Nous sommes présentement à Puno. Ce matin, nous avons vu le fameux Lac Titicaca!
Notre séjour à Arequipa a pris fin hier et c'est avec nostalgie que nous avons quitter le ville blanche. Il faut dire que les belles rencontres y sont pour quelque chose. Nous logions dans une auberge jeunesse et le hasard a voulu que nous partagions notre séjours avec des gens extraordinaires. Des musiciens, un rockeur au coeur tendre, un francais attentionné et impliqué (mais qui devrais prendre plus de douches!) un autre francais, timide à l'extrême, qui est venue rencontrer sa copine qu'il ne connaissait que via internet, un hippie nous ayant appris a manipuler l'énergie, un allemand partit découvrir le monde seul, une francaise médecin sans-frontière... et j'en saute!
Arequipa a ceci d'intéressant; il y a toujours quelques chose a faire, mais aussi, rien n'est plus agréable que de poiroter dans un de ses nombreux parcs.. sous un palmier, les pieds baignant dans l'eau d'une fontaine.
D'Arequipa, nous nous sommes payées un court détour dans le cañon del Colca. Deuxième plus profond du monde, il nous a fait grosse impression! Par contre, la morphologie des montagnes donnait plus l'impression d'être dans une vallée que dans un cañon. Nous avons pu y voir les fameux condors (incroyablement immenses), nous nous sommes baignées dans les eaux thermales de Chivay et....... nous avons mangé de l'alpaca! À la poubelle le végétarisme! L'expérience en vallait bien la petite dérogation! D'ailleur, le goût était plutôt agréable, même si, selon Corinne, ca goutait le foie!
Un seul regret; ne pas avoir eu le temps de faire un trek dans le cañon. Comme notre visa ne dure que 3 mois, nous devons quitter le Pérou d'ici 4 jours et nous tenions asolument a visiterle lac titicaca sans stress.
D'ailleur, nous partons demain pour l'ile d'Amantani ou nous viverons chez une famille et célèbreons le jours des morts : Fête traditionelle très colorée!
·je n'ai pas réussi a mettre des photos.. prochaine fois!
dimanche 31 octobre 2010
jeudi 21 octobre 2010
Atchou Picchu... salut Jean!
Quel touriste digne de ce nom manquerait l'attraction numéro 1 du Pérou!!!
Sûrement pas nous!

Le Machu Picchu est reconnu mondialement pour sa beauté, sa somptuosité, sa grandeur impressionante, etc... et on peut maintenant vous affirmer que ce n'est pas pour rien!
De Cusco, des trains partent tous les jours vers le Machu Picchu... seulement, ces trains chargent extêmement cher!! Heureusement, un chemin moins "organisé" nous a permis de nous rendre à petits prix! merci Julio!
Recette pour petits budgets: prendre un bus jusqu'à Santa-Maria, un combis jusqu'à hydro-electrica, marcher deux heures jusqu'à Aguas calientes. Le lendemain, monter à pieds jusqu'au Macchu Picchu!
Le matin de la monté, nous nous sommes levés à 3h30 am! Ouff, difficile quand, depuis 5 mois, on n'a pas d'horaire fixe! Le but d'un réveille si tôt est simple! On veut absolument être parmis les 4oo premiers visiteurs du site pour avoir l'étampe sur notre billet permettant de monter le Waynapichu!

>
Nous commençons donc à marcher vers 4 heures du matin. Il fait completement noir et je suis surprise de rencontrer plusieurs tousrites qui se sont lever aussi tôt que nous pour avoir droit au même privilège! La monter dure 1 heure 30. Des marches, des marches et encore des marches!

On finit par arriver à 6 heures moins 15 devant la porte! Il fait enfin claire. À peu près au même moment, les bus venant de aguas calientes arrivent. On assiste alors a une rivalité entre marcheur et "autobuseur" qui veulent s'entre dépasser dans le file pour entrer: moment cocasse où plusieurs personnes auraient été gênées de se voir si on les avaient filmé!
Nous avons l'étampe sur notre billet, youpi!
Pour le moment, il fait tellement brumeux qu'on ne voit rien!
Nous sommes trempés, car il pleut depuis que nous sommes parties de l'hotel!
Il fait froid et nous sommes fatiguées! Atchou! La rhume approche!
Vers 7 heures, on commencent la monté du Waynapichu... d'autres marches.
Le chemin est escarpé, mais tellement beau! On peut presque se prendre pour des Incas! Tout est vieux et recouvert de végétation.
Arrivés au sommet, la brume a commencé a baisser et c'est avec fierté que nous dégustons notre sandwich aux avocats et tomates! Nous attendons avec des argentins, des italiens, des suèdois, norvégiens, brésilien, etc. Après une demi-heure, la brume s'envole, nous offrant une vue inimaginable sur le Machu Picchu! Beauté, Perfection! Comment les Incas ont-ils fait pour construire une cité si complète, structurée et si haute aussi! Le Machu Picchu est situé au sommet d'une grosse montagne et les pierres avec lesquels il est constuit sont énormes! Aucune idée comment ils ont fait pour monter toute cette rocaille! Chapeau!

Nous paressons sur le site un bon deux heures. C'est magnifique! Il y a tellement de touristes! 2000 par jours! partout, nous voyons des groupes organisés qui suivent des guides, parfois avec des écouteurs, des drapeaux d'identifications et des micros! Nous avons même croisé au moins 10 québécois... plus que tout les québécois que j'ai rencontré depuis 5 mois! La présence des toursites s'illustre aussi par le prix des choses en ventes. Un sandwich :30 soles! à Cusco, 3 soles! une bouteille d'eau: 9 soles! à Cusco, 1,5 soles! Une chance que nous avions monté notre lunch!
Nous redescendons rapidement, vers 12h30, pour attraper le train qui retourne vers hydro-elecrica. Arrivé là, Surprise! Les touristes ne peuvent embarquer qu'à la gare centrale. Nous sommes seulement sur une débarquadère de marchandise! Nous devons donc faire preuve de ruse! "Nos parents nous attendent a Cusco, ils n'ont pas de cellulaire, ils vont être très inquièts! Camille est malade, elle ne peut plus marché! S'il vous plait monsieur l'agent!!!!!" Bon d'accord montez! YOUPI!
De hydroelectrica, nous prenons un combi avec 6 israëliens et deux autrichiens. Nous rions un bon coup pour les deux premières heures et ensuite, tout le monde dors pour le reste du trajet!

Bilan: journée mémorable. Riche en avantures, en rencontres, en expériences et découvertes inoubliables! Quoi de mieux pour fêter l'accomplissement de 5 mois de voyage
Sûrement pas nous!

Le Machu Picchu est reconnu mondialement pour sa beauté, sa somptuosité, sa grandeur impressionante, etc... et on peut maintenant vous affirmer que ce n'est pas pour rien!
De Cusco, des trains partent tous les jours vers le Machu Picchu... seulement, ces trains chargent extêmement cher!! Heureusement, un chemin moins "organisé" nous a permis de nous rendre à petits prix! merci Julio!
Recette pour petits budgets: prendre un bus jusqu'à Santa-Maria, un combis jusqu'à hydro-electrica, marcher deux heures jusqu'à Aguas calientes. Le lendemain, monter à pieds jusqu'au Macchu Picchu!
Le matin de la monté, nous nous sommes levés à 3h30 am! Ouff, difficile quand, depuis 5 mois, on n'a pas d'horaire fixe! Le but d'un réveille si tôt est simple! On veut absolument être parmis les 4oo premiers visiteurs du site pour avoir l'étampe sur notre billet permettant de monter le Waynapichu!

