samedi 29 mai 2010

jour 7 8 9 10

Jour 7 : Dos manguas! En avant midi, une randonnée à chevale nous attend dans la forèt tropicale équatorienne. Le Cheval que j;ai la chance de monté se nomme Urano. Un grand cheval brun, puissant, magnifique. La monté est amusante. Le groupe ri énormément. Arrivé au sommet, on se baigne dans des cascades naturelles. Tout énervés que nous sommes, nous calmons rapidement nos ardeurs en voyant les premières tarentules d;eau flotté á nos còté. Retour vers les cheveaux! Pour la descante, je me lance au galot, perdant ainsi le reste du groupe. Aprés une demi heure; perdue! Je demande mon chemin á des anfent se baignant nus dans la rivière. Je ne suis pas loins, mais je dois traversé en longueur la rue principale. 15 minutes de honte et de gloire. Dificile á déterminer.Les gens se moquent gentiment. En Aprèsmidi. étrange. Je me rend compte que je suis loins de chez moi quand j;assisite á un cour donné par des pompiers dans le rue. Comment éteindre une bombonne de propane en feu. La méthode utilisée par les popmpier (trés pédagogique): mettre en feu une bombone de propanne dans la rue (flamme de 3 metres) et laisser les gens assayer de l;éteindre! Génial. le danger est présent mème dans les instances de sécurités.

Jour 8: Pèche artisanale au filet dans l;océan et à la ligne dans la rivière. j;apprend à couler du plomb, faire un amecons, etc. Adieu végétarisme! Après 3 heures: 8 crettes, 15 poisson! On les mange en ceviche pour le diner. Mes amis Marc et émile, n;ont pas réussit à trouver en eux la patience des pècheurs. Après 10 minutes, ils s;étaient transformés en matadore de crabe, créant ainsi l;hilarité générale auprès des pècheurs nous enseingants. En soirée, noche intercultural. Dernière nuit á Olòn. Je danse fièrement avec mon papi de 65 and, Artemio. Moment touchant! Quand une file indienne danssante se forme autour de la piste, Artemio refuse de s;y joindre et nous dansons ensemble en plein milieu du groupe pendant au moins 5 minutes. Il est ému à la fin de la danse. Ceux qui me connaissent bien peuvent imaginer mon émotion.

Jour 9: 8 heure de bus. Les andes son magnifiqiues. On se rend à cuenca, une encienne ville colonial. Dans le bus, trois film ultras violents de jean claude van damme, je suis aux anges.... Surtout que le son est toujours au maximum en amérique latine et que la musique reggea joue par dessu le film! Mal de coeur!

Jour 10 : mon anniversaire dans Cuenca, la ville coloniale la plus en vie de l;équateur. Avec mes fidèles compagnons marc et émile ainsi qu;Alexime, on se rend dans le parc de Cajas pour faire un peu de hiking. On monte en 5 heure le cerro san luis. 4 264 mètre!! Deux fois en altitude la mont washington! On à la tête qui tourne, mal au ventre, le coeur qui veux nous sortir de la pointrine, mais le moment est trop magique pour penser se plaindre. Le cerro est à peu de chose près aussi haut que le mont blanc en France! L;altitude affecte plus que nous auriens pensé. Quel bel anniversaire. Moment magique, rencontre avec des lamas sauvages, escalade de parois! Un 4000 mètre coté difficle, le rève! On revient à l;hotel fière comme des pans! en soirée, on choisit un resto succulent ou le groupe bois du vin toute la soirée en discutant intestin...Les voyages raprochant, on ne peut plus douter!

mardi 25 mai 2010

Jours 3 4 5

Samedi, moi marc et amile nous sommes leve trés tòt pour voir le cimetiére. En route, nous sommes arrèter déjeunener. Au menu, un seul plat; le Chichi. QUest ce que c;est! Aucune idee, on en prend trois! Soupe de boyaux et de foie! Youpi. Juste l;odeur a faillit me donner la tourista. On a manger quand meme pour ne pas ètre impolit, mias vous devinez l;effort! Ensuite, au cimetiére, on a r-ussit a monter au sommet d;une montagne en créant norte sentier dans une jungle dense. La vue était magnifique. Ca valait l,effort! En après midi, sans le savoir, on a manger du fruit de la passion. Délicieu! Ca ressemble vraiment á un morviat, mais le gaut est bien meilleur! En soirée, Marc commence á faire de la fièvre!

