si bien acceuillit que nous nous sommes senti des leurs toute la semaines.

Corinne qui se fait réprimander par la police! On a bien rit!


Rythme de vie...
Santiago, pour le moment, ne travail pas. Il revient de voyage et profite de ses amis et du temps.
La vie a Buenos Aires, si elle nous semblait tardive ailleur, est vraiment décalée de notre vie au Québec!


Un bon maté bien amer!!!

Journée typique :
nous nous levons vers 1 heure pm (ne me jugez pas tout de suite, vous allez comprendre pourquoi) et on déjeune-dine vers 3 heures pm. On pense longtemps á ce qu'on va faire aujourd'hui et finalement on passe un bon 5 heures á jongler, jouer de la guitare, faire du macramé, predre une douche, etc. On sort en soirée, on va voir des amis ou un coin de la ville. On se proméne.
Vers 10 heures on pense a souper, á minuit c'est fait.
On appel des amis. Ils viennent ici ou c'est nous qui allons les rejoindre.
On boit un peu, s'amuse beaucou et finissons pas nous coucher.
Jamais avant 3 heures 30 am. Et on recommence!

Notre asado international! Québéco-colmbo-argentin: un vrais régale!



Il y a meme eu cette soiree chez une amie de Santiago qui celebrait son anniversaire. Un vrais party!
Du jell-o á la Vodka, du punch, un asado, de la musique forte! Santiago et son groupe avait preparé un spectacle
a la demande de la fetée et devaient jouer vers 1 heure du matin, quand tout les invités seraient arrivés.
Á 2 h 00, ils n'avaient pas encore commencé. Finalement le spectacle a finit vers 4 heures.
Nous avons meme chanté une chansons avec eux en francais!

Comme nous devions nous lever tot le lendemain pour aller chercher Danielle á l'aéroprt, nous sommes partis plus tot, vers 5 heures 30. D'habitude, le party finit vers 7 heures défois 8! Ils sont fous c'est argentins!

Hier, nous sommes allées retrouver Danielle, la mére de Camille á l'aéroport.
Qu'elles belle retrouvailles! émouvante, vous l'imaginez j'en suis certaine!
Aprés 5 minutes, on aurait dit que toute la distance qui nous séparait depuis des mois avait disparue.
On parlait potins de cháteauguay, cuisine, voyage, peu importe.
Nous avons présenté Santi á Danielle et elle nous a épaté avec un super espagnole! Comment a-elle fait pour garder son espagnole depuis son voyage en espagne? Je n'en ai aucunne idée, mais j'espére que ce sera la meme choe pour moi!

Le métro de Buenos Aires!
On se croirait dans les années 50! Tout est en bois, les fenetres s'ouvrent et des lampes en vitres éclairent le wagon!


Demain, moi et Corinne nous séparons de Camille et Danielle pour descancendre vers le sud avec notre colombien préféré José.
L'objectif: la terre de feu!!!
On s'en reparle!

2 commentaires:

  1. Chere Camille,
    comme c'est rafraichissant de te lire.. William a reconnue une periode de sa vie dans ton recit!
    Pour ma part je ne pense pas avoir jamais fete si tard!
    Une chose est sure, ... quoi que tu fasses dans le futur... Camille, tu dois continuer a raconter... tes mots et tes photos sont tout simplement magiques... continue ta belle route.
    Bisous

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  2. Que c'est beau la jeunesse! Même si je voulais je ne pense pas être capable de suivre ce rythme de fou.
    J'aime votre insouciance, elle me fait du bien. On a souvent tendance à compliquer les choses et à passer à côté de beaux moments gratuits de la vie.

    Bon voyage en Terre de Feu!

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