>
Nous commençons donc à marcher vers 4 heures du matin. Il fait completement noir et je suis surprise de rencontrer plusieurs tousrites qui se sont lever aussi tôt que nous pour avoir droit au même privilège! La monter dure 1 heure 30. Des marches, des marches et encore des marches!

On finit par arriver à 6 heures moins 15 devant la porte! Il fait enfin claire. À peu près au même moment, les bus venant de aguas calientes arrivent. On assiste alors a une rivalité entre marcheur et "autobuseur" qui veulent s'entre dépasser dans le file pour entrer: moment cocasse où plusieurs personnes auraient été gênées de se voir si on les avaient filmé!
Nous avons l'étampe sur notre billet, youpi!
Pour le moment, il fait tellement brumeux qu'on ne voit rien!
Nous sommes trempés, car il pleut depuis que nous sommes parties de l'hotel!
Il fait froid et nous sommes fatiguées! Atchou! La rhume approche!
Vers 7 heures, on commencent la monté du Waynapichu... d'autres marches.
Le chemin est escarpé, mais tellement beau! On peut presque se prendre pour des Incas! Tout est vieux et recouvert de végétation.
Arrivés au sommet, la brume a commencé a baisser et c'est avec fierté que nous dégustons notre sandwich aux avocats et tomates! Nous attendons avec des argentins, des italiens, des suèdois, norvégiens, brésilien, etc. Après une demi-heure, la brume s'envole, nous offrant une vue inimaginable sur le Machu Picchu! Beauté, Perfection! Comment les Incas ont-ils fait pour construire une cité si complète, structurée et si haute aussi! Le Machu Picchu est situé au sommet d'une grosse montagne et les pierres avec lesquels il est constuit sont énormes! Aucune idée comment ils ont fait pour monter toute cette rocaille! Chapeau!

Nous paressons sur le site un bon deux heures. C'est magnifique! Il y a tellement de touristes! 2000 par jours! partout, nous voyons des groupes organisés qui suivent des guides, parfois avec des écouteurs, des drapeaux d'identifications et des micros! Nous avons même croisé au moins 10 québécois... plus que tout les québécois que j'ai rencontré depuis 5 mois! La présence des toursites s'illustre aussi par le prix des choses en ventes. Un sandwich :30 soles! à Cusco, 3 soles! une bouteille d'eau: 9 soles! à Cusco, 1,5 soles! Une chance que nous avions monté notre lunch!
Nous redescendons rapidement, vers 12h30, pour attraper le train qui retourne vers hydro-elecrica. Arrivé là, Surprise! Les touristes ne peuvent embarquer qu'à la gare centrale. Nous sommes seulement sur une débarquadère de marchandise! Nous devons donc faire preuve de ruse! "Nos parents nous attendent a Cusco, ils n'ont pas de cellulaire, ils vont être très inquièts! Camille est malade, elle ne peut plus marché! S'il vous plait monsieur l'agent!!!!!" Bon d'accord montez! YOUPI!
De hydroelectrica, nous prenons un combi avec 6 israëliens et deux autrichiens. Nous rions un bon coup pour les deux premières heures et ensuite, tout le monde dors pour le reste du trajet!

Bilan: journée mémorable. Riche en avantures, en rencontres, en expériences et découvertes inoubliables! Quoi de mieux pour fêter l'accomplissement de 5 mois de voyage
dimanche 17 octobre 2010
Patates...

Cusco est vraiment une ville touristique.
Dans les rues en pierres de cette ancienne capitale Inca, nous croisons autant de toursites que de locaux...
La présence d'autant d'étrangers donne une saveur différente a la ville. Les cafés, restaurants et bars servent de la nourriture étrangère, de l'alcool de partout dans le monde et font jouer de la musique "occidentale".

Des sacs souvenir en vente aux marché de Cusco
Avec notre ami Julio, péruvien de Lima, nous avons décidé de sortir un peu des sentiers battues pour découvrir la vie plus rurale dans les alentoures de Cusco!
Nous sommes parite faire un trek de trois jours dans le parque de las papas... le parc des patates! En fait le parc de la patate, c'est une petite région dans les montagnes entourant Cusco. Plusieurs petits villages cultivent la patates et vivent de facon très traditionnel. Nous avons donc commencé notre ascension a partir d pisc. En suivant une route qui montaint dans les montagne, nous avons marché pendant une heure et demi. Voyant que le chemin était plus long que prévue, nous nous sommes payé le luxe de prendre un taxi qui nous a déposé devant le village de Cuyo Grande. De là, nous avos marché un autre deux heures.... La vues était magnifique.

En chemin, nous croisons des mamachas (femmes quechuas). Elles nous saluent en riant. Notre présence ici les fait rire! Elle viennent nous parler.... en quechuas. No entiendo ni mierda! Peu importe! Un salut de la main et un sourire sont suffisant pour se comprendre. Un femme nous offre même de partager sa collation; grains de maïs crues que l'on appel ici mote. Délicieux!
POur diner, nous arrètons chez une dame que Julio a déjà rencontrer lors de sa dernière visite. Elle parle un peu espagnole, mais les enfants nous baragouine en quechuas! Nous lui demandons, gênés, si elle peut nous faire un soupe et elle répond que ca lui ferait un immense paisir! Comme il n'y a pas de restaurant n'y d'épicerie, on doit manger chez les gens! Miam! Soupe de patate acompagnée apr des patates bouillies!

Nous continuons notre chemin jusqu'au village de Paruparu. Nous dormons chez César, 25 ans, 4,5 pieds! Il fait un froid de canard! on gêle! Il nous prépare un feu et une soupe de patates pour le souper! on se couche tôt, l'inexistence de l'électricité oblige!
Le lendemain, nous partons pour un autre village. Sur notre route, trois lacs nous offrent des prises de vues époustouflantes! L'altitude nous coupe la respiration et fait battre la chamade a notre coeur, mais la vue en vaux vraiment la peine! D'autant plus que les montagnes sont parsemées de mamachas qui font brouter leur troupaux de moutons ou d'alpacas!
Ces femmes partent tout les jours aux petites heures, montent dans les montanges et regardent brouter les animaux. Elle clutivent parfois la terre. Sinon, elles s'assoient tranquillement et machent des feuilles de cocas pour contrer le froid. Elle ont des habits multicolors, au moins 4 jupes chacunes et des chapeaux dignes de grands bals médiévaux! Elle sont tellement belle!

Qu'est-ce qu'une vie faites de choses si simple et de conditions de vie si peu confortable! Elle sont souriante, heureuse : ca se voit au premier coup d'oeil. Pourtant, elle travaillent tous les jours, très fort et pour pas grand chose... sinon les quelques sous que raportera la viande des moutons! Elle nous donnent une belle lecon de vie.

