vendredi 2 juillet 2010

Rencontre au sommet




Imaginez,

Moi et Andréann allongées sur la plage d'Olón par un après-midi nuageux.
Nous qui avions l'intention de bronzer un peu, nous voilà contraintes de lire sagement sous les nuages.
Tout à coup, un hélicopthère attérit à quelques 100 mètres de nous.
Nous nous approchons, curieuses. En descant: 7 militaires aux airs sérieux.
Tout Olón est sur la plage. Les gens contemplent l'immense machine qui a envahit leur quotiditent habituellement sans vartiations.
Après quelques minutes, nous réalisons que les militaires nous regardent drôlement et semblent se placer de façon stratégique autour de nous. Nous sommes encerclée!!!
Malaise. Avons-nous l'air menacantes, j'en doute beaucoup...
Finalement, l'un deux s'approche et nous demande d'où nous venons, si nous sommes seules ici, si nous avons des amoureux, etc... est-ce que nous voulons des enfants...
Imaginez moi et Andréann essayant de ravaler notre fou-rire en réalisant que l'on se fait draguer par des militaires armés de mitraillettes.
Après notre brin de conversation et l'échange (presque forcé) de nos courriers électronique, ils nous annoncent qu'il sont sur la plage d'Olón car le président du pays, Rafarel Correa, est en route. Il changera d'héliotère sous nos yeux!!!
Nous attendons patiemment avec toute la population d'Olòn (sous les regards des militaires).
Quleques 30 minutes plus tard. Sous nos yeux exités, le président du pays arrive et est happé par une petite foule endiablée!!! Nous le voyons, le prenons en photo et le touchons presque!!
Les militaires n'arrivent pas à retenir la foule!
Le président quitte rapidement le terrain et, c'est sous les clins d'oeils de nos amis les militaires que nous retournons lentement chez nous: Incrédules!
Pour un banal après-midi nuageux et frisquet : on peut dire que c'était vraiment n'importe quoi!

jeudi 1 juillet 2010

N'importe quoi !

Le dernier mois passé en Équateur nous a souvent vu pousser la maxime suivante : Mon Dieu que c'est n'importe quoi!!!

L'Équateur, c'est souvent n'importe quoi parce que...

Un autobus en double un autre ,malgré la ligne double, malgré la limite de vitesse, malgré la proximité des falaises, les courbes et les voitures qui viennent en sens invers. N'importe quoi!

La fille de la poste qui nous fait poiroté 1 heure de temps parce qu'elle a décidé qu'elle classait ses crayons par ordre de couleurs, qu'elle se remaquillait et qu'elle servait ses clients masculins avant nous parce qu'ils sont plus intéressants! Résultat: Nous finissons par donner à norte hotel le sleeping bag que l'on voulait rencvoyer chez nous. N'importe quoi!

Quand le gars de l'hotel décide qu'il nous fait visiter la chambre d'une pièce et demi en s'accotant "sensuellement" sur la comode pour nous faire visionner les 70 chaînes de la télévision en semblant attendre qu'on lui saute dessus d'un momment à l'autre. C'est n'importe quoi! (Il fut déçut)

Quand des venderus itinérants montent dans les bus pour faire des discours interminables sur leurs produits totalement inutiles. En nous interpelant avec des termes comme "amis", "camarades" et "compagnons" , il arrivent à vendre à leur auditoire minimum 1, maximum 3 items pour un gros 25 minutes de propagande effrenée. N'importe quoi!

Quand au marché on voit le prix d'un machette affiché à 20$ et que notre bon ami Armino en obtient 2 pour 25 ! N'importe quoi!

Losrque nous nous rendons à l'école primaire pour donner des cours d'anglais et que les profs de l'école quittent dans une boîte de pick-up pour aller prendre un bon café en ville, nous laissant seuls avec les enfatns! N'importe quoi.

Quand les premières pages des journaux sérieux sont recouvertes d'images de jeunes filles plantureuses presque nues (sans aucune raison apparente) et que chaque fois qu'un article parle d'un accident mortel une photo du cadavre accompagne l'article, c'est n'importe quoi!

