mardi 15 juin 2010
Pisaca et Despedida
Mon sejour á tundunda prend fin aujourd;hui.
Avant hier, moi, Marianne, Marc et nos familles avons monte la montagne la plus haute du canton: le Pisaca! Une montagne de 2400 métres. Etrange; pour les gens du coin, monter la montange n'est vraiment pas un attrait. Ainsi nous avons monter en suivant un chemin inexistant sur la pente la plus abruptre que j'ai vue dans ma courte vie. Alberto nous ouvrait la voie avec une machette. J'ai penser que ma vie allais se terminer á plusieurs reprises! Au cours de notre journee, nous avons fait une constatation. Le danger est un concept Nord-Americain: Ou du moins ce n;est pas un concept d'ici. Jamais je n'ai vue des gens prendre des risques aussi gros en riant aux eclat. Nous trois, veritable tortue pendant la descante pour eviter la chute et eux qui courent comme des lapins en criant de joie! Ainsi, comme sur les routes, le danger est omnipresent mais tous faignent de ne pas le voir! Donc, comme le danger est invisible, les precautions sont inutiles et un comportement sage et responsable superflue! Cela dit, nous nous sommes amusez comme des fous!
Le lendemain, féte de depart: la Despedida. On arrive dans le village qui nous recoit (promestilla) á 7h30 du matin et on quitte vers 10 heurs du soir... La journee a ete longue et nous sommes epuise. Au menu, un cochons immense que l'on a tue et depece devant nous, des parties de foot, du volley et des spectacles de musique improvisés! L'alcool a commencer á couler vers 9 AM. Ca en dit gros! Pour revenir a Tundunda, on prend un carro (boite de pick-up): 9 dans la boite et les monsieur on amené une bouteille de fort qu'ils veulent abolument finir avant d'arriver! c'est donc en chantant á tu-téte que nous sommes rentre chez nous. Tous étaient fiers d'étre heureux!
Ce matin, de tristes et beaux adieux. Moi qui ne croyait pas pleurer, je n'ai pu m'en empécher quand ma mami c'est mise á sanglotter dans mes bras. Tant de moments,de gens, de couleurs et d'odeurs qui m'habitent maintenant pour toujours!
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Wow! Ca devait etre très émotif... Vers ou vous dirigez-vous maintenant? Et quand est-ce que tu pars seule avec Marianne?
RépondreEffacerJ'ai hate de te voir!
Cam xxx
C'est beau ce commentaire sur le caractère bien relatif de la peur et de la prudence. En fait, à trop de prudence, il n'y a plus de liberté. Et sans liberté, autant dire que la vie n'en est plus.
RépondreEffacerMerci pour tes récits. On voyage (un tout petit peu) avec toi.