Il n'y a rien que les gens de la montagne ne savent pas faire! Ils construisent leurs maisons avec des briques de pailles et de terre, ils cultivent, cuisinent, chassent, tissent, font de la politique, sont impliqués dans leur communauté, élèvent des enfants à la pelté et sont jovial et chaleureux par dessus le marché!
Qu'elle différence nous avons pu décourvir entre Cusco et Paruparu! Incroyable que deux mondes si différents se cotoient de si prochent sans se mélanger le moins du monde! Si le tourisme arrive un jour à Paruparu, ce qui risque formtement d'arriver bientôt, j'espère qu'il sera assez responsable pour ne pas détruire l'ambience si chaleureuse et authentique du parque de las papas!
Nous avonspartager une chicha dans les montanges ; bière de maïs faite maison... servie chaude!

dimanche 10 octobre 2010
ICA
Nous sommes présentement arrivées à Cusco!
Probablement, la ville la plus touristique du Pérou. C'est simple, ici, on ne se fait même pas remarquer... ou presque!
nous voici avec la fameuse pierre de douze angles Inca!

Nous avons quitté Ica avant-hier.
Notre deuxième expérience avec couchsurfing s'est très bien dérouler! Notre nouvel ami Luigi nous a fait visiter plusieurs partie de la ville et nous a permis de loger dans l'hotel de sa mère gratuitement!
Près de Ica, nous aovns découvert Huacachina!
Petit oasis en plein désert, Huacachina, s'est développé autour du tousirme et du sandboarding. La ville compte a peine 200 habitant et regorge de petit café, d'offisme de tousirme et de bars.
notre expérience de surf sur sable fut très divertissente.
La monté m'a semblé interminable et j'ai bien faillit abandonné tellement mon coeur pompait! La vue du sommet était à couper le souffle! Des pro du sandboard y étaient déjà et nous avons pu les regarder faire avant de nous lancer.... malgré toute notre bonne volonté, je ne peux pas dire que nous ayons été à la hauteur de notre réputation de skieuse canadienne. En fait, je crois que nous avons surtout beaucoup ris et fait rire! Tant mieux!

Corinne au som met de notre dune de sable

La vue du sommet: hucachina

une montée difficile pour les mollets!

un soleil brûlant
Pour vous faire rire!
Un petit côté anglais

Le froid des montagnes!
Probablement, la ville la plus touristique du Pérou. C'est simple, ici, on ne se fait même pas remarquer... ou presque!
nous voici avec la fameuse pierre de douze angles Inca!

Nous avons quitté Ica avant-hier.
Notre deuxième expérience avec couchsurfing s'est très bien dérouler! Notre nouvel ami Luigi nous a fait visiter plusieurs partie de la ville et nous a permis de loger dans l'hotel de sa mère gratuitement!
Près de Ica, nous aovns découvert Huacachina!
Petit oasis en plein désert, Huacachina, s'est développé autour du tousirme et du sandboarding. La ville compte a peine 200 habitant et regorge de petit café, d'offisme de tousirme et de bars.
notre expérience de surf sur sable fut très divertissente.
La monté m'a semblé interminable et j'ai bien faillit abandonné tellement mon coeur pompait! La vue du sommet était à couper le souffle! Des pro du sandboard y étaient déjà et nous avons pu les regarder faire avant de nous lancer.... malgré toute notre bonne volonté, je ne peux pas dire que nous ayons été à la hauteur de notre réputation de skieuse canadienne. En fait, je crois que nous avons surtout beaucoup ris et fait rire! Tant mieux!

Corinne au som met de notre dune de sable

La vue du sommet: hucachina

une montée difficile pour les mollets!

un soleil brûlant
Pour vous faire rire!
Un petit côté anglais

Le froid des montagnes!

lundi 4 octobre 2010
Pisco et nature

Nous avons passé les trois derniers jours dans une ville côtière nommée Pisco. Les connaisseurs d'alcool reconnaisent peut-être le nom... C'est dans cette petite ville, très pauvre, que fut élaborée la célebre liqueure de raisin ; le Pisco.
La ville nous a semblé charmante, mais un tremblemment de terre l'a détruite en grande partie il y quelques années et on a parfois l'impression de se promener à Bagdad.
Nous qui évitions les lieux trop touristiques depuis le début du voyages ; parce qu'ils sont coûteux et semblent souvent moins authentiques, nous nous sommes payées, avant-hier, une vraie journée de Gringos! Nous avons loué une journée tout inclus dans une agence qui nous a permis de visiter et les îles Ballestas et le parc national Paracas! Corinne, notre "dealeuse nationale", nous a trouvé le tout a un prix qui rendrait jaloux plusieurs des touristes qui ont partagé notre journée!
À 7h30, nous sommes montées dans le colectivo de la compagnie : Surprise, juste des touristes!!!!! Et des VRAIS en plus! Pantalons beiges avec Zip aux genous, Caméras hors de prix, chapeau Giligane, bottes de marche The North Face , lunettes Ray Ban, rien ne manquait!

C'est compliqués c'est trucs là!
Nous sommes embarquées par la suite sur un bateau rapide en direction des îles Bellastas ; (les galapagos des pauvres). Je ne peux vous parler du trajet, mais je vous assure que les gravoles occasionnent vraiment de la somnolence profonde!
Arrivées aux îles nous avons pu observer de magnifiques lions de mer et une multitudes d'oiseaux de mer. Seul hic, le guide nous annonce que dans 50 ans, les animaux ne pourront plus vivre ici!... en partie à cause du gaz qu'émettent les bateaux de toursites comme le nôtre. Et effectivement, l'odeur de gaz que nous dégageions était assez prenante!


De retour au port. Il est 10h30 et on doit attendre jusqu'à 11h30. Pourquoi pas une petite bière! Suivant l'exemple d'un autre groupe de touristes, nous nous commandons deux grosses bières pour les trois!
À 11h30 nous partons découvrir le parc de Paracas. Deuxième désert le plus sec des Amériques, il y pleut seulement 2 millimètres par an! Le payasage est extêmement désertique.... pas de toilettes en vue.... et nos bières commencent à peser.....
Le moment le plus divertissant de la journée a sans doute été la fabrication de toilette dans un désert immense alors que nous étions entourée de touristes et de bus de touristes!!!

La vue dans le parc était magnifique et nous avons paratgé un dîner délicieux sur le bord de l'océan!!!

Nous sommes maintenant à Ica où un autre hôte de couchsurfing nous héberge gratuitement.... dans un hôtel!!! et oui! Il a voyagé lui aussi et offre se service aux couchsurfers!!! Résultat, nous avons trois lits, une télévision, une salle de bain et un nouvel ami!
mercredi 29 septembre 2010
Huncavelica et Divan surfant

Notre séjour a Huancavelica est déjà terminé!
Quleques jours de bonheur que nous avons partagés avec un nouvel ami qui nous est maintenant cher!
Pour la première fois du voyage, nous avons expérimenter le "couchsurfing".
Ce cyber-organisme offre la possibilité a des individus de partout dans le monde d'offrir un lit a des voyageurs de façon toute à fait bénévole.
C'est donc une journée avant notre arrivée a Huancavelica que nous avons appelé Omar. Celui-ci nous a tout de suite invité chez lui pour la durée que nous désirions. Ayant étudié trois ans en France, nous avons pu communiquer en Francais et donc devenir ami très facilement. D'autant plus qu'il nous attendait, le soir de notre arrivée, avec une caisse de 12! Dès le premier soir nous avons transformé son salon en discotèque pour danser sur la musique francaise des années 80! Que de plaisir.