Quand les gens à qui nous demandons norte chemin nous répondent n'importe quoi, parce qu'il ne connaissent pas l'endroit où nous voulons aller.... c'est n'importe quoi!

Quand, sur le bord de la rue, des kiosques improvisés nous offrent des drinks triple dose, nous font goûter à toutes les alcools et nous donnent les fonds de bouteilles pour rehausser nos verres déjà trop fort et tout cela pour seulement 2$!!!

Lorsque deux des dernières lois émisent par le gouvernement stipulent que :
1- Les automibiles doivent maintenant être équipées d'une plaque d'immatriculation, ce qui était facultatif l'an dernier encore. Maintenant, plusieurs s'improvisent artistes et peinture des plaques sur le dernière de leur voiture!
2- La vente d'alcool est interdite le dimanche, mais tous les bars de la côte s'entendent pout dire que la lois ne s'applique que s'ils se font prendre! N'importe quoi!

En fait, l'Amérique latine c'est surtout n'importe quoi parce que tout les gens nous rencontrons nous saluent comme si nous étions des bons amis et prennent soins de nous, étrangères que nous sommes, de la même manière qu'un parent prend soins de son enfant!!! Vraiment, c'est n'importe quoi!

Andréa y Camilita

dimanche 27 juin 2010

Chugchilàn


24 juin,
Nous sommes à Chugchilàn depuis hier. Ce matin, escalade d'un volcan au repos.
En partant pour l'auberge Clowdforest, le chemin descant dans un immense canyon pendant une vingtaine de minutes. la remonté dure 4h30. On monte le flanc opposé du Canyon, on suit une route en terre battue, traversons un village andin et grimpons le volcan sur un sentier zigzaguant entre les terres Quechuas où broutte paresseusment le bétaille. On arrive finalement au sommet du volcan : le fameu Quilotoa! Dans le cratère, un immense lac digne du lac Louise nous regarde de son unique oeil bleu turquoise. On longe l'arrête pendant une heure sans jamais comprendre comment un tel prodige peut nous être accessible. Pour revenir, on prend un bus qui s'avère aussi riche en émotion forte que le pire des manèges de la ronde. D'autant plus qu'un borracho a vomit son trop plein de bière dans l'allée centrale sous le ragard indifférent des passagés et des employés! Nous partageon notre souper dans l'auberge avec une slovaque, une allemande, 2 irlandais, 1 francaise, 1 polonais et 1 belge. On échange nos expéricnes de voyage, nos aventures. En fait, on écoute surtout les leurs. Nous écoutons religieusement toutes leurs aventures extraordinaire en sachant qu'elle seront probablement bientôt aussi les nôtres! Pour finir la soirée, on entonne quelques chansons de Jean Leloup et des Cowboys fringuants pour célébrer notre st-jean baptiste dans ce petit trou d'Équateur!

mardi 22 juin 2010

Quito

Le stage scolaire a pris fin il y a deux ou trois jours. Je perds le compte rapidement ici. Depuis, nous sommes donc seules dans la capital de l'Équateur; Quito! Nous habitons dans un hostal dans la vieille ville de Quito. Bâtiments de l'époque colonial, bains de foule, klaxons, immensité, inombrabilité. Quito est bien plus jolie que Guayaquil, mais aussi bien plus insécurisante. Plusieurs se sont fait voler en quleques jours seulement. Nous avons également assissté aux légendaires manifestations populaires latino-américaines. La cause des manifestations est toutefois un peu moins nobles qu'il y a 20 ans: époque à laquelle on descendait dans la rue pour la justice, l'égalité et la paix social. Aujourd'hui, le peuple bouillonne car le président Correa a fait interdir la vente d'alcool le dimanche! Émeute et Répression. Parmis les choses intéressantes à faire: le musée de Guayasamin; un peintre extrodinaire. Le teleferiKo, la cathédrale... etc. Hier, visite de la Mitad del Mundo. La ligne de l'Équateur. Impressionant! saviez-vous qu'on pèse en moyenne deux kilo de moins en Équateur à cause de la gravité! Aussi, l'eau du bain tourbillone dans des sens opposés de chaque côté de l'Équateur (la ligne). Sur la ligne : aucun tourbillon! L'Équateur (le pays)réserve mille et une surprises à ses visiteurs. Bien sûr, la nourriture est plus qu'intéressante. Apprentissage: ne pas se fier aux apparences, ça peut être très trompeur!