Jour 4, On pacte nos bagages, direction la costa. On prend un bus de 2h30 ; debout car il est plein. Mal de coeur. Paysage époustouflant. Arriver á la costa. je mange le meilleur poisson que je n;ai jamias manger (sans offence papa). Il avait été pèché 1 heure plus tòt! On fait une pige au hasard pour d-çéterminer qui vit dans quel famille pour les trois prochain jour. Le hasard fais bien les chose. je suis encore avec Marc et Emile. Direction Olón; ou la vie se vit intensément dans la lenteur, le rire, et l;eau salée. ON cours ensuite se baigner dans le pacifique. ON lutte contre les vages pendant deux heures, mias on s;avoue vaincu. Ce n;est pas aujourd;hui que nous domineront cet océan puissant et furieux. En soirée, on est inviter dans une petite mais on pour regarder le match de foot avec tout les hommes du village. Je suis une princesses l;instant d;une soirée. Remarque , ici tout est en ruine, mias tout est aussi en chantier. La vie ici est douce et enivrante. Le soleil brule la peau, mais le vent apaise. La pauvreté appelle la misère, mias la communauté se tient appuyer par un océan entier.

Jour 5
Départ en PickUp pour montañita. Un cour de Surf nous attend. Génial, thrillant, wow!!! J;adore.Les vagues sont immense, le danger est grisant(mais pas trop) Le surf s;avère bien plus compliquer que prévu. Je recoit ma plance dans le front! Un beau gros bleu! J;attrape une grosse vague; je pars le surgace pendant quelque seconde. GÉNIAL! j;ai chevauché au moins trois vague ;) En attendant le bus, sieste dMune heure dans un hamac á lombre. le rythme latin se prend bien. En soiréem je réussit á aider (comprendre regarder faire) ma mama dans la cuisine. ON discute inégalité sociale et politique. Les gens sont ouvert. Commme je l;avait remarqué a Cuba, les gens de la còte sont beaucoup plus objectif et ouvert dans leur conception de la réalité. Par contre, pas question de nous laisser fair la vaisselle. Elle y tient á ca! Marche sur la plage. Falaise immense, soleil couchant. pècheurs. paradis. Avant de se coucher norte dueño passe nous jaser pendant une bonne heure. On parle vie, mort, femme, travail, expérience, bonheur. Poésie, Regard, sourire, amour, misére, poussiére, danger, eau, bonheur. Tout les mots prennet vie et sens dans ma tète. Les contradiction semble ici justifier et la vie se donne un but plus claire ici. Peut être parce qu;on essaie pas de la controler.

samedi 22 mai 2010

Guayaquil la chaotique

Premier jour.
Départ, exitation, effervesance, tension.
Arrivé en transit à Miami, où les plus grands de ce monde sont chez eux. Guayaquil:L espagnole, l exotisme. Un homme assi dans une boîte de pick up qui file a 100 miles à l heure nocholament assis sur une trentaine de poches d onions. Chaleur, chaos, machisme. l époque des shorts courtes est révolue pour moi. Premier choc culturel, un bambin de trois ans endormis dans la rue à 2h30 du matin, un morceau de pain encore dans la bouche. La réalité à changer ; la vie continue. Retour à l hotel: projet de voyage et crétion de rêves possibles avec MarcAndre et Emile mes partenaires de chambre et,ici, mes garde du corps:).

Deuxième jour.
Le machisme est irritant, mais controlable. Remaque; plus je suis tendue, plus on me regarde. Le calme est le remède à l;énervement. En aprés midi, Prendre l;autobus local pendant une demiheure pour se rendre dans Pascuales, un bidonville. Là bas ; rencontre de trois anges. trois soeur du québec qui y ont batît un havre de paix pour les enfants. Janine, Marierose et Francine. En se promenant dans pasculales, remarque: je suis une minorité visible flagrante. On me dévisage, je souris on me répond. Les gens sont aussi chaleureux que leur pays est chaud et humide. Tous sont aimables et respectueux quand on leur sourit et les salut. Pour la soirée ; moi, Marc et Ëmile nous sentons l âme un peut téméraire. Vers 9h00; marche dans Guayaquil pour visiter las Penas et sortir dans un bar génial ou l on nous sert les mojitos les plus alcoolisés du monde. Vers 1h00 am, retour sans aucun problème à l;hotel. Guayaquil l effrayante est apprivoisable et malgré le bruit, le chaos et la densité humaine je m attache rapidement à cette ville immense et hétérogène. remaque; nous somme les seuls touristes que j;ai vu depuis mon arrivé!