Les trois jours qui ont suivit furent magiques. Omar nous a fait visiter Huancavelica; les eaux thermale, la pizzeria, les danses locales, les inonmbrables traditions, les matches de foots. Il faut dire que Huancavelica n'a rien de touristique. Petite bourgade nichée au creux des montagnes, les touristes prennent rarement le temps de découvrir cette merveilleuse ville qui est mon coup de coeur. De tradition quechua, la population s'habille de façon très traditionnel et se moque gentiment de nos vêtments et de nos cheveux quand nous nous promenons!

Nous avons vite remarqué que la minorité visible ici, c'est nous! Bien sur, parout au Pérou, nous sommes en minorité, mais là c'était pus que de la minorité, c'était de l'exclusivité! Se faire dévisager, entendre rire sur son passage, ne pas pouvoir passer inapercue. Oufff, s'en était essoufflant. Pourtant, tous étaient symphatiques avec nous et nous nous sentions moins "gringas".... pas de sifflement ou de commentaire grossier, juste une curiosité polie, un intérêt courtois.
De ce sentiment de minorité, je me suis rendue compte pour la première fois de ma vie que j'étais une nord-américaine. Cette image que je n'ai jamais vraiment aimé et à laquelle je ne me suis jamais identifée auparavant s'est imposée à moi! Quoi que je puisse faire ou en dire, je suis définitivement nord-américaine. Il existe une différence culturelle tellement pronfonde entre moi et les gens d'ici. On se comprend, on s'estime, on s'aime, on s'apprécie, mais nous sommes irrévocablement différents. Je me rend compte que ma culture, les enseignements que j'ai recus, la façon dont j'ai été élevée font de moi un être culturellement tellement différent du peuple quechuas! Je vais devoir commencer a accepter la fait que je suis nord-américaine ; avec tout le positif et le négatif qui vient avec! :)

Bref, notre expérience a Huanvcavelica a été magique et nous ne pouvons remercier assez Omar pour avoir partager sa maison et son temps avec nous de façon si généreuse!
mardi 21 septembre 2010
4 mois
Une nouvelle etape de franchit.
Camille est venue nous rejoindre il y a presque une semaine.
Etrange de retrouver une si bonne amie apres 4 mois de distance.
Elle semblait amener avec elle une brise quebecoise qui ma rendue un peu nostalgique.
Des nouvelles de la familles, des amis. La plupart on commencé l'universite. On realise que c'est la premiere fois depuis nos 5 ans que nous ne rentrons pas a l'ecole en septembre...
Nous avons passer les 4 premiers jours de Camille au Perou a Lima.
Nous avons profiter au maximum de la vie nocturne avec les amis que nous nous etions fait. Camille nous a fait redecouvrir des etrangetés que nous ne remarquions plus; les taxi conduisent vraiment mal, les klaxons sont omnipresent, on mange vraiment beaucoup (trop) de riz blanc, les gens sont toujours souriants avec nous!!
Nous sommes presentement a Huancayo. Nous avons dit au revoir (peut-etre adieu) a notre tres bon ami Julio.
Huancayo est une tres belle ville. Vivante, dynamique, universitaire, autochtones en partie; l'ambiance de la sierra est vraiment differente de la cote. Dans la rue, des musiciens nous ont offert au beau spectacle traditionnel.
Au marché, nous nous sommes faite offrir un breuvage énergisant peu commun : grenouille malax{ee au miel! Le vendeur voulait nous faire avaler une grenouille entiere qu'il malaxe avec un miel local un peu douteux. En plus, je vous epargne l'état et l'odeur de l'aquarium ou reposait les grenouille en attente de leur mort prochaine et sordide.... appétissant! :)
nous partons demain pour Huancavelica!
Camille est venue nous rejoindre il y a presque une semaine.
Etrange de retrouver une si bonne amie apres 4 mois de distance.
Elle semblait amener avec elle une brise quebecoise qui ma rendue un peu nostalgique.
Des nouvelles de la familles, des amis. La plupart on commencé l'universite. On realise que c'est la premiere fois depuis nos 5 ans que nous ne rentrons pas a l'ecole en septembre...
Nous avons passer les 4 premiers jours de Camille au Perou a Lima.
Nous avons profiter au maximum de la vie nocturne avec les amis que nous nous etions fait. Camille nous a fait redecouvrir des etrangetés que nous ne remarquions plus; les taxi conduisent vraiment mal, les klaxons sont omnipresent, on mange vraiment beaucoup (trop) de riz blanc, les gens sont toujours souriants avec nous!!
Nous sommes presentement a Huancayo. Nous avons dit au revoir (peut-etre adieu) a notre tres bon ami Julio.
Huancayo est une tres belle ville. Vivante, dynamique, universitaire, autochtones en partie; l'ambiance de la sierra est vraiment differente de la cote. Dans la rue, des musiciens nous ont offert au beau spectacle traditionnel.
Au marché, nous nous sommes faite offrir un breuvage énergisant peu commun : grenouille malax{ee au miel! Le vendeur voulait nous faire avaler une grenouille entiere qu'il malaxe avec un miel local un peu douteux. En plus, je vous epargne l'état et l'odeur de l'aquarium ou reposait les grenouille en attente de leur mort prochaine et sordide.... appétissant! :)
nous partons demain pour Huancavelica!
mardi 14 septembre 2010
Cote religion
A la demande de ma mere, j;ai passe ma soiree d;hier a l;Eglise!
Je dois avouer que l;idee de me rendre a la messe ne me serait sans doute pas venue toute seule, mais finalement pourquoi pas?
En fait, moi et Corinne sommes entrees dans l;Eglise avec une mission : relever toutes le differences possibles entre une messe quebecoise et une messe peruvienne dans une grande ville.
En arrivant, nous ne savions pas vraiment a quoi nous attendre. Y allait-il avoir des guitares espagnoles, des mariachis, des danseuses en bikinis? L;Eglise allait-elle etre pleine a craquer ou parsemer de quelques tetes blanches? Le pretre serait-il ernergique et animer par une *passion latine* ou serait-il des plus ennuyant?
Nous sommes entree dans la cathedrale San Augustin de Trujillo juste a temps pour le debut de la messe. Premiere remarque: l;abside est haluciante! Un immense decors en or qui est agrementer de peintures et de sculprutes diverses. Notre *lonly planet* nous informe qu;elle date du 16eme siecle!
En fait, on peu dire que la richesse en generale est impressionante. Tout dans l;Eglise denonce l;oppulence du lieu. Pas de trace du fameux voeux de pauvrete ici....
Le pretre commence la ceremonie.
Avec une voix plus que grave, caverneuse, il entone des prieres que l;assemble reprend. La musique des voix est tres touchante. On se croirait dans un monastere cloitrer. La messe continue, dure a peu pres 45 minutes et termine. Nous avons eu droit a la meme celebration de la chretiente ici que chez nous, a quelques exeptions pres. Comme chez nous, on aurait pu dire que l;Eglise etait parsemer de quelques tetes blanches, sinon que les latinos gardent leur chevelure d'ebene jusqu;a un age tres avance. Nous avons eu droit au sermon, au *notre pere*, etc..
Differences: le pretre se donnait un air tellement mystique et murmurait si bas ses prieres que nous n;avons distinguer aucun mots de toute le celebration. Nous qui croyions pourtant nous debrouiller en espagnole!! Nous avons encore du chemin a faire!
Finalement, la difference majeur a ete le fait que le pretre ici se donne la delicate tache de depose l;ostie lui-meme dans la bouche du communiant.
Cette petite difference a d;ailleur faillit causer un choc culturel entre moi et le pretre quand j;ai presque essayer de prendre l;ostie de ses mains... oups!
Nous sommes donc sorties de la maison du Seigneur un peu decue de na pas avoir assitees a un rituel semi-paien. Pas de syncretisme, pas de guitare langoureuse, pas d;illumination ni de Salsa endiablee! Selon ce que nous avons vu hier, rien n;est plus catholique romain qu;une messe a trujillo!
Je dois avouer que l;idee de me rendre a la messe ne me serait sans doute pas venue toute seule, mais finalement pourquoi pas?
En fait, moi et Corinne sommes entrees dans l;Eglise avec une mission : relever toutes le differences possibles entre une messe quebecoise et une messe peruvienne dans une grande ville.
En arrivant, nous ne savions pas vraiment a quoi nous attendre. Y allait-il avoir des guitares espagnoles, des mariachis, des danseuses en bikinis? L;Eglise allait-elle etre pleine a craquer ou parsemer de quelques tetes blanches? Le pretre serait-il ernergique et animer par une *passion latine* ou serait-il des plus ennuyant?
Nous sommes entree dans la cathedrale San Augustin de Trujillo juste a temps pour le debut de la messe. Premiere remarque: l;abside est haluciante! Un immense decors en or qui est agrementer de peintures et de sculprutes diverses. Notre *lonly planet* nous informe qu;elle date du 16eme siecle!
En fait, on peu dire que la richesse en generale est impressionante. Tout dans l;Eglise denonce l;oppulence du lieu. Pas de trace du fameux voeux de pauvrete ici....
Le pretre commence la ceremonie.
Avec une voix plus que grave, caverneuse, il entone des prieres que l;assemble reprend. La musique des voix est tres touchante. On se croirait dans un monastere cloitrer. La messe continue, dure a peu pres 45 minutes et termine. Nous avons eu droit a la meme celebration de la chretiente ici que chez nous, a quelques exeptions pres. Comme chez nous, on aurait pu dire que l;Eglise etait parsemer de quelques tetes blanches, sinon que les latinos gardent leur chevelure d'ebene jusqu;a un age tres avance. Nous avons eu droit au sermon, au *notre pere*, etc..
Differences: le pretre se donnait un air tellement mystique et murmurait si bas ses prieres que nous n;avons distinguer aucun mots de toute le celebration. Nous qui croyions pourtant nous debrouiller en espagnole!! Nous avons encore du chemin a faire!
Finalement, la difference majeur a ete le fait que le pretre ici se donne la delicate tache de depose l;ostie lui-meme dans la bouche du communiant.
Cette petite difference a d;ailleur faillit causer un choc culturel entre moi et le pretre quand j;ai presque essayer de prendre l;ostie de ses mains... oups!
Nous sommes donc sorties de la maison du Seigneur un peu decue de na pas avoir assitees a un rituel semi-paien. Pas de syncretisme, pas de guitare langoureuse, pas d;illumination ni de Salsa endiablee! Selon ce que nous avons vu hier, rien n;est plus catholique romain qu;une messe a trujillo!
mercredi 8 septembre 2010
Chamanisme ; prise 2
Un bain dans l'Amazonne!