Adieux
Ce qui fait des relations de voyages des expériences aussi intenses : C'est probablement leurs courtes durées. Pour apprendre à connaître une personne et l'apprécier, on doit vivre le dévelopement d'un relation régulière en 1 semaine seulement. Ensuite, adieux déchirants. Peut-être est-ce le plus difficle quand on se déplace sans cesse: savoir que tout est beaux à nos yeux pour la dernère fois probablement. Savoir que tout les sourirs et les amitiés sont ponctuels. Hier, dire adieu à ma famille de Tundunda. Ce matin : dire adieu à Marc et Émile. Demain: qui sait ?

mardi 15 juin 2010


Ma famille de Tundunda!
J'ai trouvé comment mettre des photos, il y en aura plus a l'avenir!!! Hourra!

Pisaca et Despedida


Mon sejour á tundunda prend fin aujourd;hui.

Avant hier, moi, Marianne, Marc et nos familles avons monte la montagne la plus haute du canton: le Pisaca! Une montagne de 2400 métres. Etrange; pour les gens du coin, monter la montange n'est vraiment pas un attrait. Ainsi nous avons monter en suivant un chemin inexistant sur la pente la plus abruptre que j'ai vue dans ma courte vie. Alberto nous ouvrait la voie avec une machette. J'ai penser que ma vie allais se terminer á plusieurs reprises! Au cours de notre journee, nous avons fait une constatation. Le danger est un concept Nord-Americain: Ou du moins ce n;est pas un concept d'ici. Jamais je n'ai vue des gens prendre des risques aussi gros en riant aux eclat. Nous trois, veritable tortue pendant la descante pour eviter la chute et eux qui courent comme des lapins en criant de joie! Ainsi, comme sur les routes, le danger est omnipresent mais tous faignent de ne pas le voir! Donc, comme le danger est invisible, les precautions sont inutiles et un comportement sage et responsable superflue! Cela dit, nous nous sommes amusez comme des fous!

Le lendemain, féte de depart: la Despedida. On arrive dans le village qui nous recoit (promestilla) á 7h30 du matin et on quitte vers 10 heurs du soir... La journee a ete longue et nous sommes epuise. Au menu, un cochons immense que l'on a tue et depece devant nous, des parties de foot, du volley et des spectacles de musique improvisés! L'alcool a commencer á couler vers 9 AM. Ca en dit gros! Pour revenir a Tundunda, on prend un carro (boite de pick-up): 9 dans la boite et les monsieur on amené une bouteille de fort qu'ils veulent abolument finir avant d'arriver! c'est donc en chantant á tu-téte que nous sommes rentre chez nous. Tous étaient fiers d'étre heureux!
Ce matin, de tristes et beaux adieux. Moi qui ne croyait pas pleurer, je n'ai pu m'en empécher quand ma mami c'est mise á sanglotter dans mes bras. Tant de moments,de gens, de couleurs et d'odeurs qui m'habitent maintenant pour toujours!

samedi 12 juin 2010

Chamanisme

Avant de vous raconter mon expérience avec la spiritualité andine, voici les réponses du Quizz.

1- l;impolitesse par exellence est le rôte. Cracher dans un bus et faire pipi dans la rue (même pour une femme) sont des activités du quotidiens.
2- Joe Dassin est très tendance. surtout la chansons à toi qu'il interprète en espagnole.
3- Micheal Bublé est risible!
4- l'épice la plus utilisée est la corriande
5- Au jour de l'an, on fait brûler un épouvantail grandeur nature dans le rue. Sur les photos ont croirait une scène de guerre civil!