C'est au cours de notre exursion en camping dans la jungle avec notre guide Max que l'idée de voir un chaman nous est venue. Durant de l'excursion, nous avons énormément parlé avec notre cher Max et sa cousine Esquerly. Ils nous ont vantés les bienfaits des rituels chamaniques et de la médecine naturelle. À force d'en discuter.. ils nous ont vraiment donner envie de vivre une expérience chamanique en amazonnie.
Ca tombe bien! Leur grand-père est Chaman!!

C'est donc le lendemain de notre retour en camping que nous sommes repartie pour le coeur de la jungle. Rencontre avec un chaman humain.
Au petit matin, le petit groupe que nous formons, Max, Corinne, Esquerly et moi est partie en barque sur l'amazonne. Nous avons navigué pendant une heure et demi pour nous rendre dans un petit "pueblo" amazonnien. Le mot petit est peut-être un peu faible pour décrir l'endroit. Aucun port où débarquer. Le bateau nous laisse en pleine végétation et s'est après 15 minutes de marches dans la brousse que nous débouchons devant la maisons de notre chaman Juan.
Fait à part: je crois bien m'être fracassé une orteil sur une racine de la taille d'un tronc au cours de cette petite marche. Ma petite oreitl prend, depuis, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel et change de tailles et de formes et à chaque heure! :)
Je disais donc que nous arrivons devant la maison de notre chaman. À priori, rien ne laisse paraître qu'un chaman vit ici. La coure est pleine de poule qui courent et hurlent, des enfants curieux nous regardent du hamac suspendue sur le blacon. Une jeunne femme fait cuire du poisson sur un feu de bois dans la coure. Un adolescant coupe du bois (du palmier en fait). L'atmosphère est tout a fait détendue et nous sommes heureuses de ne pas voir de peaux d'animaux suspendues un peu partout ou encore des masques de rituels plus ou moins clicher. Nous semblons avoir à faire à un vrais chaman. un "Local".

Juan, le guérisseur, vient faire notre rencontre. Il nous pose plusieurs questions. Êtes-vous cardiaque? Non. Est-ce votre première fois avec de l'Ayahuasca? Oui. Comment percevez-vous cela? etc...
Maintenant agé de 66 ans, Juan est chaman depuis 56 ans. Il nous explique que son mantore était son père et qu'il a commencé à pratiquer à 10 ans. Il fait, depuis, trois rituels par semaine avec l'Ayahuasca. Il reçoit régulièrement des groupes de locaux et de touristes. Il nous met rapidement à l'aise et nous encourage à poser des questions.
ca tombe bien... on en a à la pelter!
Pour vous situer un peu, l'Ayahuasca est un breuvage halucinogène qui cure le corps et l'esprit. Cette boisson est faite à l'aide de plantes que l'on retrouve à l'état sauvages dans la jungle. L'Ayahuasca est en fait un liane qui pousse en amazonnie et qui forme la base du-dit breuvage. La cure implique que l'on vomisse,que l'on coure se "vider" au toilet, que l'on voit les esprits qui nous entourent, que l'on halucine. Certain voient leur passé, d'autres imaginent leur futur. Juan nous affirme que souvent, lors des premièrs fois, les gens crient, pleurent, partent en courant, chantent ou dansent.
En après midi... on se prépare. C'est à dire que l'on relax dans des hamacs avec la famille du chaman, on joue au Aki avec Max et son cousin, on rit un bon coup.
Vers 7 heures, on soupe! Une grande tasse de thé. Comme les vomissements font partie de la cure que nous allons vivre en soirée, pas de nourriture!
À 8 h00, on entre dans la petite pièce en bois où ce déroulera la cérémonie.
Corinne, Esquerly, le chaman et moi allons boire. Max reste sobre pour s'occuper de nous.
8h10. C'est fait. j'ai bu mon petit vers de liquide brun. Épouvantable. Ca goûte dégueulasse et le mot est faible. L'impresison de mâcher du bois amer!
On fume ensuite un mapacho, une cigarette de tabac naturel à laquelle on a ajouté, nous et nos amis, des voeux, une espérance, une pensée positive.
Seulement la cigarette me fait tourner la tête. Il fait complètement noir et le chaman chante en agitant des bouquets de feuilles sèchées. Le tout donne une sacré ambiance!
Lentement, des gargouillis se forment dans mon estomac.
Esquerly vomit en premier. Le chaman l'encourage a se vider des impurtés.
Aidée par les chants du chaman, des images me viennent en tête. Pas des hallucinations par contre. Un rêve éveillé. Je me vois dans une grande chambre blanche. Je suis enceinte. Le vent tourne autour de moi, mais j'ai chaud, je suis bien. Pour chasser les esprits mauvais que je n'ai vraiment pas envie de voir, je me concentre sur des mots comme amour, tendresse, paix. Je vois des lacs, des vallées des montagnes. Je commence à avoir sérieusment mal au coeur. Je m'accote sur le mur en arrière de moi.
À ce moment précis, je vois avec une clareté impressionnante les yeux de Max qui me regarde. j'ai pourant les yeux fermés. Halucination! Si je controlais les belles images, les yeux de Max me fixent sans que je puisse les ignorer. Je les regarde donc, impuisssante. Étrange. surprenant. Apeurant. Je vois surgir tout a coupe, des yeux brun de Max, des yeux de serpents. les yeux sortent du visage de Max et un serpent mauve et bleu me saute au visage à la vitesse ultra-rapide d'un vrais serpent. Je fais le saut. J'ai des sueurs froides. La main rassurante de Corinne se pose sur ma cuisse. Elle a sentie mon saut. Je me calme et continue à me concentré sur des images positives.
Corinne aussi à vomit à présent. Pour ma part, toujours pas, mais le mal de coeur est présent. Dès que j'ouvre les yeux sur l'obscurité ambiante, je vois de papillons de lumière bleu voler autour de moi.
La séance dure 3 heures. Esquerly est allée se coucher en premier.
je reste un moment ave le chaman et Corinne.
Corinne finit aussi par aller se coucher.
Je n'ai toujours pas vomit. Le chaman me qualifie de guerrière. Il affirme que nous avons des estomacs d'acier comme il en a rarement vu.
Je rest avec lui et Max un moment, j'ai mal partout. Surtout au coeur.
J'essai finalement de me lever pour aller me coucher.
La tâche est plus complexe que prévue. Dès que je me lève, tous les meuble se mettent à bouger et m'empêchent de mettre un pied devant l'autre. Heureusment, Max est là et il me guide jusqu'au lit oû Corinne dort déjà.
Je me couche et trouve rapidement le sommeil. Je me sens éclairée par un soleil chaud et rassurant. Quelques instant plus tard, je me lève en sursaut et cours à l'extérieur, toujours accompagnée de mes papillons lumineux. L'Ayahuasca m'a curé et s'est dans la jungle, sous les millier d'étoiles que je me "vide" de toutes mes impurtés. Je vous éparge les détailles!
Le lendemain, on se réveille avec toute la famille et on se raconte notre expérience. Le chaman nous écoute attentivement et commente. Corinne n'a pas eu d'halucinations. Elle qui était malade depuis une semaine, a par contre sentie son mal quitter son corps sous la forme d'une sueure froide lors de la cérémonie. Depuis une semaine, elle était faible et ne pouvait manger sans vomir. Eh bien, la voilà en pleine forme avec un solide appétit! Pour ma part je suis aussi en pleine forme, pleine d'énergie et étrangement apaisé. Tout mon stress, mes petites frustrations de voyages semblent m'avoir quittés pour laisser place à une sérénité apaisant.

Notre expérience avec la spiritualtié amazonienne et le chamanisme, si elle ne nous a pas transformée, ne nous a apportée que du positif. Nous sortons de cette aventure avec l'impressison d'avoir grandit quelque part à l'intéreieur de nous même.
Nous sommes également fière des compliments que le chaman nous a fait quand à notre bonne tolérance et notre contrôle de soi! À quand la prochaine fois?!!

C'est au cours de notre exursion en camping dans la jungle avec notre guide Max que l'idée de voir un chaman nous est venue. Durant de l'excursion, nous avons énormément parlé avec notre cher Max et sa cousine Esquerly. Ils nous ont vantés les bienfaits des rituels chamaniques et de la médecine naturelle. À force d'en discuter.. ils nous ont vraiment donner envie de vivre une expérience chamanique en amazonnie.
Ca tombe bien! Leur grand-père est Chaman!!

C'est donc le lendemain de notre retour en camping que nous sommes repartie pour le coeur de la jungle. Rencontre avec un chaman humain.
Au petit matin, le petit groupe que nous formons, Max, Corinne, Esquerly et moi est partie en barque sur l'amazonne. Nous avons navigué pendant une heure et demi pour nous rendre dans un petit "pueblo" amazonnien. Le mot petit est peut-être un peu faible pour décrir l'endroit. Aucun port où débarquer. Le bateau nous laisse en pleine végétation et s'est après 15 minutes de marches dans la brousse que nous débouchons devant la maisons de notre chaman Juan.
Fait à part: je crois bien m'être fracassé une orteil sur une racine de la taille d'un tronc au cours de cette petite marche. Ma petite oreitl prend, depuis, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel et change de tailles et de formes et à chaque heure! :)
Je disais donc que nous arrivons devant la maison de notre chaman. À priori, rien ne laisse paraître qu'un chaman vit ici. La coure est pleine de poule qui courent et hurlent, des enfants curieux nous regardent du hamac suspendue sur le blacon. Une jeunne femme fait cuire du poisson sur un feu de bois dans la coure. Un adolescant coupe du bois (du palmier en fait). L'atmosphère est tout a fait détendue et nous sommes heureuses de ne pas voir de peaux d'animaux suspendues un peu partout ou encore des masques de rituels plus ou moins clicher. Nous semblons avoir à faire à un vrais chaman. un "Local".