Maintenant passons aux choses sérieuses. J'ai été initié, voir confronté, au chamanisme dans sa toute puissance! Un de nos contacts sur place nous a amené voir un chaman réputé dans la région. 45 minutes de transport dans une boìte de Pick up pour nous retrouver chez un homme de près de 50 ans dans un désert perdue. Dans une petite pièce fermée, uniquement éclairée par une chandelle tremblottante, un chaman m'a aujourd'hui purifié! Premièrement, se déshabiller. On ne garde que la culotte et la brassière. On se tient bien droit sur une planche de bois pour ne pas être en contact avec l'impurté du sol. Le chaman récite alors des priéres incompréhensibles en me frottant tout le corps divers bâtons enduit d'huiles odorantes. Il m'arrose également avec plusieurs vaporisateurs différents. J'ai reconnu quelques huiles essentiels et se qui semblaient être des l'alcools épicés. Il me frappe ensuite (vraiment fort) avec des bouquets de plantes sèchées et un gros bâton de bois. Tout en me frappant, il me demande de réciter une prière dans ma langue et selon ma religion. Surprise j'antonne un Notre Père. Imaginez la scène! se faire flageller en récitant une prière! Ensuite, il me frotte trois cièrges sur le corps et en allume deux... Avec un vaporisateur plein d'alcool, il me souffle du feu partout sur le corps! Du vrais feu qui brûle! La visage, les cheveux, la poitrine, le ventre, les jambes, le cou, le dos et les fesses! Rien n'est épargné et il fait vraiment chaud! Je dois frotter le feux sur moi pour me purifier. Une fois cela fini, il me verse une bouteille complète de vinaigre de vin sur la tête. Je dois bien me frotter partout pour faire sortir la mal. Maintenant que je suis toute huilée et mouillée, il me souffle une poudre de cannelle et de cumin partout sur le corps. Évidemment, ca reste collé! Je suis ensuite bonne pour écouter son verdicte en contrôlant mon fou-rire incòtrolable toute nue que je suis. Selon lui : Je suis une personne saine et calme (drôle à dire vu mon énervement) et le soleil de l'Équateur fait le plus grand bien à mon esprit! Sur ca au moins, je suis d'accord!

On m'a demandé cette semaine d'inqiquer ma position géographique pour vous situer. La voici! Je suis dans une communauté-organisation qui se nomme tundunda. Je suis à une heure de marche de la ville la plus porhce : Catacocha. Cette ville se trouve dans le sud de l'Équateur dans les montagnes (cordillère des Andes). Nous sommes à moins de 200 kilomètres de la frontière péruvienne. À Catacocha l'altitude est de 1900 mètres! Les photos arrivent bientôt, internet n'est pas assez puissant ici pour me permettre une telle opération :)

lundi 7 juin 2010

Portrait de famille et Quizz maison

Comment vous faire vivre mon quotidient? Difficile. Je peux par contre vous faire rencontrer ma famille, ceux que je cotoie à chaque instants. Ma Mami se nomme Bertelina. Elle aura 56 ans dans deux jour. Elle s;est mariée à 17 ans avec un homme de 10 ans son aîné. Ils ont eu 12 enfants. La plus part ont quitté la maison. Les enfatns restant toujours sur le domaine familiale sont les suivant; Lucia, Cruz caya, José, Mariana et Patricia. La Luicia étudie en fait à la Havane en éducation physique. Elle est en ce moment en vaccances pour les trois prochaines mois. La Cruz Caya a 18 ans, elle a fini el colegio. Elle entre à l;université pour devenir dentiste l,an prochaine. Cest avec elle que je passe le plus de temps. Elle est probablement la plus belle fille que j;ai vue dans ma vie et elle est ultra brillante. C;est elle qui me montre comment vivre sur une ferme. Chose très difficle. La Mariana a 15 ans et est très féminine et rieuse. La patricia a 13 ans et adore le sport et la compétition. Je lui apprend à chaque soir à jongler, elle m;apprend à placer les dindons dans les arbres le soir tombé pòur eviter que les chiens ne les mangent.... José est très timide.. Je ne crois pas qu;il m;ait parler jusqu;ici. Le père de la famille travail à Loja. Il enseigne la musique dans un collège. Dommage, je ne le rencontrerai pas... Outre les membre de la famille; trois chien, un chat, douze poules, des chèvres, dindons, etc... et depuis hier, mes compagnes les plus fidèles sont des puces.... Peu importe, je les acceuil sur moi avec plaisir si elle font partie de cette vie simple et magique!