Juan, le guérisseur, vient faire notre rencontre. Il nous pose plusieurs questions. Êtes-vous cardiaque? Non. Est-ce votre première fois avec de l'Ayahuasca? Oui. Comment percevez-vous cela? etc...
Maintenant agé de 66 ans, Juan est chaman depuis 56 ans. Il nous explique que son mantore était son père et qu'il a commencé à pratiquer à 10 ans. Il fait, depuis, trois rituels par semaine avec l'Ayahuasca. Il reçoit régulièrement des groupes de locaux et de touristes. Il nous met rapidement à l'aise et nous encourage à poser des questions.
ca tombe bien... on en a à la pelter!
Pour vous situer un peu, l'Ayahuasca est un breuvage halucinogène qui cure le corps et l'esprit. Cette boisson est faite à l'aide de plantes que l'on retrouve à l'état sauvages dans la jungle. L'Ayahuasca est en fait un liane qui pousse en amazonnie et qui forme la base du-dit breuvage. La cure implique que l'on vomisse,que l'on coure se "vider" au toilet, que l'on voit les esprits qui nous entourent, que l'on halucine. Certain voient leur passé, d'autres imaginent leur futur. Juan nous affirme que souvent, lors des premièrs fois, les gens crient, pleurent, partent en courant, chantent ou dansent.
En après midi... on se prépare. C'est à dire que l'on relax dans des hamacs avec la famille du chaman, on joue au Aki avec Max et son cousin, on rit un bon coup.
Vers 7 heures, on soupe! Une grande tasse de thé. Comme les vomissements font partie de la cure que nous allons vivre en soirée, pas de nourriture!
À 8 h00, on entre dans la petite pièce en bois où ce déroulera la cérémonie.
Corinne, Esquerly, le chaman et moi allons boire. Max reste sobre pour s'occuper de nous.
8h10. C'est fait. j'ai bu mon petit vers de liquide brun. Épouvantable. Ca goûte dégueulasse et le mot est faible. L'impresison de mâcher du bois amer!
On fume ensuite un mapacho, une cigarette de tabac naturel à laquelle on a ajouté, nous et nos amis, des voeux, une espérance, une pensée positive.
Seulement la cigarette me fait tourner la tête. Il fait complètement noir et le chaman chante en agitant des bouquets de feuilles sèchées. Le tout donne une sacré ambiance!
Lentement, des gargouillis se forment dans mon estomac.
Esquerly vomit en premier. Le chaman l'encourage a se vider des impurtés.
Aidée par les chants du chaman, des images me viennent en tête. Pas des hallucinations par contre. Un rêve éveillé. Je me vois dans une grande chambre blanche. Je suis enceinte. Le vent tourne autour de moi, mais j'ai chaud, je suis bien. Pour chasser les esprits mauvais que je n'ai vraiment pas envie de voir, je me concentre sur des mots comme amour, tendresse, paix. Je vois des lacs, des vallées des montagnes. Je commence à avoir sérieusment mal au coeur. Je m'accote sur le mur en arrière de moi.
À ce moment précis, je vois avec une clareté impressionnante les yeux de Max qui me regarde. j'ai pourant les yeux fermés. Halucination! Si je controlais les belles images, les yeux de Max me fixent sans que je puisse les ignorer. Je les regarde donc, impuisssante. Étrange. surprenant. Apeurant. Je vois surgir tout a coupe, des yeux brun de Max, des yeux de serpents. les yeux sortent du visage de Max et un serpent mauve et bleu me saute au visage à la vitesse ultra-rapide d'un vrais serpent. Je fais le saut. J'ai des sueurs froides. La main rassurante de Corinne se pose sur ma cuisse. Elle a sentie mon saut. Je me calme et continue à me concentré sur des images positives.
Corinne aussi à vomit à présent. Pour ma part, toujours pas, mais le mal de coeur est présent. Dès que j'ouvre les yeux sur l'obscurité ambiante, je vois de papillons de lumière bleu voler autour de moi.
La séance dure 3 heures. Esquerly est allée se coucher en premier.
je reste un moment ave le chaman et Corinne.
Corinne finit aussi par aller se coucher.
Je n'ai toujours pas vomit. Le chaman me qualifie de guerrière. Il affirme que nous avons des estomacs d'acier comme il en a rarement vu.
Je rest avec lui et Max un moment, j'ai mal partout. Surtout au coeur.
J'essai finalement de me lever pour aller me coucher.
La tâche est plus complexe que prévue. Dès que je me lève, tous les meuble se mettent à bouger et m'empêchent de mettre un pied devant l'autre. Heureusment, Max est là et il me guide jusqu'au lit oû Corinne dort déjà.
Je me couche et trouve rapidement le sommeil. Je me sens éclairée par un soleil chaud et rassurant. Quelques instant plus tard, je me lève en sursaut et cours à l'extérieur, toujours accompagnée de mes papillons lumineux. L'Ayahuasca m'a curé et s'est dans la jungle, sous les millier d'étoiles que je me "vide" de toutes mes impurtés. Je vous éparge les détailles!
Le lendemain, on se réveille avec toute la famille et on se raconte notre expérience. Le chaman nous écoute attentivement et commente. Corinne n'a pas eu d'halucinations. Elle qui était malade depuis une semaine, a par contre sentie son mal quitter son corps sous la forme d'une sueure froide lors de la cérémonie. Depuis une semaine, elle était faible et ne pouvait manger sans vomir. Eh bien, la voilà en pleine forme avec un solide appétit! Pour ma part je suis aussi en pleine forme, pleine d'énergie et étrangement apaisé. Tout mon stress, mes petites frustrations de voyages semblent m'avoir quittés pour laisser place à une sérénité apaisant.
Notre expérience avec la spiritualtié amazonienne et le chamanisme, si elle ne nous a pas transformée, ne nous a apportée que du positif. Nous sortons de cette aventure avec l'impressison d'avoir grandit quelque part à l'intéreieur de nous même.
Nous sommes également fière des compliments que le chaman nous a fait quand à notre bonne tolérance et notre contrôle de soi! À quand la prochaine fois?!!
jeudi 2 septembre 2010
Camping sauvage
Les deux derniers jours ont été chargés en émotions.

Mon nouvel ami KING KONG grignottant mon bracelet

Mon premier Pirana!
Hier matin, nous sommes embarquées sur une petite péniche avec un guide, sa cousine et un autre touriste francais d´origine éthiopienne: direction le coeur de la jungle!
À Iquitos, nous sommes bel et bien en amazonie, mais pas dans la jungle! Pour la découvrir, nous sommes parties passer deux jours et une nuit en forèt.

Première remarque: Il fait chaud!!!
À peine débarquées de la péniche que des gouttes de sueur nous perlent déjà au front et au menton. Deuxième remarque: les gens sont fort! Dans le petit port où nous débarquons, des hommes portent des "grapes" de bananes de 50 kilos. Tous sont nue pieds et plus petit que nous. Malgré la chaleur et leur chargement, ils sont souriant et nous saluent comme s´ils étaient enchantés de nous voir. Des touristes dans leur petit paradis... C´est pas tout les jours que ca arrive!
On marche sur un petit sentier pendant une heure. On apprend à connaìtre les membres du groupe. Notre guide Max et sa cousine viennent de la junlge. Lui étudie en botanique et elle en tourisme. Ellle l´accompagne aujourd´hui pour voir comment il fait son boulot. C´est la première fois qu´elle fait du camping. Élias, le Francais, est en voyage depuis 2 ans et demi. Il a fait une bonne partie du tour du monde et raconte volontier des anecdotes hilarantes sur les coutumes d´ailleurs.
Nous reprenons une barque qui nous mène jusqu-au campement, on y pèche des piranas et des poissons-chats. On allume un feux: les moustiques sont plus que vorace! Rien à voir avec nos gentils petits maringouins! On cuisine sur le feux, obersve les grenouilles géantes qui viennent nous rendre visite, instalons nos voiles pour la nuit. L´obscurité tombe vers 6h00. Impressionant comme la noirceur change l´ambience d´un lieu. L´angoisse peut rapidement nous prendre à la gorge si on se tait quelques secondes pour écouter les bruits de la jungle.. les bruits de la nuit. Nos démons intérieurs peuvent refaire surface à chaque instant quand on est entouré d´inconnu et de ce qui nous semble ètre un milieu hostile.´

C´est donc sous un petit voile, accroché aux branches d-arbres avec des lianes, que je me couche. Malrgé les moustiques et les bruits, le calme profond que dégage la végétation ambiente a bientòt fait de m´endormir...
Le lendemin: visite d´un refuge pour singe, saut à la lianne à la manière de Tarzan, visite de la tribue des yaguas, marche dans la jungle et recherche d´oiseaux sauvages à bord de notre petite barque qui prend un peu l´eau.


Les singes: je ne pourrai jamais oublier la surprise que j´ai eu quand le premier singe que j´ai vu a courut vers moi pour me sauter dans les bras. Comme un enfant ignorant la méfiance. Tellement d´affection dans leurs gestes habiles, leurs bisous baveux et leur grands yeux curieux. Impossible de ne pas tomber amoureuse. Rare sont les moments ou on peut se laisser recevoir complètement l´affection qui nous ait donné. Les gens sont généralement un peu méfiant, se garde " une petite gene". Avec un singe, pas de barière! C´est l´amour fou ou rien du tout! Il est tellement étrange et fasciant de les observer: pareille à nous parfois et totalement animal à d´autre moment!

Pour conclure notre aventure, nous visitons les Yaguas.
Nous avions bien hàte de voir ces indigènes qui, nous avait-on dit, veulent garder leurs coutumes ancestrales malgré l´occidentalisation ambiente.
Dès notre arrivé, un petit malaise nous prend. Quelque chose ne tourne pas.
Il y a déjà d´autre touristes. Le clan fait une petite danse, qui semble avoir été monté pour faire plaisir aux touristes.
Nous n´avons mème pas le temps de nous assoire que des femmes et des enfants semi-nues viennent poser devant nous pour prendre des photos.
On a un peu limpression d´assister à une mise en scène.
Tout de mème, la présentation est très intéressante. On nous montre à tirer à la Sarbacane, on nous peint le visage et nous fait porter des jupe en palmier.
Quelques minutes plus tard, nos petits indigènes semi-nues nous demandent d´acheter leur production d´artisanat et se révèlent de férocent vendeurs.
Sans ètre décue, j´ai trouvé dommage que la meilleur manière pour une tribu de conserver sa culture, soit de la présenter sous forme de spectacle à de touristes. Ces gens vivent bel et bien comme il nous l´on présenté, je les crois sincères, mais leur exhibition et notre voyurisme ne m´ont pas sembler noble. Pourquoi ne pas organiser des séjours pour les étrangers désireux de connaìtre leur commuauté plutòt que des spectacles éclaires donnant l´impression dètre dans un "Marine Land amazonien"?

Bref, notre séjour fut mémorable; charger de découvertes et de nouvelles questions.
Ma relation avec l´amazonie ne fait certainement que débuter!
Un petit cadeau pour ma maman qui aime tant les grenouilles!

Mon nouvel ami KING KONG grignottant mon bracelet

Mon premier Pirana!
Hier matin, nous sommes embarquées sur une petite péniche avec un guide, sa cousine et un autre touriste francais d´origine éthiopienne: direction le coeur de la jungle!
À Iquitos, nous sommes bel et bien en amazonie, mais pas dans la jungle! Pour la découvrir, nous sommes parties passer deux jours et une nuit en forèt.

Première remarque: Il fait chaud!!!
À peine débarquées de la péniche que des gouttes de sueur nous perlent déjà au front et au menton. Deuxième remarque: les gens sont fort! Dans le petit port où nous débarquons, des hommes portent des "grapes" de bananes de 50 kilos. Tous sont nue pieds et plus petit que nous. Malgré la chaleur et leur chargement, ils sont souriant et nous saluent comme s´ils étaient enchantés de nous voir. Des touristes dans leur petit paradis... C´est pas tout les jours que ca arrive!
On marche sur un petit sentier pendant une heure. On apprend à connaìtre les membres du groupe. Notre guide Max et sa cousine viennent de la junlge. Lui étudie en botanique et elle en tourisme. Ellle l´accompagne aujourd´hui pour voir comment il fait son boulot. C´est la première fois qu´elle fait du camping. Élias, le Francais, est en voyage depuis 2 ans et demi. Il a fait une bonne partie du tour du monde et raconte volontier des anecdotes hilarantes sur les coutumes d´ailleurs.
Nous reprenons une barque qui nous mène jusqu-au campement, on y pèche des piranas et des poissons-chats. On allume un feux: les moustiques sont plus que vorace! Rien à voir avec nos gentils petits maringouins! On cuisine sur le feux, obersve les grenouilles géantes qui viennent nous rendre visite, instalons nos voiles pour la nuit. L´obscurité tombe vers 6h00. Impressionant comme la noirceur change l´ambience d´un lieu. L´angoisse peut rapidement nous prendre à la gorge si on se tait quelques secondes pour écouter les bruits de la jungle.. les bruits de la nuit. Nos démons intérieurs peuvent refaire surface à chaque instant quand on est entouré d´inconnu et de ce qui nous semble ètre un milieu hostile.´

C´est donc sous un petit voile, accroché aux branches d-arbres avec des lianes, que je me couche. Malrgé les moustiques et les bruits, le calme profond que dégage la végétation ambiente a bientòt fait de m´endormir...
Le lendemin: visite d´un refuge pour singe, saut à la lianne à la manière de Tarzan, visite de la tribue des yaguas, marche dans la jungle et recherche d´oiseaux sauvages à bord de notre petite barque qui prend un peu l´eau.


Les singes: je ne pourrai jamais oublier la surprise que j´ai eu quand le premier singe que j´ai vu a courut vers moi pour me sauter dans les bras. Comme un enfant ignorant la méfiance. Tellement d´affection dans leurs gestes habiles, leurs bisous baveux et leur grands yeux curieux. Impossible de ne pas tomber amoureuse. Rare sont les moments ou on peut se laisser recevoir complètement l´affection qui nous ait donné. Les gens sont généralement un peu méfiant, se garde " une petite gene". Avec un singe, pas de barière! C´est l´amour fou ou rien du tout! Il est tellement étrange et fasciant de les observer: pareille à nous parfois et totalement animal à d´autre moment!

Pour conclure notre aventure, nous visitons les Yaguas.
Nous avions bien hàte de voir ces indigènes qui, nous avait-on dit, veulent garder leurs coutumes ancestrales malgré l´occidentalisation ambiente.
Dès notre arrivé, un petit malaise nous prend. Quelque chose ne tourne pas.
Il y a déjà d´autre touristes. Le clan fait une petite danse, qui semble avoir été monté pour faire plaisir aux touristes.
Nous n´avons mème pas le temps de nous assoire que des femmes et des enfants semi-nues viennent poser devant nous pour prendre des photos.
On a un peu limpression d´assister à une mise en scène.
Tout de mème, la présentation est très intéressante. On nous montre à tirer à la Sarbacane, on nous peint le visage et nous fait porter des jupe en palmier.
Quelques minutes plus tard, nos petits indigènes semi-nues nous demandent d´acheter leur production d´artisanat et se révèlent de férocent vendeurs.
Sans ètre décue, j´ai trouvé dommage que la meilleur manière pour une tribu de conserver sa culture, soit de la présenter sous forme de spectacle à de touristes. Ces gens vivent bel et bien comme il nous l´on présenté, je les crois sincères, mais leur exhibition et notre voyurisme ne m´ont pas sembler noble. Pourquoi ne pas organiser des séjours pour les étrangers désireux de connaìtre leur commuauté plutòt que des spectacles éclaires donnant l´impression dètre dans un "Marine Land amazonien"?

Bref, notre séjour fut mémorable; charger de découvertes et de nouvelles questions.
Ma relation avec l´amazonie ne fait certainement que débuter!
Un petit cadeau pour ma maman qui aime tant les grenouilles!

S'abonner à :
Commentaires (Atom)