Quizz
Pour les curieux, voici un petit quizz que j;ai monté pour vous amuser! Les réponses viendront la semaine prochaine!

1 Quest ce qui est le plus impolit; peter, rotter, faire pipi dans la rue, cracher par terre dans un bus, se fouiller dans le nez ou jetter une bouteille vide par terre?

2 Joe Dassin est quétaine ou á la mode en Équateur?

3 Micheal Bublé est à la mode au quétaine en Équateur?

4 Quelle épice est la plus utilisée en Équateur? (parfois trop utilisée)

5 Que doit on faire brûler le 31 décembre à minuit pour dire adieu à l;année passée?
Bonne chance!

mercredi 2 juin 2010

mini choc culturel

Le temps prend le temps d;exister ici. C;est probablement la caracteristique la plus poignante du pays. Ainsi, en arrivant á la bibliothéque pour donner un cours d;anglais nous sommes un peu decus de constater qu;il ne pourra avoir lieu. La raison: c;est aujourd;hui el dia del niño ( jour de l;enfant) la bibliothéque est transformer en piste de danse / cirque / parc d;amusement / etc. Peu importe, on est invité á venir regarder le spectacle des enfants. Ils sont tous plus beaux les uns que les autres! Les 6 ans et moins dansent sur une grande psite de danse. Aprés quelques minutes, l;animateur annonce un concours de reggae pour les 6 ans et moins. C;étais le premier malaise que plusieurs d;entre nous ont vécut ici. Les parents applaudissaient et étaient fier : On avait de la difficulter á regarder... Il faut dire que méme a six ans on danse ici de facon explicite... Tout de meme, les enfants sont heureux, l;ambiance est saine et pour dire la vérité tous semblent s,amuser comme des fous... Il n;y a que nous pour étre mal á l;aise. De retour chez moi, je me rend avec la famille á la casa communal pour le chapelet cottidient. L;amerique du Sud peut étre rebaptisée l;Amérique des contrates et paradoxes. Hyper sexualisation; hyper religieux. Ultra pauvres: Ultra aimants.

mardi 1 juin 2010

tundunda

Petite bourgade en banlieu de catacohca, Tununda habrite une centaine d;àme. J;y vis depuis trois jours et y viverai pour les deux pochaine semains.La ruralité est incarner dans tout les aspect de la vie contidienne. Le matin, on commence par traire les vache, on guide ensuite le troupeau dans les montagne pendant une demi heure jusqu:au ruisseau. On fait prende une marche (en laisse) aux chèvres.On nourrit les poules, on soignes les dindons, on gaves les cochaons dindes, on selles les ànes et brosse le cheval! Je cuisine des tortillas de maïs, du yuca, des frijoles et muchos huevos. Le plancher de ma maison est en terre battue. Mon lit: des planches de bois. Touts les soirs, la commnaté se réunit(15 personnes.) La réunion commence par une chapelet:santa maria madre de dios ruega por nosotros pescadores ahora y a la hora de nuestra muerte, amen C;est long un &%"(!ª& de chapelet par jour :) Les gens sont géniaux. Ma mamita, Bertelina a douze enfants. On est 7 dans la maison. On passe tranquilement l,avant midi à faire de l;artisanat equatorien et en après midi, l;anglophone en moi se transforme en professeur pour les gens du coin lors des cours d,anglais quotidient que nous dispensons. Tundunda c;est le soleil levant, les montagnes protetrices, les animaux qui jasent ensemble toute le nuit. C;est une communauté unie comme seule une commuanuté isolée peut l;être!